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Love is there when you open the door

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Paris Maconahey


Paris Maconahey
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Depuis mon arrivée le : 29/01/2018 j'ai posté : 881 messages qui m'ont rapporté : 405 $ sous les traits de : Derek *sexy* Theler Vous pouvez me retrouver aussi sous : Tomas W. (C. Hemsworth), Bonaventure W. (J. Williams) & Leonidas Vasilis (Jason Momoa) D'ailleurs je dois mes images à : Townies (vava) tumblr (gif) En ce moment, je suis : présent(e) et pour finir, en RP, je préfère : m'adapter à mon partenaire.


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Message(#) Sujet: Love is there when you open the door  Love is there when you open the door EmptyLun 30 Avr - 21:29


   Summer & Paris

   Love is there when you open the door

   

   [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Marcher au radar, il savait très bien le faire et cela à chaque retour de garde. Paris était lessivé mais il savait qu’il ne pourrait pas se reposer toute de suite. Sa mère allait bientôt lui apporter les enfants, pour le week-end. Si le père en lui était heureux de retrouver ces deux piles électriques, l’homme en lui était simplement crevé. Cette nuit avait été longue, trop longue pour qu’il n’en ressente pas une immense fatigue. La seule chose qu’il désirait là, maintenant, c’était de prendre une bonne douche chaude et d’aller se vautrer dans son lit. A la place, il déambulait comme un automate dans son appartement pour faire un brin de rangement. Sa vie de célibataire endurci avait laissé des traces et il n’était pas rare qu’une bouteille ou deux de bière traine par-ci, par-là ou encore, que des fringues mi-sales (à savoir déjà portées mais ne puant pas) prennent un fauteuil ou le canapé comme nouveau lieu de villégiature. Bref, l’endroit était en bordel et il lui restait que peu de temps avant d’accueillir sa fille et son fils. Un léger sourire teinté de nostalgie éclaira son visage. Il se rappelait encore ces moments précieux où la famille était encore une véritable famille et où il voyait ses enfants chaque soir, chaque matin malgré ses horaires de dingue. A présent, il n’y avait que Neptune son chien d’intervention pour lui tenir compagnie dans ce foutu appartement. Un endroit qu’il détestait la plupart du temps car il ne rendait aucune impression de chaleur. Juste quelques murs pour abriter sa mélancolie et ses insomnies. Au moins, durant deux jours, ses enfants allaient y glisser des rires et lui permettre de se changer les idées. D’ailleurs, en parlant de cela… Paris se dépêcha d’aller dans sa chambre à coucher où il attrapa un cadre photo placé sur sa table de nuit. La photo d’une adorable rouquine aux yeux pétillants de bonheur et de malice. Summer, son ex-femme. Paris n’avait jamais pu tourner la page et une fois la colère envolée, il n’y était plus que des regrets. Il s’en voulait, elle lui manquait tellement mais tout était de sa faute. A présent, elle était heureuse auprès d’un autre homme, elle avait reconstruit sa vie et lui… Il avait simplement fait en sorte de disparaitre. Leur seul et unique lien était donc leurs enfants : Ashlynn et Caleb. Malgré cela, l’ancien couple ne s’était plus adressé la parole de vive voix depuis au moins un an et demi.

Le pompier rangea ou plutôt planqua la photo dans le tiroir à chaussettes et soupira. Il regarda sa montre et jura entre ses dents. Il était à la bourre. Attrapant le reste de vêtements sales, il se dépêcha de gagner la salle de bain où il jeta son fardeau au bac avant de se déshabiller et d’entrer dans la cabine de douche. L’eau chaude lui dénoua rapidement les muscles et il soupira de plaisir. Il n’avait pas eu conscience d’être aussi tendu. Foutue nuit. Malheureusement pour lui, il ne pouvait pas savourer ce plaisir très longtemps, il était déjà en retard. Paris se lava rapidement et sortit pour mieux enrouler une grande serviette bleue, autour de sa taille. Avec une autre serviette, il s’essuya le haut du corps en quittant la salle de bain. C’est là qu’il entendit la voix de ses enfants, jouant visiblement avec leur grand-mère. Ils allaient finir par la faire tourner chèvre songea-t-il avec amusement. « Hey les moustiques ! Qu’est-ce que j’ai déjà dit à propos de taquiner votre mère-grand » s’exclama-t-il en ouvrant la porte de son appartement, vêtu… bah d’une serviette. Sauf que ce n’était pas sa mère qui lui faisait face mais Summer. « Salut » souffla-t-il, ne trouvant rien à dire à cause du choc de la revoir.


