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(#) Sujet: [FB] You're my private dancer, right ? Lun 4 Mar - 1:10
Winifred & Summer
[FB] You're my private dancer, right ?
Je claquais la portière de la voiture, tout en m’assurant de n’avoir pas laissé malencontreusement mon téléphone sur la banquette arrière, checkant rapidement les poches arrière et avant de mon jean puis de ma veste. D’un geste vif, je replaçais mes cheveux en arrière, les laissant retomber derrière mes épaules, et poussais un léger soupir, tout en observant le lieu où l’on s’était arrêter. La devanture lumineuse derrière moi en disait long sur les intentions de mon ami ; l’homme qui avait décidé bizarrement de me sortir ce soir. Enfin disons que pour être honnête, ça fait deux semaines qu’il me propose « son aide » et que je l’ai refusé jusqu’ici. Ce qu’il faut savoir c’est que lui, comme Joan ou encore Tomas mais avec plus de retenu, se plaignent de mon humeur générale du moment. Je suis selon eux – et selon les dire de Léonidas plus précisément – tendu comme un string prêt à péter dans leur main. J’essaye de leur expliquer que mon humeur n’est que le reflet des semaines stressantes que j’ai au travail, ainsi que le résultat d’un épuisement lié à deux énergumènes réglés sur piles électriques en ce moment : mes enfants. Seulement, voilà, depuis quelques jours, Léo n’arrête pas de me faire des allusions sur le fait qu’il me connaît que trop bien et qu’il m’a assez « côtoyé » pour savoir de quoi il en retourne vraiment. Et à chaque fois que je lui ai demandé d’être plus précis, il n’a pas voulu m’en dire plus si ce n’est : « Laisse moi te sortir un soir, et tu sauras ou je veux en venir… » Finalement, c’est ma curiosité mal placée qui m’a fait accepter sa proposition.
Et nous y voilà. Ce soir, devant ce lieu privé mais pas forcément inconnue des gens du coins… « J’hallucine…Donc toi, ce que tu trouve à faire pour me remonter le moral, c’est de m’emmener dans un club de striptease ? » Je tourne la tête pour observer mon meilleur ami, à l’autre bout de la voiture, lui-même sorti de cette dernière depuis quelques secondes déjà. Il me regarde et d’un sourire narquois dont il a le secret, il me sort « Je suis le meilleur ami dont tu peux rêver, n’est-ce pas ?! » Je plisse le regard, faisant semblant d’être dubitative par rapport à cela, et fini par répondre « En fait t’as surtout pensé à ton intérêt ? tu t’es dit que si au moins je venais à vider mon sac ce soir, tu ne te ferais pas chier à m’écouter, et tu pourrais te rincer l’œil ?! » Pour tout réponse, Léonidas fit le tour de la voiture pour me rejoindre et passa son bras autour de mon épaule, pour m’entrainer jusqu’au club, me sommant d’arrêter de ronchonner et de me laisser faire.
10 minutes après, nous étions installés à un coin de la salle, Léonidas et moi-même ayant été amené à prendre place sur une banquette « premium » si on peut dire les choses ainsi. Devant nous, une sorte de mini scène, extrémité dépendante de la scène principale, qui prenait place au centre la salle. L’ambiance n’est pas trop surfaite, mais digne des clubs de striptease qu’on a l’habitude de voir dans les séries populaires du moment. Sombre, mais pas lugubre… Léonidas prenait enfin ses aises, et moi, c’est comme si j’attendais encore qu’il me sorte un « Allez c’est bon je plaisante, on s’en va ». « Tu m’expliques ce qu’on fait ici ? » demandais-je, décidant enfin de retirer ma veste en cuir, pour dévoiler une simple chemise blanche déboutonner jusqu’au décolleté. « On est là pour faire descendre la pression » répondit-il avant d’enchaine directement sur ce point : « Bon écoute, on va faire simple : je te connais par cœur, je sais ce qui te met en colère, et dans le sens contraire, je sais ce qui te fais plaisir. Je sais aussi reconnaitre quand tu es tendue par le stress et quand tu es frustrée. Et là, en ce moment, ce n’est clairement pas le boulot ou les mioches qui te prenne la tête. Et tu le sais tout aussi bien que moi ». Je fronçais les sourcils, l’incitant silencieusement à exprimer le fond de sa pensée pour voir si ce qu’il insinuait avait effectivement un rapport avec ce que j’imaginais « C’est le sexe… » conclua-il. « T’es en manque. Je ne sais pas pourquoi d’ailleurs, parce que de ce côté-là, t’as toujours été très…gourmande ! » Pour toute réponse, je le frappais au bras et il se marra avant de poursuivre « Donc, plutôt que d’attendre que Pierre, Paul ou Jacques – je sais plus son nom – fasse son travail et t’amène à une certaine paix, je me suis dit que je pouvais t’aider…te donner un coup de main, si on peut dire les choses ainsi » Là encore j’avais envie de le frapper et il devait le savoir, vu qu’il se décala de sorte que je ne puisse par frapper son bras à nouveau « Pas comme ça, petite perverse…Ce que je veux dire, c’est que si ton mec ne t’inspire pas, peut-être que les femmes qui sont ici, te redonneront un peu de « piquant » dans ta vie ». « En gros tu veux que je me rince l’œil avec toi, c’est ça ?! » « Avoue que c’est fun ?! T’es la seule nana que je peux amener ici et qui ne passera pas son temps à m’ordonner de ne pas mater. Vu que tu materas avec moi ! »
J’aurais dû lui dire qu’il était fou allié, et qu’il avait faux sur toute la ligne…seulement il avait vu juste. J’étais frustrée, désespérée, et je me trouvais d’ailleurs stupide et ridicule à l’idée que mes hormones me rendent si…CONNE, autant le dire. « Tu ne t’es pas dit que ça pourrait être pire ? que si je commence à mater, je serais encore plus frustrée à l’idée de ne pas pouvoir toucher ? » Et là, le sourire de Léonidas s’agrandissait. A croire qu’en fait, c’est justement ce qu’il voulait : que j’ai envie de toucher…mais pourquoi ? Ça c’était la question…Pour toute réponse, en tout cas, je décidais de me laisser entraîner par la soirée, parce que OUI, j'avais vraiment envie de faire redescendre la pression.
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(#) Sujet: Re: [FB] You're my private dancer, right ? Lun 4 Mar - 18:22
Summer Maconahey
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(#) Sujet: Re: [FB] You're my private dancer, right ? Dim 17 Mar - 21:30
Winifred & Summer
[FB] You're my private dancer, right ?
On nous servit à boire, et ce sans avoir commander, et Léonidas semblait être satisfait de ce que l’on nous avait apporté. Ce qui ne laissait aucun doute quant à la situation. « Dis-moi, je rêve où t’es clairement un habitué des lieux ? » Mon ami commença à ouvrir la bouche dans l’optique de me répondre, mais je le coupais net « Nan attends à tout bien réfléchir, je préfère ne pas savoir » déclarais-je en levant une main entre lui et moi, juste pour lui signaler de ne pas me donner de détails « Oh je t’en prie…fais pas ta prude avec moi, ça ne marche pas. Et puis, figure-toi que lorsque je viens ici, c’est rarement pour moi. » Je fronçais le regard et penchais légèrement la tête tout en l’observant, et il m’éclaira sur ses dires : « Tu ne peux pas imaginer à quel point les strip-teaseuses sont très douées pour aider un homme d’affaires à se détendre avant la signature d’un gros contrat…leur influence est indéniable » Je savais que ce genre de club existait, et personnellement, je n’avais pas vraiment ne jugement à donner sur ces établissements. Je n’étais ni pour, ni contre…mais ce que j’avais du mal à comprendre c’est qu’on soit encore dans une époque où le corps de la femme soit un appât dans le monde des affaires, alors que justement, c’est limite si on ne crachera pas sur une femme qui se lance dans les affaires ! Typiquement contradictoire. Et ce que je concevais encore moins, c’est qu’une simple danse érotique puisse venir « appâter » un homme pour une signature à plusieurs millions de dollars « Donc en gros, il suffit qu’une de ses femmes danse, et c’est bon ? le contrat est signé ? … » Un silence passait jusqu’à ce que j’aperçoive le début d’un sourire que je reconnaissais bien chez Leonidas. Le genre de sourire légèrement moqueur qui sous-entend « ma petite, si tu savais… » ; le genre de sourire qui me pousse à demander à mon ami : « bah quoi ? vas-y, balance ! » Il tournait alors la tête et sans se défaire de son sourire, il ajouta : « Elles ne font pas que danser…et tu sais quoi ? si t’es sage, tu finiras par apprendre par toi-même ce qu’elles savent faire d’autres… »
