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Je n'avais nulle part ou aller...

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Summer Maconahey


Summer Maconahey
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Personne ne doit être abandonné, oublié


Depuis mon arrivée le : 11/03/2018 j'ai posté : 627 messages qui m'ont rapporté : 560 $ sous les traits de : Brittany Snow. Vous pouvez me retrouver aussi sous : Joan Grieve (Anna Kendrick), et Sofia Garrison (Stana Katic) D'ailleurs je dois mes images à : Towntrotter & S7K. En ce moment, je suis : en présence réduite du : 26/07 au 20/08
et pour finir, en RP, je préfère : m'adapter à mon partenaire.


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Message(#) Sujet: Je n'avais nulle part ou aller...  Je n'avais nulle part ou aller... EmptyLun 28 Mai - 21:24


  Summer et Paris

  Je n'avais nulle part ou aller...et n'avais pas envie de voir quelqu'un d'autre que toi.

 

  [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Je tourne en rond chez moi. Je tourne en rond dehors. Ma tête tourne en rond, depuis ce fameux braquage à la banque. Je pensais avoir déjà vécu pas mal de choses marquantes ou traumatisante, mais voilà que ce jour s’était ajouté à la longue liste de jour poisseux que j’aurais préféré ne pas jamais vivre. Dans mon malheur, ce jour-là, je n’avais pas été seule…mais bon sang, quand on sait le résultat, je me demande si je n’aurais pas préféré être la seule victime de ce cauchemar.
Au boulot, on m’avait conseillé de prendre quelques congés. Ma famille m’avait plus que sollicité à le faire également, Grâce ayant même été jusqu’à me proposé de prendre Ashlynn et Caleb chez elle pour la semaine, me laissant la possibilité de prendre du temps pour moi. C’est bête mais au début j’avais trouvé que c’était une bonne idée, au moins je n’aurais pas eu à justifier de mes tremblements ou de mes moments d’absence devant mes enfants…mais ce soir ? je regrettais fortement de n’avoir personne à mes côtés…Paul était à un congrès d’avocat cette même semaine, ce qui fait que son appartement semblait encore moins chaleureux que d’habitude. Je ne m’y sentais pas réellement chez moi à la base, mais là j’avais carrément l’impression d’étouffer. Alors je n’ai pas trouvé mieux que de prendre ma voiture et rouler…rouler jusqu’à en avoir marre, jusqu’à trouver un coin ou j’aurais pu me sentir bien. Le Fly, un parc non loin de mon travail avait été mon premier point de repère… A cette heure et par ce temps un peu plus frais que d’habitude, peu de monde s’y était aventure. J’aurais pu croire que ce calme m’aurait été bénéfique mais non : il m’oppressait encore plus. J’y suis pourtant resté jusqu’à ce que la pluie ne tombe à gros goutte. Et une fois réfugiée dans ma voiture, je laissais mon esprit me guider…pour finir devant l’immeuble de Paris.

J’ai passé 10 minutes, silencieuse et immobile devant mon volant à regarder la façade de cet immeuble en espérant trouvé un signe…avais-je le droit de venir ici ? sincèrement, je ne sais même plus quelles sont les limites à avoir ou pas avec mon ex-mari. La seule chose que je sais, c’est qu’à l’époque, il a toujours été mon pilier, mon point d’ancrage quand je ne savais plus où aller ou vers qui me tourner. Bien sûr il y avait Léonidas ou encore Bonaventure, mes deux meilleurs amis ; ou encore mon frère !!! Mais bien qu’ils étaient tous des hommes en qui je pouvais compter…pouvait-il comprendre ce que ce braquage avait fait naitre comme angoisse en moi ?! La peur de ne plus revoir ces enfants ? cette pensée idiote qui m’avait envahi : Se souviendrait-il de moi une fois plus grand, si jamais je venais à ne pas survivre à cette attaque à mains armées à la banque…La seule personne qui pouvait comprendre ce que de côtoyer le danger pouvait nous faire faire, ou nous faire penser, c’était bien Paris. Pompier, et surtout…père…père de mes enfants.