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Depuis mon arrivée le : 11/03/2018 j'ai posté : 627 messages qui m'ont rapporté : 560 $ sous les traits de : Brittany Snow. Vous pouvez me retrouver aussi sous : Joan Grieve (Anna Kendrick), et Sofia Garrison (Stana Katic) D'ailleurs je dois mes images à : Towntrotter & S7K. En ce moment, je suis : en présence réduite du : 26/07 au 20/08
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Message(#) Sujet: Re: Love is there when you open the door  Love is there when you open the door EmptyLun 30 Avr - 22:50


   Summer & Paris

   Love is there when you open the door

   

   [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Ce vendredi après midi aurait tourné comme tous les autres vendredis depuis mon divorce. Je dépose les enfants chez mon ex-belle-mère, lui rappelle les deux trois choses que qu’ils doivent pendant leur weekend et que Grace doit absolument répéter à Paris ; puis après un gros câlin a Ashlynn et Caleb, je leur souhaite de passer un bon weekend avec leur père et de surtout rester sages et obéissants. Puis je rentre chez moi avec un pincement au cœur.

Seulement voilà : Aujourd’hui c’est un jour différent. Et un jour, qui, je ne le sais pas encore, va changer mon quotidien à jamais. Alors que je viens juste d’attraper la main de Caleb dans la mienne pour remonter l’aller de la maison de Grace -Ashlynn marchant à mes côtés – je vois justement mon ex belle-mère quitter sa maison en claquant la porte pour la verrouiller à la hâte. « Grace ? qu’est-ce qu’il se passe ? » Elle m’expliqua alors l’état d’urgence qui la poussa à partir précipitamment pour un rendez-vous TRÈÈÈS IMPORTANTE (elle insiste sur ce point) et qu’elle ne peut pas prendre mes enfants pour les déposer chez leur père. « Bah ? je fais comment moi ? Je ne peux pas les garder, Paris va les attendre… » Sa réponse est sans appel : « Tu les lui dépose ! » Non…non, non, ce n’est pas possible ça. Ça ne se passe pas comme ça d’habitude ! ça ne doit pas arriver d’ailleurs, Jamais !

Caleb me tire le bras comme pour me forcer à faire le chemin inverse vers la voiture, alors que j’ai encore du mal à procéder avec les informations de Grace. « Nan mais, tu..tu peux vraim- » Elle m’écoute même pas en fait ! Elle est déjà en train de se ruer dans sa voiture mais ouvre tout de même la vitre de la portière passager pour me dire « C’est complètement à l’opposé de mon chemin, et techniquement, tu es déjà en retard ! Moi aussi, donc… » Je la regarde, complètement sonnée et la bouche ouverte alors que mes enfants eux, sont déjà en train de se réinstaller dans ma voiture, prêt à aller chez leur père. Grace démarre, et j’ai juste le temps de lui dire « Mais attends, je ne connais même pas l’adreessssee !!! » La voiture manœuvre pour un demi-tour et s’arrête devant moi, Grace me donnant rapidement l’info, que je tente de noter à la va vite sur mon téléphone. Mais la voilà déjà repartie en me disant, on s’appelle Lundi ! un coup d’œil sur la voirie pour voir qu’Ashlynn et Caleb m’attendent « On y va Maman ? » et je vois leurs yeux amusés, ce qui ne m’annonce rien de bon

Et pour cause, dans la voiture, alors que je renseigne l’adresse dans le GPS, je réalise que je ne sais même pas pour le n° de l’appartement, et Ashlynn en chipie qu’elle est, se dit soudain que ce serait marrant que je devine toute seule. Forcément, Caleb est d’accord parce que « Jouer avec maman, c’est drôle… » surtout quand je perds et que ça me fait bouder. Là, ils adorent se moquer de moi.

Enfin bref, j’arrive à l’adresse indiqué 10 minutes plus tard, et c’est maintenant Ashlynn qui courre devant moi, avec un Caleb qui me tire par le bras, mon autre bras étant trop occupé à tenir les deux sacs à dos des enfants sur mon épaule. Une fois dans le hall de l’immeuble, je n’ai évidemment pas le droit de regarder les boites aux lettres pour m’aider, parce que « C’est de la triche… » et alors que j’avance en montant les escaliers, je suis simplement guidée par les directives amusées de mes deux monstres « Tu refroidis » quand je ne prends pas le bon chemin ou ne m’arrête pas à la bonne porte ; « Tu chauffes » quand je suis bien évidemment en train de me rapprocher dangereusement de l’appartement de mon ex-mari. Et quand je dis « dangereusement » je pèse mes mots. Parce que, clairement, je ne suis pas rassurée. Premièrement, Paris ne doit pas s’attendre à ce que je lui dépose les gosses, et deuxièmement…on ne s’est pas parlé depuis presque un an et demi lui et moi. Enfin, parler de vive voix, j’entends.