Je n’ajoutais rien après cela, préférant me perdre dans mon verre dont je bus quelques gorgées en scrutant la salle qui était déjà bien fréquenter par plusieurs hommes. Des danseuses déjà présente sur la scène, les aidaient à passer une bonne soirée, mais on pouvait facilement voir que ses dames ne faisaient pas LE show de la soirée. Je n’hésitais pas à observer ces femmes se mouvoir sur scène, onduler leur corps au rythme de la musique, et finalement, je me prenais au jeu…A un moment, Leonidas se mit à rire en me regardant et osa me dire « Des fois, J’ai encore du mal à me dire que tu es bi ! Et je me dis que si je m’en étais rendu compte plus tôt, bon sang je t’aurais proposé de ses trucs à l’époque » Je me pinçais les lèvres pour me retenir de lui balancer un truc moche, et décidais finalement de lui dire « Comme quoi ? un plan à trois avec Joan ?! » Le grec se figea un instant, comme s’il réfléchissait à l’idée puis je voyais à son regard qu’il aurait voulu me rappeler qu’à cette époque, jamais il n’avait pensé à Joan comme une « possibilité ». Mais à la place, il préféra me dire « c’est vrai que ça aurait pu être une idée… » et à moi de lui répondre « ça ne m’aurait pas déplu. » Léonidas ouvrit la bouche, amusé et à moitié conquit parce que je viens de dire, mais je rajoutais pour casser son imagination « Mais il est clair que ça n’aurait pas plu à Joan…donc, l’imagination s’arrête là »
L’alcool ou l’ambiance - à moins que ce ne soit le fait de plan à trois tout en regardant ces femmes danser – commençait à me monter à la tête, si bien que je semblais avoir bien plus chaud qu’en arrivant. Je me redressais alors un peu de ma banquette, et attrapait le col de ma chemise entrouverte avec mes deux mains, et la secouait pour pouvoir brasser un peu d’air…de quoi me donner un semblait de frais sur la peau. Puis je rabattais mes cheveux en arrière de mes épaules et me réinstallait quand l’ambiance musicale changea radicalement de ton et qu’une nouvelle session de danse soit annoncer. Quelques sifflements bien pressants, et des applaudissements en fond de salle, et ENFIN, le show commençait pour certains…et j’ai comme l’impression que tout commençait à devenir intéressant pour moi aussi.
Un dernier petit coup d’œil à mon ami à côté de moi, qui hochait la tête et me priait silencieusement de profiter de la soirée, et la lumière s’assombrissait soudain autour de nous, pour ne laisser que les spots et les jeux de lumières mettent l’ambiance dans la salle.
Après quelques notes, quelques strip-teaseuses toutes vêtue comment des écolières envahissaient la scène principale. Des écolières ? sérieusement ? je ne pus m’empêcher de rire dans mon coin en trouvant la coïncidence avec mon métier à la fois ridicule et intéressante, et m’arrête net en étant surprise par l’arrivée d’une autre danseuse qui partait sur la gauche, à l’opposé de notre emplacement. Apparemment l’idée, c’était que ces places extérieures à la scène, profitent d’un show privé ? Je finis par le découvrir bien vite quand enfin, une dernière danseuse se plaça sur le devant de notre scène…Et je réalisais à cet instant précis que j’allais clairement passer une lonnnngue et très frustrante soirée ! J’avais déjà chaud, me sentait à la fois mal à l’aise et impatiente…comme quand je sens que j’ai envie de me laisser aller à certains plaisirs de la chair et que ce n’est malheureusement ni le lieu, ni le moment… Il n’existait soudain plus de Léo, plus d’autres danseuse, plus personne d’autre si ce n’est cette femme qui se trouvait en face de moi, en train d’onduler doucement mais surement, avec la même intensité grandissante que la température de mon corps ! Oh oui : longue et frustrante soirée…
AVENGEDINCHAINS
Winifred Whitaker
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(#) Sujet: Re: [FB] You're my private dancer, right ? Mer 20 Mar - 17:57
Summer Maconahey
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(#) Sujet: Re: [FB] You're my private dancer, right ? Lun 25 Mar - 21:04
Winifred & Summer