Limite ou pas donc, je n’avais pas le choix : c’était bien lui que je devais voir, et que j’avais envie dev voir. Lui seul calmait mes angoisses, connaissait mes peurs sans les juger trop exagéré. Je sortis donc de ma voiture et courrait à travers les gouttes pour éviter vainement la pluie. Et alors que j’allais appuyer sur l’interphone pour appeler Paris, un homme ouvrit la porte. Il venait de sortir du sous-sol et avait jugé bon de m’ouvrir rapidement pour m’éviter la saucée. « Merci » lui adressais-je, avant de me secouer un peu les cheveux et tenter d’y remettre de l’ordre. Je montais ensuite les escaliers pour finir ma course devant la porte de l’appartement de Paris et sonna.

Pas de réponse. Quelle idiote. Bien sûr qu’il n’est pas là…il n’a pas eu de congés forcés lui. Il est à la caserne ou en mission quelque part. Bon sang, je suis destinée à ruminer seule avec mes pensées douteuse et mes angoisses… Lasse, à bout, perdue, je levais les yeux au plafond et laissait échapper un soupire qui en disais long sur mon désespoir. Puis je pivotais sur moi-même, m’adossait à la porte de l’appartement, et m’y laissais glisser jusqu’au sol. Recroquevillé sur le palier, je n’avais nulle part ailleurs où aller… alors je restais là. A attendre. Peut-être en vain. Mais ironiquement, je me sentirais sans doute plus en sécurité dehors, devant cette porte qu’entre les quatre murs de l’appartement de Paul. Les genoux repliés jusqu’au buste, je les encerclais de mes bras et posais ma tête pour m’y cacher, en attendant que le temps passe…

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Depuis mon arrivée le : 29/01/2018 j'ai posté : 881 messages qui m'ont rapporté : 405 $ sous les traits de : Derek *sexy* Theler Vous pouvez me retrouver aussi sous : Tomas W. (C. Hemsworth), Bonaventure W. (J. Williams) & Leonidas Vasilis (Jason Momoa) D'ailleurs je dois mes images à : Townies (vava) tumblr (gif) En ce moment, je suis : présent(e) et pour finir, en RP, je préfère : m'adapter à mon partenaire.


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Message(#) Sujet: Re: Je n'avais nulle part ou aller...  Je n'avais nulle part ou aller... EmptyLun 28 Mai - 21:41


  Summer et Paris

  Je n'avais nulle part ou aller...et n'avais pas envie de voir quelqu'un d'autre que toi.

 

  [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Paris s’adossa à la paroi du fond de l’ascenseur. Il était crevé après sa dernière intervention mais il doutait de trouver le sommeil. Ces derniers temps, il était poursuivi non pas par le souvenir de son enfance mais bel et bien par une tête blonde. Son ex-femme. Cette amitié était en train de le tuer à petit feu mais que pouvait-il faire d’autre ? Etre loin d’elle n’était plus une option. Il avait essayé et cela n’avait pas fonctionné donc autant se rendre à l’évidence. En prime, depuis deux trois jours, il n’arrêtait pas de penser à elle. Comment allait-elle ? Est-ce qu’elle arrivait à se remettre de ce tragique braquage ? Paris la connaissait tellement bien qu’il se retenait à grande peine de la harceler ou même d’aller la voir. Après tout, ce n’était plus son rôle, elle avait Paul pour la soutenir, lui donner l’impression que dans ses bras, rien de grave ne pourrait lui arriver. Quand ils avaient eu l’alerte pour se rendre sur les lieux du braquage et qu’il avait vu la liste des otages… Bon sang, il avait cru devenir dingue : sa petite sœur, son petit frère et la femme de sa vie. Tous les trois en danger. Paris avait cru qu’il allait frapper l’officier chargé de cette affaire tant il voulait être certain qu’il ne ferait pas de connerie. Aussi avait-il été soulagé en voyant cette histoire se terminer… plus ou moins bien. Ils étaient en vie, c’était le principal tint-il à s’en convaincre.