« Tu chauffes » - « Nan pas parle là (rire) » - « Mais chuuutt, lui ne dis pas ça, tu dois juste dire chaud ou froid » - « Tu tourne en rond, c’est drôle » - « bon vous voulez pas juste me dire quelle porte est la bonne, parce que…j’ai pas envie de jouer en fait, c’est pas drôle du tout et - » et une porte s’ouvre en grand sur un Paris qui torse nu, avec pour seul vêtement une serviette sur sa taille. Oh Bordel….

« Tu es toute chaude, maintenant » répond Caleb fier de lui, alors que son père vient juste de mettre fin à leur petit jeu. Une manière pour lui de me rappeler que j’ai gagné…et il a raison. Je suis chaude. Même brûlante…mais pas à cause du jeu.

« Hey » réussissait à articuler  avant de me racler la gorge, parce que clairement, mon « hey » n’avait servi à rien tellement il avait été ettouffé. « Euhm….je….Grace. Elle pouvait pas les emmener alors… »


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Message(#) Sujet: Re: Love is there when you open the door  Love is there when you open the door EmptyLun 30 Avr - 23:04


   Summer & Paris

   Love is there when you open the door

   

   [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Paris se tenait là, à l’entrée de son appartement, fixant bêtement son ex-femme dans les yeux. Il ne s’attendait pas à la voir. En fait, il avait toujours tout fait pour ne plus la revoir car c’était trop dur d’être proche d’elle et de ne pas pouvoir lui dire combien il se sentait idiot. Il pourrait le faire maintenant, se mettre à genoux devant elle mais cela ne servirait à rien. Elle avait son fameux Paul, celui que sa fille aimait tant déprécier. En père normal, et éduqué, il aurait dû plus d’une fois reprendre sa fille de six ans mais cela lui faisait plaisir et le rassurait un peu en quelque sorte. Paris craignait à chaque moment que ses enfants ne finissent par préférer leur beau-père à leur père. Après tout, ce dernier était plus présent et il rendait leur mère heureuse. En parlant de bonheur, il était étonné de voir que Summer n’était pas aux anges. Son regard n’était plus aussi pétillant qu’avant. Peut-être avait-elle des problèmes actuellement ? Raaah Maconahey, ça te regarde plus, c’est plus ta femme, tu te rappelles ?! Depuis le jour où tu as agi comme le plus grand des connards en la foutant dehors. Un jour qui restait gravé dans sa mémoire et qui le tourmentait depuis lors. « Elle m’avait rien dit… » lâcha-t-il en fronçant les sourcils. Encore une tactique de sa mère ? Ces derniers temps, elle ne le lâchait pas avec sa belle-fille qui lui manquait tant. « Enfin c’est pas grave, j’espère que ça te met pas en retard pour un rendez-vous ? » reprit-il en essayant d’être poli, courtois bref d’agir comme si de rien n’était, comme s’il n’avait pas envie de la prendre dans ses bras. « Euh entre… On ne va pas rester dans le couloir ! » lâche-t-il alors que sa fille lui saute dans les bras, manquant de faire tomber la serviette au sol. « Hey doucement ma princesse, tu sais que je t’aime et que je suis content de te voir mais papa préférait éviter d’être tout nu dans le couloir » plaisantait-il en ébouriffant les cheveux de son fils au passage.

Bon sang, à chaque week-end qui passait, ses gosses lui manquaient un peu plus. La petite troupe termina donc par rentrer dans l’appartement et Paris ferma la porte et laissa la petite descendre de son perchoir. Caleb et elle, partirent en courant vers la chambre qu’ils partageaient tous les deux. Il faut dire que l’appartement de Paris n’était pas très grand, juste assez pour les accueillir le temps d’un week-end. « Tu veux boire quelque chose ? » tentait-il de faire un semblant de conversation pour masquer sa gêne. Bordel de merde, elle était toujours aussi belle… « Depuis quand tu es redevenue blonde ? » s’exclamait-il en clignant des yeux. Ouais, là pour le coup, il avait oublié la distance courtoise pour redevenir tout simplement monsieur j’ai pas de tact. « Enfin t’es bonne.. je veux dire, ça te va bien le blond. Bref, tu veux boire quelque chose ? » demanda-t-il en attrapant un T-shirt qui trainait dans le coin pour le renifler discrètement. Oh putain, lui, il était clairement plus à mettre ! Limite à brûler. En grimaçant, il le jeta un petit peu plus loin.