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J’étais tellement subjuguée par les traits de la jeune femme, par sa danse lascive et son habileté que j’aurais presque pu manquer le regard que la danseuse a lancé à Léo avant d’arriver vers moi. Je n’ai pas vraiment eu le temps de tourner la tête en direction de mon ami pour comprendre de quoi il retournait car, déjà, la jeune femme était descendit de scène pour se rapprocher de la banquette, se rapprocher de nous…se rapprocher de moi ? Je la scrutais avec une telle intensité que mes yeux avaient du mal à cligner. J’avais la bouche entrouverte par la surprise à la voir descendre, et n’arrivait pas à commander à mon cerveau de rester impassible alors que la blonde s’installait sans préambule à califourchon sur mes cuisses, ondulant suffisamment du bassin pour que je baisse la tête afin d’observer le peu de distance qui le séparait du mien. C’est à ce moment-là, et à ce moment là seulement que je fermais la bouche, pour avaler difficilement ma salive tandis que je luttais pour interdire mes mains de venir toucher ses hanches et l’entrainer encore plus dans ses ondulations. Je ne cessais de me répéter intérieurement « ne la touche pas, ne la touche pas, ne la touche surtout pas ! » mais je crois que même mon cerveau m’a abandonné dès lors que cette danseuse s’est emparée de mes cheveux pour rejeter un peu ma tête en arrière. Ouais… c’est sûr, c’est à cet instant là que tout à court-circuiter dans ma tête. Pourtant encore emprise de tant de retenue et de bonne volonté, je n’ai pas pu résister plus longtemps : j’ai posé mes mains sur ses hanches, et les agrippé malgré moi, alors que cette sulfureuse tentatrice m’a pressé contre sa poitrine puis après ce que je pensais être mon heure de fin – parce que j’oubliais de préciser que depuis qu’elle s’était posée sur mes genoux, j’avais carrément oublié de respirer – elle mordilla le lobe de mon oreille et me ramena à la vie. Elle me murmura un mot, un seul, et j’inspirais enfin toute l’air autour de moi, avalant en prime les effluves de son parfum, tandis qu’elle quittait enfin mes jambes. Mes mains n’avaient d’autres choix que de la laisser partir ; et je n’osais toujours pas regarder à côté de moi. La danseuse s’attarda sur Léo quelques instant, pendant que moi, je cherchais à reprendre mes esprits, le regard encore perdu sur la place vide en face de moi, cette place occupée par la blonde quelques secondes plus tôt. Ce n’est qu’en la revoyant remonter sur scène que mon corps se réveillait enfin et que je tournais la tête vers Leonidas qui se mit à rire en voyant ma tête, encore plus désemparée que je ne l’étais tout à l’heure « ça te faire rire, gros malin » déclarais-je, légèrement agacée par ses moqueries. Comme tout à l’heure, j’attrapais les pans de ma chemise et l’écartais de ma peau, mais cette fois-ci non pas parce que je voulais me faire de l’air, mais plutôt parce que j’avais l’impression qu’elle me brûlait la peau…qu’elle était de trop. Je croisais les jambes, puis les décroisais, cherchant une position avant de finalement laisser toute retenues qui me restait de côté. « Oh et puis merde… » déclarais-je, cédant à mes dernières limites, je me levais à moitié de mon siège en cherchant fébrilement mon sac avant de finalement me réadresser à Léo, tendant la main vers lui « Au lieu de te marrer, file-moi ton portefeuille ! C’est de ta faute après tout si j’en suis là ! » Léonidas ne broncha pas, comme si l’idée de prendre son portefeuille ne lui faisait ni chaud ni froid, et me tendit ce que je lui demandais. J’attrapais alors quelques billets et avançait vers la danseuse qui n’avait rien loupé de ce qu’il s’était passé devant elle. Debout devant son plot, je l’observais se déhancher et attendais qu’elle me fixe pour lui faire signe de se pencher vers moi. Quand elle descendait dangereusement à mon niveau, je cherchais à lui donner un ou deux billets, et optais pour son décolleté comme glissière avant de me pencher vers pour lui demander, ma bouche au plus près de son oreille « Ton nom…donne moi ton nom…s’il te plait… » pourquoi avais-je besoin de le savoir ? pour l’humaniser ? pour chercher un lien, un contact, quelque chose ….en fait, je cherche surtout à connaitre le nom de la femme qui est en train de m’enflammer.