L’ascenseur émit un bip et les portes s’ouvrirent sur le couloir de son pallier. Il bailla une nouvelle fois en se passant une main sur le visage, grimaçant en sentant sa barbe un peu rugueuse. Il allait vraiment falloir qu’il aille chez le barbier. Un pas puis un deuxième et il l’aperçut enfin. Summer était recroquevillée contre la porte de son appartement, semblant aussi fragile qu’un nouveau-né. « Babe ? » l’appelait-il doucement, usant machinalement de ce surnom qui n’appartenait qu’à elle. Aussitôt, il franchit la distance les séparant, s’accroupissant à ses côtés pour poser une main sur son épaule. Elle était complétement trempée, tremblante. « Bordel, ça fait longtemps que tu m’attends ? » s’inquiétait-il en l’aidant à se relever pour mieux ouvrir la porte de son appartement. « Entre » lui ordonna-t-il d’une voix ferme alors qu’il ramassait son sac à main, restée sur le palier.


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Message(#) Sujet: Re: Je n'avais nulle part ou aller...  Je n'avais nulle part ou aller... EmptyLun 28 Mai - 21:58


  Summer et Paris

  Je n'avais nulle part ou aller...et n'avais pas envie de voir quelqu'un d'autre que toi.

 

  [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Je n’avais plus de notion du temps. J’aurais pu être là depuis dix minutes comme j’aurais pu être là depuis une heure. Enfin Là je crois que je suis plutôt là depuis plus longtemps que ça…Mais je m’en fiche en fait. Depuis que je me suis posée sur ce palier, le silence ne me dérange plus. Ce qui me tient éveillée, c’est le froid. Je suis trempée et je n’ai pas trouvé la force de me relever pour aller chercher un manteau ou des affaires de rechange que j’aurais pu laisser dans le coffre de ma voiture…Je suis bien là, si on oublie mes tremblements. Je m’y suis tellement habituée ces derniers jours que je n’aurais dire d’ailleurs s’il s’agit du froid ou de mon angoisse. Sincèrement, je ne fais plus attention à rien, pas même au ding de l’ascenseur qui annonçait que quelqu’un s’arrêtait à l’étage. J’avais gardé la tête enfouie dans mes bras et les yeux clos, parce qu’il s’avérait que ça me donnait l’impression d’être dans une bulle…une bulle qui finirait par éclater.

J’avais entendu la voix de Paris, m’affublant de ce petit nom affectif que lui seule avait le droit de me donner. Le problème, c’est que j’étais persuadée d’avoir imaginé sa voix, à forcer de l’espérer cruellement ! Ce n’est que lorsque je sentis sa main sur mon épaule que je compris que je n’avais pas rêvé. J’avais alors relevé la tête, plisser un peu des yeux à cause de la lumière qui s’était allumé dans le couloir à cause de la détection de mouvement d’un Paris sortant de l’ascenseur, puis je tentais un faible sourire qui s’échoua bien vite parce que je ne cessais de trembler. « Je…Je sais pas… » bégayais-je alors que Paris se demandait depuis combien de temps j’étais prostrée là « J-Je savais pas où aller… » Disons plutôt que je n’avais pas envie d’aller ailleurs qu’ici. Pour aller ou d’ailleurs ? Retournée à l’appart, chez Paul ? sans les enfants, ces murs me paraissent bien froid et maussade.

Paris m’aida à me relever et ouvrit très vite la porte de son appartement, me sommant d’entrer en m’y poussant presque d’une main dans le bas de mon dos. Je n’avais vraiment pas fait gaffe à mon sac en fait…Paris s’en chargea pour moi. « Il est tard ? » demandais-je innocemment et surtout parce que j’étais complètement déboussolée… « J-..je…j’aurais dû t’appeler avant… » Je me rendais compte de cela seulement maintenant. Oui Summer, on appelle les gens avant de leur rendre une visite !!

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Message(#) Sujet: Re: Je n'avais nulle part ou aller...  Je n'avais nulle part ou aller... EmptyLun 28 Mai - 22:07


  Summer et Paris

  Je n'avais nulle part ou aller...et n'avais pas envie de voir quelqu'un d'autre que toi.