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Message(#) Sujet: Re: Love is there when you open the door  Love is there when you open the door EmptyLun 30 Avr - 23:34


   Summer & Paris

   Love is there when you open the door

   

   [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]On devait avoir l’air de deux idiots là, à tenir chacun d’un côté de la porte comme de chat de faïence. En même temps, il faut me comprendre : cette vision de Paris, c’est juste…argh mon dieu…ça fait si longtemps que je n’ai pas vu cette image là devant mes yeux. Si longtemps que je n’ai pas vu ce visage, que je n’ai pas planté mes yeux dans ce regard qui semble aujourd’hui tourmenté. Et bien trop longtemps que je n’ai pas entendu cette voix, qui ne me parle pas beaucoup mais qui est suffisante pour me faire bourdonner les oreilles tellement j’ai l’impression d’entendre pour la première fois.

Je ne sais pas vraiment quoi faire, là, plantée dans le couloir. Alors instinctivement je tente d’expliquer ma présence, et comme je l’avais prédit Grace ne l’avait pas prévenu de ma venue « Moi non plus, elle ne m’a rien dit. C’est quand je l’ai vu sortir de chez elle en trombe que j’ai compris que…enfin… » que j’ai compris que j’allais te revoir après tout ce temps, Maconahey. Mais en serviette de bain ? Sérieux, c’est de la torture… J’ai même failli m’étouffer après un petit sursaut quand Ashlynn à foncer sur son père au point d’avoir failli lui faire tomber cette fameuse serviette. Franchement, si même ma fille s’y mette pour me torturer, je ne mise pas cher de ma peau dans les minutes qui viennent.

Heureusement, les enfants me sortent un peu de ma léthargie, et je profite de l’attention que Paris sur Ash’ et Cal’ pour me redresser un peu et prendre une posture un peu plus maîtrisée et sûre de moi. Je dois juste me rappeler d’un truc : je n’ai pas le droit de baver comme ça, là ! Donc un peu de tenue, bon sang ! je réponds enfin à mon ex-mari qui s’inquiétait de me mettre en retard : « Nan, nan-nan, c’est bon, je … Je viens juste de quitter le travail et, comme je prépare les sacs des enfants bien avant d’aller les chercher à l’école, j’avais juste à les prendre au passage et les emmener chez toi… » Enfin chez Grace à la base… mais bon.

Chose à laquelle je ne m’attendais pas, c’était à l’invitation de Paris d’entrer chez lui. « Eeeeeuuuh…. » bégayais-je avant de réalisé que ce n’était pas vraiment une réponse en soit « Oui, d’accord ! Okay ! Je rentre…je …okay » **Rhooo mais Stop, bon sang ! Arrête de faire ça, putain, t’es chiante ** j’étais en train de m’énerver sur moi-même pour être ainsi nerveuse, tout en entrant dans l’appartement, et surtout en tentant de ne pas lorgner sur le corps de Paris qui s’était écarté pour me laisser rentrer. Non, il fallait que je regarde droit devant, et que je ne me laisse pas tenté par son odeur fraîche, sa peau sentant clairement ce gel-douche que je connaissais si bien, et dont je m’étonnais d’ailleurs qu’il n’en ait jamais changé. Remarque-moi, je n’ai jamais vraiment changé non plus mes habitudes non plus de ce côté-là, mais passons…

C’est la première fois que je rentre dans cet appartement, et c’est idiot mais, j’ai le cœur qui s’emballe comme si j’étais en train de pénétrer dans un lieu sacré et jusqu’ici tenu secret. Les pas des enfants résonnent dans la pièce et je réalise que je ne rêve pas : je suis bien entrée chez Paris Maconahey, mon ex-mari a qui je n’ai pas parlé depuis si longtemps et qui me demande maintenant si je veux boire quelque chose. Sincèrement, je ne sais même pas quoi répondre !!! C’est une question piège, c’est ça ??! Si je dis oui, je me vends au diable, et si je dis non je passe pour la coincée de service ?? Là, j’ai bien envie de boire en plus, j’ai l’impression que ma gorge s’assèche au point qu’avaler ma salive est insupportable ! « Je veux bien…sauf si tu es pressé par le temps ? je voudrais pas te retarder moi non plus… » déclarais-je, après tout il n’était pas le seul à s’inquiéter de lui chambouler son quotidien.

