La solitude n'est pas la bonne solution ( Tomas)

   Danika & Tomas

   La solitude n'est pas la bonne solution

   [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] 27 mai
Je restais à tourner en rond dans mon appartement, Tomas venait de me proposer de le rejoindre au cabinet et ensuite j'irais dormir chez lui. Mais pourquoi accepté, je voulais rester toute seule, j'étais comme ça depuis longtemps, tout gardé pour moi et ne rien dire à qui ce soit. On n'avait pas eu une vie facile avec mes frères et mes soeurs sont même si je n'arrivais pas à cacher quoi ce soit à Aaron, j'y arrivais un peu avec Paris et Malone, mais ce n'étais pas facile. Surtout avec Paris qui était vraiment très protecteur avec moi. Après le braquage il était passé me voir et j'avais tout fait pour lui faire comprendre que j'allais bien et à chaque fois qu'il voulait passer à la maison, je lui disais que j'étais au travail. Je sais que ce n'était pas bien de mentir, encore moins à son frère. Mais je n'avais pas envie de parler encore et encore de ce qui s'était passé ce jour-là. La police pour commencer, ensuite les médecins pour savoir si j'avais des blessures, ensuite la psychologue devant laquel j'étais totalement silencieuse, déjà que je n'arrivais pas à me confier à mes proches, donc un inconnu, il en était hors de question. Et de toute façon je voyais bien tous ses regards sur moi, ils allaient tout ce juger, encore plus depuis l'apparition de cet article qui avait bien fait comprendre que de toute façon tout était de notre faute, qu'on aurait dut resté sagement assis à notre place et que rien ne se serait passé. Ou au contraire, tout le monde serait mort. Malheureusement on ne sait pas ce qui aurait bien pu se passer si on avait réagi différemment. En tout cas Tomas avait su être là, ses paroles avaient réussi à me convaincre d'aller le rejoindre à son cabinet et ensuite à dormir chez lui.Je ne sais pas du tout ce qui allait se passer, je me posais tellement de questions. Je finissais par boire un verre, l'alcool n'était pas la bonne solution, mais peut-être que j'arriverais à oublier ce qui m'était arrivé. Après deux verres je finissais par faire un sac en espérant ne rien oublier et j'appelais un taxi, je n'allais pas prendre la voiture alors que je venais de boire et surtout je n'avais pas la tête à conduire, je ne voulais surtout pas prendre le risque de blessé quelqu'un d'autre. Une fois dans le taxi je ne disais rien en essayant d'être la plus discrète possible. J'étais vraiment mal à l'aise, juste parce que j'avais cette impression que tout le monde me regardait et me jugeait surtout. Une fois devant son cabinet je mettais plusieurs minutes avant de montée pour prévenir sa secrétaire que j'étais là. J'allais me poser près de la fenêtre en regardant ce qui s'y passait. Je me souvenais très bien de leurs paroles, ils allaient se venger et depuis j'avais peur qu'ils reviennent..

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   La solitude n'est pas la bonne solution

   [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Il était tard quand il avait décidé d’envoyer un SMS à Danika. Il n’arrivait pas à s’empêcher de penser à elle. La dernière fois qu’il l’avait vu dans ce bureau, elle lui avait apparu si frêle, si fragile.   « Tu n’es qu’un idiot Winchester » soupira-t-il en posant son téléphone portable, face contre son bureau. Il était complétement fou de l’inviter à dormir chez lui. Il n’invitait jamais aucune femme à venir au manoir tout simplement parce qu’il détestait quand on envahissait son espace personnel. Simplement, pour elle, il n’avait pas résisté à l’envie de veiller sur elle. Danika le touchait, il ne pouvait pas le nier et cela n’avait rien à voir au fait qu’ils avaient couché ensemble. Non, cela n’avait rien à voir avec le fait qu’il la désirait et qu’elle l’obsédait. « Triple idiot » marmonna-t-il en s’en prenant encoer à lui-même. « Tout va bien monsieur ? Vous vous parlez à vous-même ? » lui demanda son assistante qui, comme à chaque fois qu’il restait tard au travail, lui tenait compagnie. Cette femme était une perle. « Non tout va bien Sally, tout va parfaitement bien. Vous feriez bien de rentrer chez vous, il est tard » lui conseillait-il mais la jeune femme haussa les épaules avant de retourner à son travail, s’occuper. Tomas secoua la tête avec un léger sourire. Sally était l’assistante la plus têtue de la terre. Puis, il se rappela d’une chose et il se dépêcha de passer la tête par la porte de son bureau. « Miss Maconahey va passer» la prévint il sous le regard peu étonné de son assistante. Elle avait l’habitude qu’il reçoive des clients assez tard. Après tout, Tomas était un bourreau de travail.