AVENGEDINCHAINS
Winifred Whitaker
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(#) Sujet: Re: [FB] You're my private dancer, right ? Mar 26 Mar - 19:32
Summer Maconahey
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(#) Sujet: Re: [FB] You're my private dancer, right ? Dim 7 Avr - 17:25
Winifred & Summer
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Je ne sais pas ce qu’il me prend…c’est plus fort que moi ! Je ne devrais pas chercher à lui parler, à connaître son prénom. Cette femme n’est là que pour la distraction, elle ne fait que son travail. Mais bon sang, mon corps tout entier réagit en sa présence, si bien que je commence à en vouloir à Leonidas de m’avoir amené ici, de prendre part à ma frustration à me placer ainsi dans une situation inconfortable. Qui suis-je d’ailleurs pour oser prétendre que j’ai le droit de prendre cette danseuse à part pour lui demander son nom ? C’est une danseuse, une stripteaseuse : elle joue un rôle pour ceux qui la regarder, et une fois le show terminé, elle reprend sa vie, ses droits, et son domaine privé.
Je suis cependant surprise de la voir me répondre, avec cette impudeur totale. Elle aurait dû me dire d’aller me faire voir, ou aurait dû me sortir une répliquer digne d’une tentatrice, prête à me dire n’importe quoi pour m’émoustiller, mais certainement pas son nom ! Je fermais les yeux, tremblant d’un léger frisson alors qu’elle venait de murmurer à mon oreille ; le souffle de sa voix venant contraster avec la musique assourdissante en fond sonore. Et soudain, elle me fait sursauter sur place : le contact de sa langue sur ma joue, aussi provocateur soit-il, a réussi à me réveiller. Je rouvrais alors les yeux et reculais, un pas après l’autre, avec lenteur tout en restant subjugué par la demoiselle qui commençait à se déshabiller…pour tout le monde ici présent. Je retombais alors sur mon siège, interdite, sentant les yeux de Leonidas sur moi ainsi que son air rieur…Et je me mordais la lèvre, m’efforçant inconsciemment de stopper cette envie fulgurante de réagir plus que de raison devant cette femme. Winifred…
Je me concentrais sur ma respiration, sans lâcher du regard la jolie blonde qui retira son dernier vêtement, la laissant là, seulement vêtue de sa culotte tandis qu’elle m’adressa un clin d’œil qui me foudroya. Je fronçais alors le regard, en colère contre moi alors qu’elle s’en allait. Elle avait joué son rôle, et j’étais le pauvre pion qui venait bêtement de se faire dévorer. La musique s’arrêta pour laisser à ses clients bourrés de testostérone, rugir et siffler comme des loups affamés. Et moi, je tournais enfin la tête vers mon ami, qui d’un sourire moqueur osa me demander « Alors…comment s’en est sorti ta petite culotte ? » Pour toute réponse, je lui adressai un regard noir tout en lui jetant son portefeuille en plein figure « T’es cruel…et le pire, c’est que ça t’amuse » Leonidas hocha la tête avec vigueur et me confirma que oui, il s’amusait royalement parce que j’étais la personne la plus facile qu’il connaissait. « Je m’en vais…fais ce que tu veux, moi je vais appeler un taxi » déclarais-je en me redressant vivement, et amorçant mes pas sans hésiter une seule seconde. Leonidas me suivit, encore amusé de la situation apparemment, vu qu’il riait toujours. Et dans notre sortie, ni lui ni moi ne se rendit compte que sur la banquette, j’avais laissé ma veste, et accessoirement ma pochette contenant mon portefeuille que je n’avais pas quelque secondes avant. Ce n’est que deux jours plus tard – après le weekend en fait – que j’étais revenue sur les lieux, après avoir réalisé que je n’avais plus mes papiers sur moi. J’avais cherché un peu partout dans ma mémoire, retracé les événements de mon weekend pour tenter de deviner ou j’avais pu tout oublier, quand je réalisais avoir également égarer ma veste…veste porter le fameux soir ou j’avais même perdu jusqu’à mon self-Control !