La question suivant de Paris me surprit un instant, parce que c’est le genre de truc que personne ne me demande habituellement. Je sais pourquoi il a l’air étonnée pourtant, vu que la dernière fois qu’on s’est vu, j’étais encore rousse… Mais la rousse et confiante Summer a disparu « depuis l’annonce officiel du divorce. A quelques jours près... » C’était dit de but en blanc, mais sans agressivité. C’était juste un constat. Summer rousse avait existé du temps où elle pouvait avoir Paris a ses côté. La rousse Summer, c’était le symbole de la vie d’avant, de la cette vie où je m’étais sentie poussée des ailes, où j’avais été heureuse en amour, et épanouie…..Maintenant je suis simplement Summer. La vraie moi, la moins confiante, la plus discrète…celle qui a compris qu’elle devait tourner la page d’une vie qui ne serait plus la sienne.

Mais la réaction de Paris, me fait rire soit dit en passant. Il parle avant de réfléchir et je reconnais bien là son franc parlé, mais aussi un peu maladroit. « Hmmm…Bière ? Soda ? non bière. Non ! Attends… Soda ! » ** Décide-toi…mon dieu t’es lourde ** « Soda… »


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Paris Maconahey


Paris Maconahey
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Message(#) Sujet: Re: Love is there when you open the door  Love is there when you open the door EmptyLun 30 Avr - 23:56


   Summer & Paris

   Love is there when you open the door

   

   [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] « Pas grave, je vais les prendre et au pire, ils materont un Disney le temps que je fasse une micro sieste » dit-il sans avoir une once de honte d’être un père qui fout ses gosses devant la télévision pour piquer un roupillon. Summer n’en serait pas surprise, il avait jamais eu des principes d’éducation très strictes. Paris était le père cool mais qui ne fallait pas chercher. Il pouvait être aussi bien le bon copain que le méchant flic. « Ashlynn voulait voir ratatouille la dernière fois du coup, je l’ai acheté » ajoutait-il. D’ordinaire, ce genre d’informations, il les lui donnait par mail ou sms. C’était étrange de « discuter » à nouveau avec elle, de pouvoir voir les expressions de son visage, son regard. Bon sang, il crevait tellement d’envie de la prendre dans ses bras, d’enfouir son visage au creux de son cou, de respirer son odeur. A la place, tout ce qu’il trouva à dire, c’était de l’inviter à entrer. Chose qu’elle accepta.

Et il avait encore du mal à y croire : Summer se trouvait dans son appartement. Sa mère était la plus grande sadique de la terre car Paris savait pertinemment qu’elle n’avait aucun rendez-vous pour ce jour. Il connaissait son emploi du temps par cœur puisqu’elle l’aidait à garder les petits quand il était d’astreinte ou qu’il était de garde. Cela faisait déjà quelques années que la mère et le fils avaient réussi à mettre leurs nombreux différents de côté. A présent, Grace Maconahey aidait réellement son fils et tentait par tous les moyens, à lui faire remonter la pente. Sa mère n’ignorait pas l’état désastreux dans lequel se trouvait son fils depuis son divorce. Elle avait même réussi depuis six mois, à ce qu’il consulte une psy. Enfin, elle avait bien été aidé par le protocole médical des pompiers. « Non t’inquiète pas. Je rentre de garde. D’habitude, m’man garde les petits l’après-midi histoire que je puisse me reposer quelques heures histoire d’être frais… d’où le Disney de cet aprem » dit-il en baillant à s’en arracher la mâchoire. La nuit avait vraiment été éprouvante à bien des égards. Oh oui, il en rêvait de sa couette mais pour le coup, il ferait bien une sieste accompagnée. « Donc non, rien de prévu. Le seul rendez-vous que j’avais a été annulé à la dernière minute donc je suis tranquille » dit-il en faisant référence justement à son rendez-vous avec sa psy. Paris essayait de tenir le rythme de tous les jeudis mais il lui arrivait quelques fois qu’il consulte le vendredi soir à cause de ses horaires de boulot, à la mords-moi-le-nœud. Les joies d’être pompier professionnel. Et encore, il parlait pas des heures qu’il passait à gérer en le pub irlandais qu’il avait acheté avec son petit frère Malone. Dire que sa mère s’étonnait qu’il n’ait pas le temps pour avoir une vie sexuelle active -comme s’il en avait envie.

« Je vois… c’est bien comme ça aussi… Enfin, rousse ou blonde, t’es toujours toi… » marmonna-t-il en essayant de pas trop s’enfoncer. A la place, il rua dans la cuisine pour chercher un soda et une bière pour lui. Il n’avait pas changé pour ça, toujours aussi amoureux de ce breuvage ambré. « Tu veux un verre ou tu bois direct à la canette ? » demanda-t-il en l’invitant à s’asseoir sur le canapé. « Hum je vais peut-être m’habiller, je reviens » grommela-t-il avant de poser sa bière sur la table basse et d’aller dans sa chambre pour en ressortir trois minutes plus tard, habillé d’un jean noir et d’un T-shirt de la même couleur. Entre temps, il n’avait pas entendu son téléphone portable sonné et encore moins vu le prénom « Jessica » s’afficher sur l’écran. Qui était Jessica ? Sa psy !