Pour tuer le temps, il se remit au travail. Le cas d’un homme qui voulait divorcer de sa femme car il était certain qu’elle n’était avec lui, que pour l’argent. Il ne souhaitait rien lui devoir après le mariage mais le contrat de mariage stipulait bien que s’il demandait le divorce avant leur troisième année de mariage, il lui devrait la moitié de sa fortune sauf en cas d’infidélité de la part de madame. Or, pour l’heure, Tomas n’avait pas réussi à prouver quoique ce soit mais il espérait que le détective privé qu’il avait engagé, pourrait lui fournir la preuve tant espérée. « Miss Maconahey est arrivée » lui annonça Sally et Tomas quitta son bureau pour venir à la rencontre de Danika. « Suivez-moi Miss Maconahey » l’accueillait-il comme la dernière fois pour mieux refermer les portes de son bureau derrière eux. « Comment te sens-tu ? » lui demandait-il en venant relever son visage, délicatement pour croiser son regard. « Tu as l’air toujours aussi épuisée » commentait-il.

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   La solitude n'est pas la bonne solution

   [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Je ne sais même pas pourquoi j'avais accepté d'aller dormir chez Tomas, surement parce qu'il ne m'avait pas laissé le choix de toute façon. On avait eu une aventure un soir et depuis ce n'était que professionnel ou encore amical entre nous, donc allé dormir chez lui était un assez gênant quand même. Mais il avait surement raison, je ne devais surtout pas rester toute seule surtout dans ce genre de moment. Mais je dois bien avouer qu'à chaque fois que je pensais à lui, mon corps frisonnait de partout, cette nuit entre nous était vraiment inoubliable, mais maintenant on devait agir comme si que rien n'était. Ce soir-là je le mettais sur le coup de l'alcool, mais au fond de moi je sais très bien qu'il n'y avait pas que ça, c'était cette attraction entre nous aussi. Enfin là je pensais à autre chose, je voulais juste essayer d'oublier ou du moins voir quelqu'un qui n'allait pas me juger au moins. Et moi qui normalement ne voulais même pas voir mes frères, j'acceptais d'aller voir Tomas. Il ne fallait surtout pas qu'ils le sachent, sinon ils allaient comprendre qu'il se passe quelque chose entre Tomas et moi. Je faisais un petit sac pour ensuite rejoindre l'adresse du cabinet de Tomas, une fois dans la salle d'attente j'étais un peu mal à l'aise. Il était tard quand même, la secrétaire allait surement se poser des questions. Enfin j'étais vraiment nerveuse.

Heureusement que nous les femmes ont aimaient avoir de grands sacs, là où j'avais pu mettre des vêtements, ça passait pour mon sac à main. Je ne voulais surtout pas que la secrétaire se doute de quoi ce soi. Mon but n'était pas d'attirer des ennuis à Tomas. Je me retournais en croisant le regard de Tomas qui venait de sortir de son bureau. Entre nous et surtout devant sa secrétaire on prenait nos distances ce que je trouvais normal. Une fois dans son bureau on pouvait agir enfin normalement. " Fatigué..." Je baissais les yeux, je n'en pouvais plus de tout ce poids sur les épaules. Je sentais sa main relever mon visage et une fois que je croisais son regard je sentais les larmes monter. Je venais dans ses bras en pleure, je craquais pour la première depuis le braquage. "Je veux que tout s'arrête, oublier juste un peu..."Avec Tomas on avait toujours gardé nos distances, mais là c'était différent, j'avais besoin d'être dans ses bras.