Hésitante, je revenais dans ce club et me présentait au comptoir de bar, qui n’avait pas la même allure en cet fin d’après-midi…il devait être dans les environs de 17h et chacun employés préparait la salle et la scène pour le soir. Un flash traversa mon esprit, me rappelant à la soirée précédente passée ici, à cette femme…et alors que le barman s’avançait vers moi pour entendre ma requête, au lieu de me renseigner pour ma veste, je demandais « Bonjour…est-ce que…est-ce que Winifred travaille aujourd’hui ? » Je me pinçais les lèvres et regrettais déjà amèrement ma question, secouant la tête alors que l’homme me regardait bizarrement, avant de se tourner vers une femme qui était adossée au chambranle d’une porte, à l’arrière du comptoir. Je ne connaissais pas cette demoiselle, mais elle, elle semblait me reconnaître. Pas le temps de chercher plus loin, qu’elle quitta sa place pour s’engouffrer dans cette pièce qui devait donner aux backstage de tout ce club… Je profitais de ce moment pour clarifier les choses « En fait, peu importe. Euuuhhmmm, je cherche…ma veste et ma pochette. Je suis venue il y deux ou trois jours et j’ai...j’ai égaré. Enfin je suis partie et j’ai laissé mes affaires. Je suis venue avec un habitué des lieux, Mr Vasilis. Vous vous souvenez ou … ? » Comment pourrait-il se souvenir de moi. Il en voit 36 000 des clients.
Ce que je ne savais pas, c’est que pendant que je cherchais à obtenir des informations de la part du barman qui me demanda de patienter ici un instant, la jeune femme que j’avais vu tout à l’heure, c’était effectivement rendu en arrière salle pour aller chercher Winifred. « Hey, Fred ! Tu ne devineras jamais qui est au bar en ce moment ? » déclara la brune, amusée « Tu vas devoir arrêter de faire mumuse avec sa veste et ses papiers… »
AVENGEDINCHAINS
Winifred Whitaker
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(#) Sujet: Re: [FB] You're my private dancer, right ? Mar 16 Avr - 14:35
Summer Maconahey
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(#) Sujet: Re: [FB] You're my private dancer, right ? Ven 19 Avr - 17:48
Winifred & Summer
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Stupide ! je me sentais entièrement stupide…pourquoi avait-il fallu que j’ouvre la bouche pour parler de Winifred ?! Je me maudissais intérieurement tandis que le barman me demandait de patienter. Mon dieu, j’espère juste qu’il a pas mal interprété mes intentions…je viens juste chercher ma veste et ma pochette… ** oui oui, c’est ça ** et je ne souhaite pas voir cette danseuse ** Elle est la première raison qui t’as fait oublier tes affaires ici ; elle est aussi l’unique raison qui ta poussé à venir directement en personne plutôt que de téléphoner pour te renseigner à propos de veste et de pochette perdue ** Rhooo ça va !
J’étais nerveuse, cela se ressentait à mon comportement : je me triturais les mains au-dessus du comptoir, je tournais la tête à droite et à gauche comme pour chercher quelque chose ou quelqu’un, sans succès ; et puis je donnais l’impression d’avoir une envie pressante…une envie pressante de fuir avant de faire n’importe quoi !! C’est ce que je devrais faire d’ailleurs vu que le barman ne revenait pas…soudain, je sentis une présence à mes côtés et c’est comme si mes jambes s’étaient clouées au sol. Je pivotais sur moi-même et je la voyais enfin…cette espièglerie dans le regard, ce sourire dont je ne saurais dire s’il est séduisant ou adorable, moqueur ou enfantin… « Euh Bonsoir, je… » bégayais-je, quelque peu désarçonnée par sa présence et par le surnom qu’elle me donnait. Me comparer à un ange, ce n’était peut-etre pas la meilleure chose à faire : en ce moment, j’ai l’impression d’être tout sauf un ange. Je ne sais pas pourquoi je fais ça. C’est vrai quoi, je suis en couple avec un homme qui m’aime, j’ai deux beau-enfant que j’ai eu avec celui que je considérerais toujours comme l’homme de ma vie, et…et je ne suis pourtant pas satisfaite de ce que je suis, ou de ce que j’ai. Je ne suis pas amoureuse de Paul, je m’ennuie avec lui, ça c’est indéniable…mais de là à finir dans un bar à striptease, et flasher sur une danseuse au point de l’imaginer dans son plus simple appareil, en pleine intimité, en plein acte s…non-stop, il faut que j’arrête ! je dois résister et surtout, je dois clarifier la situation. Je n’ai pas vraiment demandé à la voir, j’ai ** si, si, tu as souhaité la voir ** j’ai juste voulu reprendre mes affaires ** et te la faire ! ** OH MERDE !