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Message(#) Sujet: Re: Love is there when you open the door  Love is there when you open the door EmptyMar 1 Mai - 0:30


   Summer & Paris

   Love is there when you open the door

   

   [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Je riais légèrement – à croire que je n’en avais plus le droit – en entendant Paris me dire sans la moindre honte qu’il allait mettre les petits devant la télé pendant sa sieste. Je devrais m’en offusquer, mais non : je ne suis pas ce genre de mère. Enfin je suis peut-être un peu intransigeante sur certaines choses avec les enfants, mais jamais je ne viendrais remettre en cause l’éducation de Paris avec ses enfants, parce que je suis pertinemment consciente des efforts que ça lui demande de pouvoir les gérer, avec un boulot comme le sien. Je ne suis pas stupide : je sais que s’il en avait la possibilité, il serait le premier à réclamer bien plus que des weekends à partager avec ses gosses… Grace me le fait souvent remarquer à chaque fois qu’elle me parle de la manière dont Paris quitte sa maison après avoir dit au revoir aux enfants, chaque lundi matin. Et c’est marrant, parce que je me sens soudain chanceuse d’avoir pu observer l’interaction entre lui, Ashlynn et Caleb tout à l’heure. C’est quelque chose que je ne reverrais sans doute jamais de sitôt, ce qui rend l’instant encore plus précieux.

Pourquoi je parle de ça au fait ? Ah oui, c’est vrai…cette histoire de sieste ! Et du Disney ratatouille. A ce propos : « Elle exagère…elle m’a fait le même cinéma y’a deux semaines et j’ai du lui acheté pour qu’elle le regarde » Mais bon, un enfant reste un enfant ! J’envie d’ailleurs leur façon d’être encore et toujours en totale surprise devant un de ces dessins-animés, et ce même après le cinquantième visionnage !! « Remarque, c’est mieux que de se regarder pour la millième fois La Reine des Neiges, n’est-ce pas ?! » m’amusais-je à répondre, avant de m’arrêter toute seule de sourire en regardant Paris. Nan mais c’est quoi ce délire, Summer ? Depuis quand tu te permets de parler avec Paris, comme si de rien était ? Comme si c’était ton pote ?

Alors comme pour m’occuper l’esprit - où m’empêcher de m’insulter toute seule intérieurement – je fais quelques pas dans ce qui trouve être le salon, la pièce maîtresse de l’appartement. Et j’observe inconsciemment la déco tout en demandant à Paris si je ne le retarde pas en quoi que ce soit. Sa réponse me fait légèrement froncer le bout du nez, signe que je n’aime pas trop ce qu’il me dit. Je sais pas pourquoi, mais quand il me parle de ce rendez-vous, j’ai l’impression que cela ne peut qu’avoir un rapport avec cette femme qu’il fréquente…Oui, parce que je sais qu’il a refait sa vie. Ce n’est pas faute d’avoir tout tenté pour ne pas m’en mêler pour ne pas savoir et continuer d’espérer qu’un jour il me revienne ; mais c’est que j’ai des enfants bien bavard, en fait ! Et quand un jour, le plus jeune, Caleb, a commencé à me dire de manière tout à fait innocente – du haut de ses 4 ans – que, je cite « Papa s’allonge sur le canapé avec une dame le soir » et que – au moment où je suis en train de réprimander Caleb que je pense être en train de me servir un gros mensonge - Ashlynn ne trouve pas mieux que de me confirmer que c’est vrai, comment voulez que je réagisse moi ?? Bah je vais vous le dire : J’ai pleuré ! Pas devant les enfants, parce que sinon ça aurait été la catastrophe…Mais j’ai été me réfugié quelques minutes plus tard dans la salle de bain pour pleurer… tout en me regardant dans le miroir et en me trouvant soudain pathétique.

A partir de cet instant, j’ai compris que Paris avait tourné la page et qu’il n’y avait plus d’espoir pour moi. J’en ai alors fait de même avec le premier venu – pas non plus n’importe qui, on se rassure – et ça fait 6 mois que je suis avec. Paul… Paul, a qui je me rend compte que je n’ai pas dit que j’allais déposer les enfants directement chez Paris et qui doit sans doute se demander pourquoi je suis pas encore rentré de chez Grace. Mais…Bref, je verrais ça plus tard.

