Summer Maconahey MODO - MEMBRE DES MARPLE Personne ne doit être abandonné, oublié
Depuis mon arrivée le : 11/03/2018 j'ai posté : 627 messages qui m'ont rapporté : 560 $ sous les traits de : Brittany Snow. Vous pouvez me retrouver aussi sous : Joan Grieve (Anna Kendrick), et Sofia Garrison (Stana Katic) D'ailleurs je dois mes images à : Towntrotter & S7K. En ce moment, je suis : en présence réduite du : 26/07 au 20/08 et pour finir, en RP, je préfère : m'adapter à mon partenaire.
| (#) Sujet: Re: Pas de Nouvelle, Bonne Nouvelle ? Dim 26 Aoû - 22:54 | |
| C’est bien pour cela qu’il ne faisait pas de gosse ?? C’était ça, sa réponse face au aveux vulnérables que j’osais lui dévoiler ?? Je le regardais complètement ahurie, ne sachant vraiment pas quoi répondre. En fait, je pensais que cette expérience malchanceuse, j’aurais pu en parler à quelqu’un qui avait vécu la même chose, sans avoir l’impression d’être folle, ou d’être la pire des peureuses…et je me rendais compte que j’étais mal tombé avec Malone. J’adorais mon beau-frère (ou ex beau-frère, si on préfère jouer sur les mots), mais j’aimerais qu’il puisse parfois arrêter deux minutes de jouer sur la provocation ou le « je m’en fout-isme ». Bordel, je le connais depuis qu’il a 20 ans, et lui comme ses frères et sœurs sont venu bon nombre de fois créchaient à notre appartement à Paris et moi, quand nous étions plus jeunes. Il devait donc pourtant savoir qu’avec moi, il pouvait s’ouvrir, arrêter de jouer ce rôle ??! Finalement, Malone conclua à mes propos en me déclarant qu’il ne fallait pas s’arrêter de vivre, et je soupirais, avant de répondre « dixit le mec qui vient de me dire que s’il ne faisait pas de gosse, c’était pour éviter justement de s’inquiéter pour eux… » je le fixais alors dans les yeux et venait en fin de trouver la réponse à son « c’est bien pour cela que je ne ferais jamais de gosses ». Il suffisait juste que je fasse écho à ses propres mots, et c’est ce que je fis en mimant avec mes mains, des guillemets qui viendrait le citer : « Faut pas s’arrêter de vivre, non plus. » Mais trêves de bavardages. Je me relevais de mon siège et soupirais une nouvelle fois « Bon écoute, apparemment, tout va bien pour toi : tu te remets de ta blessure, ce braquage ne te fais ni chaud ni froid, alors…c’est cool ! super. J’suis contente pour toi ! » Si je ne pouvais pas parler avec Malone, alors peut-être que mes proches avaient raison : seul un psy pourrait comprendre…bon sang je trouvais ça dommage. « Vu que tout va bien dans ce cas, je vais te laisser, je ne voudrais pas te déranger plus longtemps… »
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