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   [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Cela faisait déjà quelques jours que le procès opposant Danika et la famille du braqueur avait débuté. Tomas savait que cela avait été traumatisant pour la jeune femme de devoir s’entendre accusée de tous les maux de la Terre alors qu’elle n’était qu’une victime dans cette histoire. Le trentenaire s’était promis de tout mettre en œuvre pour la sortir de cet enfer personnel et judiciaire. Il n’avait jamais perdu une seule affaire et il comptait bien poursuivre sur sa lancée. Danika était devenu son dossier prioritaire et il y travaillait jour et nuit. Elle ne méritait pas ce qui lui arrivait. Tomas avait toujours été passionné par son travail mais il n’avait jamais montré un attachement vis-à-vis d’un client. Danika n’était pas une cliente lambda. Il est vrai que d’ordinaire, il évitait de coucher avec ses clientes. Et surtout, il était rare qu’il continue d’en désirer.

Danika finit par arriver et Tomas alla l’accueillir, comme si elle était qu’une cliente parmi d’autre. Sally ne s’étonnait pas de cette venue tardive, elle avait l’habitude de cela. De toute manière, elle était concentrée sur son travail. Cette femme était une perle. Une fois la porte fermée, il vint lui relever le visage pour pouvoir l’observer attentivement. Elle semblait épuisée, fragile qu’il sentit son cœur rater un battement. Tomas ne supportait pas de la voir ainsi alors quand elle se mit à pleurer pour mieux se réfugier entre ses bras, il l’encercla des siens, la gardant contre son torse musclé. « Je te promets que tout s’arrêtera bientôt Danika » murmura-t-il en déposant un baiser sur le sommet de son crâne tout en la serrant davantage contre lui. L’idée même de garder ses distances avec elle ne vint pas effleurer l’esprit. Danika avait besoin de lui alors il répondrait présent. Tomas termina par s’éloigner d’elle pour mieux prendre son visage en coupe. « Tout va bien aller » murmura-t-il en chassant ses larmes d’un revers de ses pouces. Sans avoir conscience de ce qu’il faisait, Tomas se pencha vers elle pour l’embrasser. C’était plus fort que lui.

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   La solitude n'est pas la bonne solution

   [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Je n'avais jamais eu affaire à un procès et maintenant que j'étais concerné je trouvais ça tellement long, j'avais l'impression que jamais ça ne s'arrêterait. J'avais beau regarder les juges, les autres avocats qui me posaient encore et encore des questions pour me déstabiliser ou connaitre la vérité n'aidait vraiment pas. Je n'arrivais plus à dormir, à chaque fois je faisais des cauchemars, finir en prison, que les braqueurs viennent me tuer. Jamais de rêves, et pourtant juste avant le braquage j'avais rencontré Tomas qui avait su me faire connaitre ce que c'était une bonne partie de jambes en l'air. Moi qui ne voulais plus aimer ou encore faire venir un nouvel homme dans ma vie, avec lui c'était différent. Cela n'avait été qu'une histoire d'un soir et pourtant je tenais à cet homme. Et ce soir je me retrouvais auprès de lui, il avait réussi à me convaincre. Je n'arrivais plus à trouver le calme, dans ma tête je me posais constamment des questions encore et encore, sur le procès, sur la relation avec Tomas, est je devais partir, sur ma vie. Je remettais tout en questions et parfois je me demandais si j'allais réussir à être heureuse au moins une fois dans ma vie.

Enfin maintenant je n'étais plus toutes seules avec mes idées noires, j'allais rejoindre Tomas chez lui, enfin à son cabinet pour le moment car il travaillait sur un dossier. Je ne voulais surtout pas le déranger dans son travail, mais j'avais bien compris dans son SMS que je n'avais pas le choix. Sentir les doigts de Tomas sous mon menton pour relever mon visage me faisait du bien, j'avais besoin d'un contact et d'être rassuré surtout. Être seule n'était pas la bonne solution et pourtant c'est ce que je faisais. Rien que ce contact me faisait craquer, je me mettais à pleurer sans me retenir, j'avais besoin de tout lâcher. Je sentais ses bras m'encercler et ça faisait du bien. Je fermais les yeux pour me calmer, du moins essayer. " Mais quand?...Ils ont toujours de nouvelles questions encore et encore, c'est trop dur je ne suis pas aussi forte que tu ne le crois. " Heureusement qu'il était là, il faisait tout pour me soutenir, mais c'était tellement dur. Je finissais par me calmer alors que je sentais ses doigts chasser mes larmes, j'ouvrais les yeux pour croiser son regard. J'étais surprise alors qu'il venait m'embrasser, je venais répondre à son baiser tendrement alors que je me collais à lui, j'avais besoin de ce contact, être contre lui et se baiser me faisait du bien. "Ne m'abandonne pas Tomas..."