Je n’arrive pas à me comporter autrement que comme cette pauvre midinette que je suis : Paris me complimente sur ma coupe de cheveux, et moi je suis là à passer mes mains dans mes cheveux niaisement, avant de réaliser que c’est ma nervosité qui parle et que si je continue à me triturer les cheveux comme ça, je vais finir par me faire griller. « Merci c'est....c'est gentil. » Bon sang, ce soda me fera le plus grand bien ! « Je veux bien un verre avec, s’il te plait » avais-je pratiquement comme si sa cuisine se trouvait à des kilomètres…** c’est bon, c’est un petit appart, faut se détendre ** Je souffle, pour me calmer un peu et secoue les mains parce que j’ai l’impression qu’elles sont moites depuis tout à l’heure…C’est sans doute à cause de cette vision de Paris en serviette. Ça ne m’aide clairement pas. Alors oui, quand il est revenu pour me dire qu’il allait sans doute falloir qu’il s’habille quand même, j’avais hoché vivement la tête, comme pour lui dire « OOhhh oui, habilles toi, ça vaut mieux parce que là je tiens plus », mais bien sûre, je n’allais pas lui dire ça tout haut ! J’suis pas folle…

Mais quand il revint 3 minutes plus tard, je m’étais calmé toute seule…et avait presque un air déçu sur le visage. Déjà, parce que c’était déjà moins stimulant de voir un Paris tout de noir vêtu (quoiqu’en vrai il peut porter n’importe quoi je le trouve toujours sexy), mais aussi parce que son téléphone s’est mis à vibrer sur la table basse pendant son absence…Et qu’une certaine Jessica à tenté de le joindre. Sans doute son rendez-vous annulé à la dernière minute qui a finalement changé d’avis ?? ** qu’est-ce que ça peut te faire ? ** Bah…en fait, oui c’est vrai. Je n’ai pas à me sentir blessée d’un truc que je sais déjà : Paris est en couple avec cette femme et … et il fait ce qu’il veut de ses fesses maintenant. « Merci pour le verre au fait… » c’est tout que j’ai su dire quand il est revenu. Et je me sens conne soudain…



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Message(#) Sujet: Re: Love is there when you open the door  Love is there when you open the door EmptyMar 1 Mai - 12:32


   Summer & Paris

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   [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Paris eu un sourire amusé aux dires de son ex-femme. L’amour de leur fille pour la reine des Neige ne datait pas d’hier et il ne comptait plus le nombre de fois où il s’était retrouvé avec cette musique dans la tête. « Raah rien que de me dire que le deuxième opus va bientôt sortir, j’en fais des cauchemars » répliqua-t-il en secouant la tête de droite à gauche. A le voir souriant, on pourrait croire qu’il était détendu, que cela ne lui faisait rien de converser avec elle mais c’était faux. Seulement, avec les années de solitude et surtout vis-à-vis de leurs enfants, Paris avait appris à dissimuler ses angoisses mieux que personne. Summer se rendait-elle compte de sa tristesse ? De la façon dont il la regardait n’avait plus rien à voir avec de la colère ou du mépris ? Voyait-elle combien il la dévorait du regard comme pour graver ses traits dans sa mémoire. Il n’en avait pas besoin, chacune de ses mimiques étaient imprimée au fer rouge dans son cerveau. Il ne pensait qu’à elle depuis tout ce temps au point qu’il n’avait pu se résoudre à toucher une autre femme. Il avait essayé une ou deux fois pour combler sa solitude, pour tenter de mettre fin aux ravages auxquels se livraient ses démons sur son subconscient mais rien n’y faisait. Il ne bandait pas et le pire c’est qu’il n’en était pas inquiet. Juste attristé. Pourquoi ? Parce que Paris ne désirait qu’une seule femme. Lui, qui ne pouvait coucher avec une femme plus d’une fois dans sa « jeunesse », en désirait qu’une seule. Summer avait fait de lui, l’homme d’une seule femme et il en était heureux. Maconahey voulait bien terminer sa vie seul, si c’était pour lui être fidèle et cela même si cela lui arrachait le cœur.

Loin de se douter que c’était une phrase maladroite de ses enfants qui l’avait conduite dans les bras de Paul, Paris continuait de haïr ce coup du destin. Il s’en voulait principalement à lui. Après tout, Summer était une femme belle, intelligente, adorable, le cœur sur la main. Elle était la femme que tout homme rêvait d’avoir dans sa vie et dans son lit. Il l’avait perdu mais tout était de sa faute. Pourtant, elle ne semblait pas plus épanouie que cela. Une fatigue passagère ? Non, il la connaissait par cœur. Même fatiguée, Summer n’oubliait jamais de rayonner. Or, là, ce n’était pas le cas. Peut-être était-ce parce qu’elle déposait les enfants ? Putain il avait envie de savoir et en même temps, était-il en droit de poser des questions ?!

