La solitude n'est pas la bonne solution ( Tomas)

   Danika & Tomas

   La solitude n'est pas la bonne solution

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   La solitude n'est pas la bonne solution

   [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Tomas sourit, rassuré de savoir que Danika n’avait pas été heurté par sa façon de lui faire l’amour. Il n’était pas un bourrin ou un goujat. Le jeune homme avait toujours été attentif au plaisir de ses amantes car c’était bien tout ce qu’il pouvait offrir : une partie de plaisir. Du moins, c’est ce qu’il croyait avant de rencontrer Danika. Aujourd’hui, il n’était plus sûr de rien. Il s’était montré bien plus attentionné qu’avec ses maîtresses, bien plus intime également. Il voulait la voir heureuse, prendre soin d’elle sans pour autant savoir ce qu’il désirait ou ce qu’il ressentait. Sa femme était toujours vivante même si elle était plongée dans un coma que les médecins jugeaient irréversibles. Tomas était incapable de la débrancher. Pour certains, cela signifiait qu’il était tout simplement éperdument amoureux d’Ivy, qu’elle était la seule femme de sa vie. Lui, il savait que c’était avant tout pour ne pas briser ses beaux-parents mais aussi parce qu’au fond, il continuait de croire qu’elle se réveillerait. Il avait consulté les plus grands spécialistes, s’était renseigné sur des histoires de personnes sortant de ce genre de coma. Or, il était perdu entre espoir et résignation. La seule chose certaine était qu’il n’éprouvait pas d’amour passionné par sa femme. Une profonde tendresse, un amour platonique. A cette pensée, il serra Danika dans ses bras, répondant à son baiser avec douceur. « Tu m’en vois rassuré » murmura-t-il contre ses lèvres. Danika était bien réelle, bien vivante entre ses bras et il aimait sa compagnie tout comme il aimait lui faire l’amour. C’était devenu une véritable drogue au point qu’il rêvait d’elle quand elle n’était pas à ses côtés. « Il parait que le sexe a des vertus encore inconnues » plaisantait-il en se dégageant de ses bras pour commencer à se rhabiller. Ils n’allaient pas rester dans ce bureau éternellement. Il la voulait chez lui, dans son lit, gémissante à nouveau. « Tu avais simplement besoin de lâcher prise, d’arrêter de réfléchir et je suis plutôt doué dans ce domaine » reprit-il en déposant un baiser sur sa joue alors qu’il boutonnait sa chemise.

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   La solitude n'est pas la bonne solution

   [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Tomas n'était pas comme les autres hommes que je connaissais et je voyais beaucoup de différence, déjà dans sa manière d'être avec moi et surtout niveau sexe, il faisait attention à mon plaisir aussi, d'habitude nos ébats étaient doux , mais là il S'était montré un peu plus brutal, mais en aucun cas cela m'avait déçu, bien au contraire, j'avais pris beaucoup de plaisir à le sentir à nouveau en moi. En tout cas je ne sais pas comment il avait fait pour me faire tout oublier en quelques instantS. Je me sentais tellement bien dans ses bras et pour la première fois je commençais à ressentir quelque chose de beaucoup plus fort , se n'était pas de l'amitié, par juste un sexfriends, non je commençais à ressentir des sentiments plus d'amour et ça me faisait tellement peur. Je savais très bien qu'il avait une femme, j'avais entendu mes collègues me parler du fait qu'il ne voulait pas débrancher sa femme qui malheureusement n'allait surement pas se réveiller. Je ne savais pas la douleur que ça pouvait être de voir une personne qu'on aime dans le coma et d'être le seul à pouvoir prendre la décision de lui donner la mort ou pas. Mais mes collègues me disaient qu'elle avait un mari parfait, qui l'aimait encore, car oui refuser de débrancher sa femme était un acte d'amour aussi.Et cela me travaillait beaucoup, peut-être que je faisais une erreur en continuant cette relation avec lui, je sais que j'allais en souffrir surtout si pour lui je n'étais qu'une relation sans forcément de lendemain, enfin sans avenir quoi. Car moi depuis que je le connaissais je ne voyais que par lui, il était le seul qui arrivait à me faire penser à autre chose et ça faisait tellement de bien. Je devais arrêter d'avoir ce genre de penser, j'étais dans ses bras et ça faisait beaucoup de bien. Je posais ma tête contre son torse en écoutant son coeur qui m'apaisait. " Le sexe avec toi a des vertues thérapeutiques surtout. " Je lui faisais un sourire alors que je me relevais pour commencer à me rhabiller, après ce moment de plaisir je commençais à fatiguer. En ce moment je ne dormais pas beaucoup et j'avais hâte d'être chez lui, j'avais juste besoin d'être dans ses bras pour le moment. " Je trouve que tu es très doué dans ce domaine, je suis heureuse d'avoir accepté ce petit pari avec toi en tout cas, je suis contente de te connaitre. " Je finissais par me rhabiller en me rapprochant de lui pour l'aider à reboutonner sa chemise. Je venais l'embrasser tendrement. " Tu es tellement plus sexy sans ta chemise. On rentre? "

   Danika & Tomas

   La solitude n'est pas la bonne solution

   [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Tomas afficha un sourire amusé alors que Danika affirmait que le sexe en sa compagnie avait des valeurs thérapeutiques. C’était bien la première fois qu’une femme lui disait quelque chose de ce style. « A ton service. En plus, je coûte bien moins cher qu’un traitement médicamenteux, c’est tout bénéfice » plaisantait-il en bouclant son pantalon pour mieux s’attaquer à sa chemise. Danika ne tarda pas à venir l’aider et il trouva cela aussi troublant qu’adorable. C’était la première fois qu’une femme s’amusait à le rhabiller, offrant pour ainsi dire, une intimité toute nouvelle entre eux. « Moi aussi même si je jure sur tout ce que tu veux que je n’avais pas idée de ce qui allait se passer entre nous en jouant le jeu de ce collègue. Je devrais peut-être le remercier en lui offrant une bonne bouteille. Non seulement j’ai gagné un très bon client mais j’ai pu faire ta connaissance. Or, l’un comme l’autre, je ne le regrette pas » dit-il avant de répondre à son baiser. « Je préfère également quand tu ne portes rien. Oui, rentrons » murmura-t-il avant de la prendre par la main pour mieux quitter son bureau.

L’avocat se rendit compte que le reste de son cabinet était totalement désert. Son assistante avait du partir à cause d’eux. Il en ressentit une légère gêne car Tomas n’aimait absolument pas étaler sa vie privée. Il ne parlait que rarement de ses histoires car cela ne regardait personne. A la rigueur, Summer était tenue au courant car il ne voulait aucun secret avec sa petite-sœur mais cela se limitait à Summer. Le trajet jusqu’à son manoir fut silencieux mais entre-coupé de baisers aux feux rouges. Inutile de vous dire qu’une fois arrivé sur place, le couple ne tarda pas à laisser à nouveau tomber les vêtements pour faire l’amour, cette fois-ci, bien plus tendrement dans la chambre de Tomas. Enfin, ça, cela est une autre histoire.

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