 

  [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Pourquoi fallait-il toujours qu’une Summer débarque à son appartement, trempée, et en couple avec quelqu’un d’autre que lui ? Paris avait le souvenir d’une soirée où elle était arrivée, perdue, trempée et gelée après s’être disputée avec son petit-ami de l’époque, un certain Gabin. Ce soir, il savait que cela n’avait rien à voir avec Paul. Son regard en disait long sur l’angoisse qui l’habitait et surtout sur le traumatisme qu’elle avait vécu. Il était habitué à voir cette expression hagarde sur les visages de victimes qu’il secourait. Neptune entra à son tour dans l’appartement, toujours fidèle au poste et alla se coucher dans son panier. Il devait être aussi crevé que lui mais qu’importe, il avait d’autre chat à fouetter. « Ne t’inquiète pas, tu as bien fait de venir » dit-il en la conduisant avec tendresse, vers le canapé. « Assis toi, je vais chercher de quoi te sécher et te mettre au sec » dit-il en la quittant un bref instant le temps de se rendre dans la salle de bain pour récupérer deux serviettes, faisant un rapide détour par sa chambre pour lui prendre un short et un t-shirt qui lui ferait sûrement office de robe. « T’es complètement gelée » grogna-t-il en l’approchant à nouveau. Ses mains étaient gelées. Dans l’état où elle se trouvait, il ne chercha même pas à discuter, commençant à la déshabiller avec des gestes sûrs et protecteur. Certes, ce n’était pas vraiment approprié mais il s’en foutait comme de sa première chaussette. Puis, il l’avait déjà vu nue des centaines de fois voire des milliers et pour le coup, il se foutait bien de Paul. Si Summer était là, c’est que ce crétin n’avait pas tenu son rôle auprès d’elle. Tant pis pour lui. Paris attrapa l’une des serviettes et vint l’entourer autour de son corps nu pour mieux prendre la seconde et frotter ses bras puis s’attaquer à ses cheveux. « Tu sais que t’es mignonne toute ébouriffée ? En dirait Neptune après son bain » la taquina-t-il pour lui arracher au moins un léger sourire. « C’est bien, tu commences à te réchauffer » constatait-il avec plaisir alors qu’il l’aidait à enfiler le short puis le T-shirt. « Bien ce que je pensais, mes fringues te font toujours des robes »

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Message(#) Sujet: Re: Je n'avais nulle part ou aller...  Je n'avais nulle part ou aller... EmptyLun 28 Mai - 22:29


  Summer et Paris

  Je n'avais nulle part ou aller...et n'avais pas envie de voir quelqu'un d'autre que toi.

 

  [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Je me laissais guidée dans cet appartement qui ne m’étais plus si inconnus que cela. Neptune non plus d’ailleurs, n’était plus à présenter ! Je l’observais se rendre sur le canapé, là où Paris m’envoyait d’ailleurs. Je ne me fis même pas prier, m’asseyant en oubliant quelques secondes que je pouvais tremper le sofa en y posant mes fesses dessus ! J’avais les mains jointes sur mes cuisses et regardais le tapis qui se trouvais sous la table basse, sans vraiment le détailler. Disons simplement que mes yeux s’étaient posés là et n’avaient pas voulu bouger ! Neptune se m’y à bailler bruyamment à mes côtés et c’est ce qui me sortit de ma léthargie. Je regardais le Labrador qui me zieutais et sourit du coin des lèvres. Il était comme son maitre en fait : il ne dit rien, se la joue discret et en retrait…mais garde un œil sur vous, juste pour être sûr que tout va bien !
En parlant du maître : Paris revenait avec deux serviettes et je levais la tête pour le voir s’approcher. « J’ai oublié qu’il pouvait pleuvoir » déclarais-je innocemment alors qu’il prenait conscience de mes mains froides « Je suis passée par le p-parc à côté d-d’mon boulot… » tentais-je d’expliquer, alors que je me relevais du canapé sans réfléchir à ce qu’il se passait. Je continuais de trouver la force de parler, pendant que Paris me déshabillait : cela ne me choquait même pas. Enfin si peut-être bien que j’aie commencé à paniquer à la seconde même ou je me suis retrouvée complètement nue, parce que je n’avais plus l’habitude de me montrer ainsi devant lui et aussi surtout parce que je commençais à avoir peur d’un jugement sur mon apparence d’aujourd’hui. C’est idiot quand on pense que j’ai été mariée à cet homme que me suis mise nue devant lui plus d’un millier de fois !