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   [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Il ne pouvait pas lui donner de dates précises mais Tomas travaillait d’arrache-pied pour mettre à mal la défense. Ils avaient un bon avocat, ce n’était pas facile mais il ne se décourageait pas. Il était hors de question qu’on prive Danika de sa liberté. Il le lui devait. Puis, il ne voulait pas être séparé d’elle. Tomas avait lutté de toutes ses forces, il avait essayé de se convaincre que l’attachement qu’il ressentait pour cette femme n’était que le résultat d’une nuit de débauche à cause de l’alcool. La vérité c’est qu’il avait découvert une nouvelle facette de sa personnalité avec ce procès. Une facette beaucoup plus fragile. Cet avocat n’avait pourtant rien du preux chevalier dans son armure blanche et scintillante mais elle faisait vibrer une corde sensible en lui. Tomas ne supportait pas l’injustice ni voir une femme malheureuse. Il avait beau paraitre distant et froid, il n’en restait pas moins un être humain qui avait vécu presque toute sa vie sans amour. Alors peut-être aidait-il son prochain parce qu’il savait qu’il ne méritait rien d’autre comme avenir. Un avenir solitaire. « Mais si tu l’es. Tu dois croire en toi Danika » lui assura-t-il en caressant sa joue pour y chasser ses larmes. Etait-ce son regard qui le poussa à l’embrasser ? Il n’en savait rien mais Tomas ne put résister à la tentation. Il n’avait jamais été très doué pour rassurer les gens, pour leur apporter du réconfort mais il connaissait un moyen pour lui changer les idées, pour la détendre. « Je ne t’abandonnerai pas » rétorquait-il en l’embrassant à nouveau pour mieux la soulever dans ses bras et contourner son bureau pour mieux l’y asseoir. « Détends toi… ferme les yeux et ne pense à rien d’autre qu’à moi, qu’à nous, là maintenant » murmura-t-il à son oreille avant de déposer un baiser au creux de son cou pour mieux s’écarter. Il attrapa sa jambe pour y enlever sa chaussure avant de faire de même avec la seconde. « Je connais un moyen pour tout te faire oublier… Est-ce que tu veux bien me laisser faire ? » lui demandait-il prêt à tout mettre en œuvre pour lui faire quitter l’enfer. Elle en avait besoin, il le savait mais allait-elle l’admettre et se laisser aller entre ses bras ?