Je me laisse entraîner par cette femme sans rechigner, tout en tentant intérieurement de trouver les bons mots, la bonne formule qui expliquera ma présence ici. Je dois éviter toute arrière-pensée. Je n’ai pas le droit de faire ça…Et puis quoi d’ailleurs ? je veux dire, qui suis-je pour prétendre pouvoir charmer cette femme ? d’après ce que Léonidas à su me faire comprendre l’autre soir, Winifred ne fait pas que danser avec ses clients. Certains d’entre eux la choisissent pour d’autres mérites, et je ne veux pas être une cliente pour elle. Premièrement, ce serait lui manquer de respect et. Deuxièmement, elle doit être bien plus habitué à des pénis qu’à autre chose. Donc … Mais alors, dans ce cas, où est-ce qu’elle m’emmène comme ça ? vers mes affaires ? ne pouvait-on pas me les donner plutôt que de me faire imaginer n’importe quoi ? et puis qu’est-ce que je vais lui dire, moi ? « Salut, écoute je suis désolée de t’avoir fait demander, c’est idiot, mais …comme j’ai retenu ton prénom, je n’ai pas trouvé mieux que de le prononcer pour voir ce que ça faisait ?! » RI-DI-CULE. Hmmm essayons plutôt « Hey, euh, je sais que ça parait un peu bizarre, mais, si j’ai demandé si tu étais dans le coin, c’était juste histoire de parler, et de faire connaissance…sur ton lieu de travail, autour de tes collègues etc. Fun, nan ?! » Mouais, ce n’est pas mieux. « J’ai voulu savoir si tu étais là parce que… » « On sera tranquille toutes les deux ici pour faire l’amour. C’est bien pour cela que tu es venue ? »
Oh bah ça alors ?! Ca fait genre 5 minutes que je panique à l’idée de trouver quoi lui dire sans passer pour une tarée en manque de sexe ou je ne sais quoi d’autre, et tout ça pour quoi ? Pour me faire grillée en une fraction de seconde, sans même avoir ouvert la bouche ! « Je…Okay, euhmmm…comment…est-ce que tu… » je cherchais mes mots, penchant la tête d’un côté, puis de l’autre, fronçant le regard, encore sous le choc des paroles très cash de la jolie blonde. Finalement, lasse de vouloir me chercher des excuses, j’inspirais profondément et avouais « Ecoute, je ne sais pas ce qui…se passe en fait. Je suis venue ici pour venir chercher mes affaires et…j’aurais pu téléphone pour m’assurer qu’elles étaient là mais…j’avais envie de te voir, et sans vraiment savoir si… » je la fixais droit dans les yeux, cherchant une réponse quant aux intentions de Winifred, lorsqu’enfin, c’est mon regard qui changea du tout au tout : passant de l’incompréhension et la gêne à l’envie et la détermination, je regardais Winifred avec une nouvelle envie dévorante de la faire mienne. Je ne commande rien ! J’ai juste envie de l’embrasser, de la toucher, de…de revivre dans ses bras, et de la sentir vibrer sous mes doigts.
Ses provocations ont eu raison de moi…reste une seule hésitation qui m’empêche d’être libre de ce que je veux vraiment. La suivante : est-ce qu’elle me prend pour une cliente et aura des règles avec moi, comme avec les autres ? « T’as raison…je suis venue pour ça. Et j’ai très envie de te remercier pour avoir garder mes affaires. » le ton de ma voix aussi a changé. Plus rauque, plus assuré, je m’approche d’elle d’un pas, puis un deuxième jusqu’à ce que mon corps colle le sien, et que je m’autorise à passer une main autour de sa taille pour l’attirer à moi. « Ma question c’est…je te récompense de quelle manière ? telle une cliente VIP pour une séance spéciale, ou…. ? » mon visage n’est qu’à quelques centimètre du sien. Il me suffit de faire les derniers centimètre pour que mes lèvres touchent les siennes, mais je préfère m’abstenir…du moins tant que je ne saurais pas QUI je suis pour elle, en cet instant.
AVENGEDINCHAINS
Winifred Whitaker
MEMBRE DES FRENCHMEN Je veux mon quart d'heure de gloire
Depuis mon arrivée le : 09/02/2019 j'ai posté : 109 messages qui m'ont rapporté : 495 $ sous les traits de : Margot *bomb* Robbie Vous pouvez me retrouver aussi sous : Katherine Wheeler (Gal Gadot) D'ailleurs je dois mes images à : xx En ce moment, je suis : présent(e) et pour finir, en RP, je préfère : les rps courts (< 250 mots).
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