Ma nudité ne dura pas bien longtemps vu que la plus grande des serviettes m’entoura le corps grâce aux mains expertes de Paris. Avec l’autre, le pompier me sécha les bras et la tête en m’enveloppant avec l’autre serviette, et quand je revis enfin la lumière, je soufflais pour venir évacuer une mèche rebelle sur mon visage. C’est à ce moment que je me mis à rire pour la première fois depuis 3 jours. Être comparé à un chien, ce n’est pas flatteur, mais au moins, c’est drôle ! « Tu dis ça à cause de ma couleur blonde… si j’avais été rousse tu m’aurais comparé à quoi ?! » tentais-je de plaisanter à mon tour, me rendant compte que c’était simple avec Paris, de trouver un semblant de paix ! Paris continuait de me frictionner et je me sentais effectivement me réchauffer quand, ENFIN, des vêtement sec retombaient enfin sur mon corps « Robe ou sac à patate ! je me vois pas fans une glace pour pouvoir te le dire » je souriais du coin des lèvres, signe que peu à peu, je commençais à sortir de ma panique…les angoisses restait présente, mais le froid ne me paralysait plus. J’en profitais donc pour faire ce que je savais faire le mieux : être reconnaissante. « Merci…je suis sincèrement désolée de venir si tard. Mais j’allais devenir dingue à l’appart, toute seule ! J’avais plus à faire taire ma tête, tu vois ?! »


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Message(#) Sujet: Re: Je n'avais nulle part ou aller...  Je n'avais nulle part ou aller... EmptyLun 28 Mai - 22:40


  Summer et Paris

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  [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Paris n’avait pas osé profiter de sa nudité pour la regarder, il avait poursuivi dans cette attitude protectrice car il savait que cela serait trop dur pour lui. Il n’était qu’un homme après tout. Un homme qui crevait d’amour pour cette femme qui en aimait un autre. Au moins, maintenant, elle ne le croyait plus en couple avec sa psy, c’était une bonne avancée… qui n’avait servit à rien puisqu’elle était toujours avec Paul. Une petite voix lui souffla qu’il avait déjà jarté un Gabin de sa vie alors pourquoi pas un Paul ?! Mouais mais à cette époque-là, son petit-ami n’était pas un homme respectable, qui gagnait foutrement bien sa vie au point d’avoir un appartement dans le vieux carré français et bel homme. On ne pouvait pas lui enlever cela soupirait-il intérieurement. Paul avait tout du genre idéal et c’était bien là son problème. « Il va falloir que tu t’en rappelles assez vite car ça va bientôt être la saison des ouragans » la taquinait-il en se retenant à grande peine de lui mettre une fessée bien sentie pour être sortie seule, le soir, en plein parc. C’est que ce n’était pas tranquille à la Nouvelle-Orléans. Loin de là. Certains quartiers étaient même à éviter à la nuit tombée. Rapidement, il enroula la serviette autour de son corps, ses doigts s’attardant peut-être un peu trop sur sa peau mais rappelez-vous, ce n’était qu’un homme soumis à ses sentiments. « Hum laisse moi réfléchir… A l’affreux doudou d’Ashlynn quand elle avait un an ? Tu sais l’espèce de chose qu’elle trainait partout.. je crois que c’était un renard mais je suis plus certain » répondit-il du tac au tac non sans lui sourire, amusé. Il l’aida par la suite à s’habiller pour mieux contempler son œuvre : elle était au sec, dans des vêtements qui la couvrait suffisamment pour ne pas qu’il ait trop envie de lui sauter dessus -enfin si on passait outre le fait que son ex-femme était dans SES fringues (pas certain qu’il les lave avant un moment). « Tu es sublime comme à ton habitude ! » réfutait-il toute autre réponse. « Tu n’as pas à me remercier. Je suis content que tu sois venu me voir… je me demandais justement comment tu allais… Je ne voulais pas trop m’imposer » avouait-il en se massant la nuque. « Où est Paul ? » fronça-t-il les sourcils et on pouvait sentir une légère pointe de colère tout de même. « Il n’aurait jamais du te laisser seule dans un moment pareil »