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   [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Je ne m'attendais pas du tout à ce que se soit aussi long, mais je n'avais malheureusement pas le choix de tenir le coup. Heureusement j'avais Tomas et mes frères pour prendre soin de moi, eux ils étaient fort pour moi alors que de mon côté, je me sentais tellement faible, je n'arrivais pas à remonter la pente. Et pourtant lors de mon viol je pensais avoir touché le fond, mais là j'avais cette impression que c'était pire et que je n'allais pas m'en sortir. Heureusement je n'étais pas toute seule car j'aurais surement fait une bêtise qui aurait eu de graves conséquences. Mais je ne pouvais pas baisser les bras et abandonner les gens que j'aimais qui eux étaient là pour moi. Je ne pouvais pas laisser Tomas, lui qui avait su me faire rire pendant toute une soirée et qui depuis hantait mes pensées encore et encore, même maintenant que j'étais dans son bureau, je sentais ce qui se passait entre nous. Et nous qui ne voulions qu'une histoire d'un soir sans plus, j'avais l'impression que lui aussi il n'arrivait pas à m'enlever de ses pensées. Il avait l'air d'être comme moi, sensible mais on cachait ce qu'on ressentait. Une vie vraiment pas simple pour tous les deux, moi depuis ma naissance avec une mère qui changeait de mari comme de chemise et lui avec sa femme qui était dans le coma, une souffrance qu'on cherchait à cacher derrière notre carapace et pourtant là je le laissais voir ma souffrance ce qui était rare. "Je vais essayer de l'être pour vous." Même si pour le moment je ne me sentais pas si forte que ça.Je ne m'attendais pas du tout à ce qu'il vienne m'embrasser, mais j'avais aimé ce geste de sa part qui me faisait penser tout de suite à autre chose. Je répondais à son baiser tendrement alors que je venais lui demander de ne pas m'abandonner, j'avais tellement peur de me retrouver toute seule. Je venais répondre à nouveau à son baiser encore plus surprise alors qu'il venait me porter. J'enroulais mes bras autour de son cou en me demandant ce qu'il me préparait. Je me retrouvais assise sur son bureau. " Mais qu'est-ce que tu fais Tomas..." Je ne m'attendais pas à ce virement de situation, je venais le regarder alors que je finissais par l'écouter en fermant les yeux. " Penser qu'à toi et nous... D'accord, Juste nous et rien d'autre. " J'arrivais à me détendre doucement, ne penser qu'a lui me faisait déjà beaucoup de bien. Surtout quand il venait déposer un baiser dans mon cou, je voulais jouer le jeu à nouveau. Je faisais un léger sourire alors qu'il venait retirer mes chaussures. Je restais silencieuse alors qu'il me proposait de me changer les idées. " D'accord je te laisse faire Tomas, fait moi tout oublier." Je gardais les yeux fermés, ça faisait monter l'envie en moi alors qu'il y a quelques minutes j'étais vraiment mal.

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   [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Tomas avait décidé d’opter pour l’instinct et non la réflexion. Il n’avait pas envie de réfléchir ce soir et surtout pas d’analyser le moindre de ses sentiments. Il souhaitait simplement s’occuper de cette femme, de lui changer les idées et d’amener une autre expression que le tourment sur son si beau visage. « Je te change les idées » lui dit-il avec un sourire au coin de ses lèvres alors qu’il la déposait assise, sur son bureau. Il n’avait pas forcément de plan en tête mais une chose était certaine : le sexe paraissait être le remède miracle pour Danika. Il se rappelait combien il avait aimé lui faire l’amour et combien, elle avait été réceptive à ses attentions. Aussi, lui demandait-il de fermer les yeux et de ne penser qu’à lui, qu’à eux. Plus rien d’autre ne devait compter à partir de maintenant. Danika rendit les armes, lui laissant carte blanche et il afficha une mine gourmande. Ses doigts remontèrent le long de ses jambes pour mieux s’attaquer aux boutons de son jean qu’il fit glisser quelques instants après, afin de le lui ôter. Puis, il s’attaqua à son haut, parsemant des baisers ici et là, sur chaque parcelle de peau qui apparaissait à son regard. Très vite la jeune femme se retrouva en sous-vêtement devant lui. Elle était merveilleusement belle qu’il prit le temps de l’observer, de graver dans sa mémoire chacune de ses courbes. Tomas s’approcha d’elle, capturant ses lèvres dans un baiser langoureux alors que ses mains remontaient dans son dos pour pouvoir ainsi, lui dégrafer son soutien-gorge. Délicatement, il fit glisser la première bretelle, ses lèvres venant baiser son épaule avant de faire de même avec la seconde. « Merveilleuse et belle Danika » murmura-t-il alors que la pièce de lingerie, atterrissait par terre. Tendrement, il la poussait à s’allonger en travers du bureau. Ses larges mains se posèrent sur sa gorge pour mieux descendre vers sa poitrine. Sa peau était si douce et chaude quand il vint prendre ses seins en coupe dans ses larges paumes pour mieux les masser. La pièce se chargeait en désir sexuel à mesure que ses caresses sur sa poitrine se faisait plus précise. « Dis moi ce que tu aimerais Danika, laisse toi aller » l’encourageait-il. Tomas voulait qu’elle prenne du plaisir, qu’elle oublie tout pour se concentrer uniquement sur son plaisir à elle. Il était déterminé à tout lui faire oublier.

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