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Message(#) Sujet: Re: Je n'avais nulle part ou aller...  Je n'avais nulle part ou aller... EmptyMar 29 Mai - 12:02


  Summer et Paris

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  [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Alors après le chien, c’est le doudou dégueux d’Ashlynn « C’est ta façon à toi de me remonter le moral ?? De me comparer à des lambeaux ?! » je gloussais gentiment avant de prendre conscience des fringues qui me couvrait, le tissu sec et chaud me réconfortant. Paris se rattrapa de ses comparaisons douteuses en me déclarant être sublime, et je me sentie bêtement rougir avant de répondre « un sublime petit chien mouillé ! » Je tenais après cela à le remercier de m’avoir accueillie malgré l’heure et la situation, et je ne m’étonnais même pas que Paris me questionne sur l’absence de Paul. Je laissais échapper un petit ricanement nerveux tout en haussant les épaules avant de l’informer : « A un congrès d’avocat depuis le début de la semaine… » En fait, Paul était déjà partie le jour où j’avais pris mon congé pour aller à la banque. J’avais justement profité de son absence pour aller me renseigner sur les possibilités que je pouvais envisager à devenir à nouveau propriétaire, où à faire diverses placement pour mes enfants. Si Paul avait eu vent de mon envie de me racheter un appartement ou une maison, il se serait posé tout un tas de questions… « Il n’était déjà plus là quand c’est arrivé…je l’ai appelé et l’ai prévenu mais…enfin…c’est pas évident de quitter ce genre de congrès, n’est-ce pas ? » Ma dernière interrogation ne servait sans doute à rien, vu que ni moi ni Paris n’étions avocat et donc conscient des obligations de Paul. Pendant mes explications, j’avais gardé la tête baissée, et quand je l’ai relevé, j’ai pu constater l’air blasé et légèrement en colère de Paris. A tous les coups, il en voulait à Paul. Je posais alors une main sur son avant-bras pour attirer calmement son attention et d’un demi-sourire, déclarais : « Ce n’’est pas grave…surtout que…pour être honnête, je ne suis pas sûre que j’aurais voulu partagé mes angoisses avec lui… » Tout simplement parce que Paul et moi n’étions pas en couple depuis très longtemps et aussi parce qu’il y avait une chose sur laquelle je ne faisais pas de concession ou de partage : Mes enfants. Comment donc expliquer à Paul que la première chose à laquelle j’ai pensé, dans cette banque confrontée au danger, ce sont mes enfants ? Mes enfants ET Paris ? Mais pas lui…pas Paul. Il n’aurait pas compris…et il aurait eu raison.

Immobile et plantée devant Paris, j’observais sa carrure, sa présence imposante. Mon dieu je donnerais tout pour être dans ses bras, parce que je connaissais la capacité innée qu’avait Paris à me faire sentir en sécurité. Il n’avait qu’à envelopper ses bras autour de moi pour que je me sente dans une bulle, intouchable, inattaquable…. Mais je n’osais pas. Mes yeux suivaient la silhouette de Paris, et on pouvait facilement deviner que je me retenais physiquement de me coller à lui pour quémander un câlin. Je me triturais les mains, jouant nerveusement avec mes doigts, et me mordais la lèvre puis l’intérieur des joues pour faire violence. Je n’avais pas le droit de lui imposer de m’enlacer…et pourtant, ma bouche elle ne résista pas longtemps à faire sa demande : « Est-ce…Est-ce que tu veux bien me prendre dans tes bras ?? » les yeux plantés dans ceux de Paris, je l’implorais parce que je n’arrivais clairement plus à savoir ce qui pourrait me réconforter plus que ses bras, aujourd’hui…


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Message(#) Sujet: Re: Je n'avais nulle part ou aller...  Je n'avais nulle part ou aller... EmptyMar 29 Mai - 12:38


  Summer et Paris

  Je n'avais nulle part ou aller...et n'avais pas envie de voir quelqu'un d'autre que toi.

 

  [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] « Que veux-tu, j’ai toujours été doué pour les comparaisons flatteuses, c’est ma marque de fabrique » répliqua-t-il avec un sourire amusé, ravi de voir Summer se détendre un peu. Elle lui paraissait déjà moins perdu et mine de rien, cela le soulageait. Paris était tout de même heureux de la savoir là, face à lui. Au moins, il avait tout loisir de la protéger car nul doute là-dessus : celui ou celle qui chercherait à la blesser, se verrait aussitôt éjecté de l’appartement -autant dire qu’il ne comptait pas non plus la renvoyer chez elle en pleine nuit, quitte à dormir sur son canapé inconfortable pour lui laisser sa chambre. « Ouais mais contrairement à Neptune quand il est mouillé, tu sens bon… sans rancune buddy hein » lança-t-il à son chien qui, le regardait d’un air de dire : qu’est-ce que tu racontes encore comme connerie humain ?! Neptune se releva pour mieux se tourner dans l’autre sens, complètement indifférent à ce qui se passait sous sa truffe. Son maître eut un sourire amusé plus prononcé avant de le perdre en s’intéressant à un sujet beaucoup moins drôle : l’absence de Paul auprès de Summer. « Quand on veut, on peut… A sa place, je t’aurais embarqué à la caserne pour être certain de ne pas te laisser seule » haussait-il les épaules. Il ne cherchait pas à marquer des points mais simplement à lui ouvrir les yeux. Paul avait bien aimé sous-entendre lors de l’apéritif, qu’il avait été là pour elle au moment où lui, l’avait abandonné. Et pour quoi ? La laisser seule au moment où elle en avait le plus besoin, juste parce qu’il avait un congrès d’avocat, le genre de réunion où ils faisaient que gonfler leur égo et leur carnet d’adresse en buvant un verre dans un bar de l’hôtel. Summer vint lui dire que ce n’était pas grave et il la regarda longuement. « Avec moi, tu le peux babe » tint-il à lui préciser mais c’était inutile. Elle le savait d’où sa présence devant sa porte ce soir.

Summer vint se rapprocher légèrement de lui, le toisant avec un regard qui lui fendait le cœur. A nouveau, elle lui semblait la plus fragile des créatures si bien quand elle lui demanda s’il pouvait la prendre dans ses bras, il n’hésita pas un seul instant. « Bien sûr, viens par là » murmura-t-il en l’attirant contre son torse musclé, refermant ses bras autour de son corps. L’une de ses mains remonta le long de son dos jusqu’à se perdre dans sa chevelure blonde. Paris la berça silencieusement, lui offrant toute la sécurité et la protection dont elle aurait besoin. « Reste là cette nuit.. Tu peux dormir dans mon lit, je prendrais le canapé mais je n’ai pas envie que tu rentres toute seule… »


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Message(#) Sujet: Re: Je n'avais nulle part ou aller...  Je n'avais nulle part ou aller... EmptyMar 29 Mai - 13:01


  Summer et Paris

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  [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Je ne cherchais même pas à défendre Paul alors que Paris me rappelait qu’en tant que petit-ami, il aurait dû être présent pour moi. Bizarrement, je me fichais qu’il ne soit pas là…je crois que sa présence m’aurait encore plus angoissée. Paul est un homme qui a su être là pour moi quand j’avais touché le fond, mais disons que j’avais plutôt accepter qu’il le fasse parce que je n’avais personne d’autre que lui à cette époque-là ! Si j’avais été honnête, je lui aurais sans doute dit à l’époque que jamais je n’avais voulu que LUI vienne me sauver…mais je ne pouvais pas nier qu’il avait été patient, tendre et à l’écoute. Mais nul doute que si la raison de ma déchéance n’avait pas été Paris et notre divorce, mon ex-mari aurait été le premier vers qui je me serais tournée. « Je sais…c’est pour ça que je suis là je crois… » osais-je avouer timidement quand Paris me confirma qu’avec lui je pouvais partager mes angoisses…

J’étais là pour ça mais aussi parce que Paris était le seul qui savait me prendre – sans sens connotée ! Il suffisait qu’il m’enlace où qu’il laisse courir ses mains dans mes cheveux pour que je me sente protégée…Alors quand il accepta de me prendre dans ses bras en s’exécutant sans hésiter, je fondis littéralement contre son torse, enroulant mes bras autour de sa taille parce que vu sa carrure, il n’y avait qu’à cet endroit-là que mes bras pouvaient venir faire entière le tour de son corps pour le serrer contre moi. Et je soupirais longuement, avec un certain réconfort quand je sentis la main de Paris s’enfouir dans mes cheveux, ne me rendant même pas compte que ce n’était pas vraiment un soupir que j’avais laissé s’échapper, mais plutôt un gémissement. J’avais fermé les yeux et trouvait enfin l’apaisement avant de chuchoter « J’ai bien cru que je n’allais plus pouvoir ressentir ça un jour… » je me laissais envahir par la sensation de sécurité avant de préciser « ..Toi…tes bras… » Paris me proposa de rester dormir et je ne trouvais pas mieux que d’hocher la tête et de dire « Merci ..J’avoue que j’ai pas envie de rentrer…» Mais est-ce que le fait de dormir dans un lit qui n’est pas le mien me rassurera ? Je ne sais pas. Je préfère ne pas y penser tout de suite. Je restais dans ses bras au moins 5 minutes avant de me décider de le relâcher pour mieux lui demander quelque chose à nouveau : « Est-ce que je pourrais avoir un verre d’eau s’il te plait ? » j’aurais bien pris un verre de vodka mais je connais déjà sa réponse alors…


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Message(#) Sujet: Re: Je n'avais nulle part ou aller...  Je n'avais nulle part ou aller... EmptyMar 29 Mai - 13:53


  Summer et Paris

  Je n'avais nulle part ou aller...et n'avais pas envie de voir quelqu'un d'autre que toi.

 

  [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Summer était dans ses bras, s’abandonnant à son étreinte comme par le passé. Paris n’aurait pu rêvé mieux si ce n’est d’être à nouveau la personne la plus importante à son cœur. Il fallait qu’il se fasse une raison mais allez dire cela à son cœur qui se mourrait d’amour pour cette femme. Alors, pour l’heure, il se contentait de la serrer contre lui, d’embrasser le sommet de son crâne par intermittence, de lui offrir tout ce qu’il pouvait lui donner : tendresse, sécurité, protection. Sa main continuait de lui caresser les cheveux, de masser sa nuque, de faire en sorte de la détendre au maximum. « Ils te seront toujours grands ouverts babe » souffla-t-il car il n’avait aucun besoin ni même aucune envie de les ouvrir pour une autre qu’elle. Paris était prêt à vivre dans la solitude la plus complète, il avait fait ce choix en son âme et conscience. A quoi bon se voiler la face ? Il avait essayé de la haïr, de s’accrocher à cette rancœur qui avait détruit leur couple mais rien à faire. Au final, les bons souvenirs l’avaient emporté sur la colère et il était resté, son cœur en miette loin d’elle. A présent, la vie lui offrait une seconde chance et il souhaitait la saisir qu’importe la place qu’il occuperait auprès d’elle. Amis, amant, mari… Du moment qu’il pouvait la voir, la serrer dans ses bras, entendre sa voix et son rire. Le reste n’était que secondaire même si la souffrance était présente. De toute manière, il avait l’habitude, en quoi cela le changerait-il ?! Heureux, malheureux, il s’en foutait tant qu’elle et leurs enfants, l’étaient, heureux. « Je dois te dire que c’était pas forcément une question… j’étais prêt à t’attacher à mon lit s’il le fallait » plaisantait-il avant de se détacher d’elle. « Je vais te chercher ça. Tu veux manger quelque chose aussi ? J’ai pas grand-chose dans le frigo mais je dois avoir quelques trucs à grignoter » lui proposait-il. La semaine, il avait tendance à manger à la caserne avec son équipe avant de regagner l’appartement, du coup, faire les courses, ce n’était franchement pas sa priorité.

Paris revint quelques instants plus tard, deux verres de scotch dans la main et une petite bouteille d’eau. « Je me suis dit que ce soir, tu avais peut-être besoin d’un remontant… » en lui tendant le verre le moins rempli -faut pas déconner, il oubliait pas qu’elle ne devait pas boire d’alcool en temps normal. « Est-ce que tu veux en parler ? »

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