Il venait de lui apporter à boire, avec un verre quand il prit conscience de sa tenue. Il était à moitié nu devant elle… Paris s’absenta le cœur lourd. Fut un temps, Summer n’aurait pas pu se contrôler, elle lui aurait sauté dessus. Ouais mais fut un temps, elle était son épouse, là, elle en aimait un autre. Et elle était fidèle. Il le savait.. Ironique de se dire qu’il avait rompu à cause d’une histoire de semi-infidélité. Aujourd’hui, il rêvait d’être celui qui la pousserait à oublier ses principes moraux. Il était pathétique ! Fais-toi une raison Maconahey, t’es plus dans le match ! Il revint vers elle et attrapa sa bouteille de bière. « Y a pas de quoi » lâcha-t-il maladroitement avant de prendre machinalement son portable pour consulter l’écran d’accueil. Merde, sa psy avait essayé de le joindre. « Tu m’excuses deux secondes, je dois absolument rappeler quelqu’un » dit-il et sans trop attendre sa réponse, il retourna s’enfermer dans sa chambre. Quand il revint, ce fut avec le sourire aux lèvres. Pas de psy pendant deux semaines, putain le pied !! « Au fait, tout se passe bien avec…comment il s’appelle déjà ton avocat ? enfin je veux dire ton.. ton… petit-ami ? » demanda-t-il avec difficulté. Ces mots lui écorchaient la gueule ouais ! « Je demande ça car j’ai l’impression qu’Ashlynn l’aime pas des masses alors ça m’inquiète un peu » expliquait-il en se retenant de dire « et je te sens pas heureuse ».

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Message(#) Sujet: Re: Love is there when you open the door  Love is there when you open the door EmptyMar 1 Mai - 14:51


   Summer & Paris

   Love is there when you open the door

   

   [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Je n’y peux décidemment rien : malgré ma raison qui me rappelle qu’il y a longtemps que Paris a refait sa vie, je n’arrive pas à ne pas me sentir atteinte…Et cet appel, mêlé aux paroles de mes enfants qui résonnent dans ma tête, ne m’aident clairement pas. Je me savais déjà un peu éteinte à l’intérieur, mais je crois bien que la dernière flammèche qui me donnait encore un peu d’espoir, vient de mourir…
Comme une automate, je m’écroule sur le canapé derrière moi, et lève mon verre sans grande conviction pour boire une gorgée de mon soda. Peut-être que de sentir le gout de ce dernier dans ma gorge me rappellera à la vie ? ** Hey, tu es pathétique Summer. Pa-thé-tique. Il y a longtemps que tu sais pour cette femme. Qu’est-ce qui a changé aujourd’hui, hein ? Mise à part que maintenant tu connais son prénom ? rien ! ** ça change tout au contraire. Maintenant j’ai ce nom qui résonne dans ma tête. Et pire, je l’imagine être prononcé par Paris lui-même…je l’imagine en train de le murmurer quand il dort, de lui susurrer à elle dans son oreille. Oh mon dieu…je l’imaginer même le lui hurler en plein corps à corps.

Un frisson me parcourt le corps, me faisant presque renverser mon verre, que je rééquilibre de justesse pour ne pas venir tâcher le tapis qui recouvre le sol. Paris revient après cela, et j’ai du mal à me réjouir de sa présence. Parce que maintenant, quand je le regarde, j’ai l’impression qu’elle est là. A ces côtés. Lové contre lui alors qu’il lui enroule l’épaule. Bien sûr, je ne sais même pas à quoi elle ressemble, mais je connais suffisamment Paris pour savoir qu’elle doit être belle. Est-ce qu’elle est brune ? blonde ? rousse ? Mon cœur aurait envie de penser qu’il a pris tout mon opposé pour être sûr de ne pas me confondre avec elle, de ne pas me comparé à elle, mais je sais bien que c’est une illusion, un doux rêve. Il m’a éjecté de sa vie, alors, me comparé à une autre ne lui viendrait sans doute plus à l’idée. Si ça trouve, elle est rousse. Une vraie rousse, elle ! ** Je croyais qu’il préférait les blondes ? ** Il les a préférés, mais avait toujours ce petit fantasme de la rousse… et puis j’ai dû le dégoûter des blondes de toute façon.

Je le vois se baisser pour attraper son téléphone et mon souffle se coupe, comme si soudain tout devait s’arrêter : ma respiration, le temps qui s’écoule, et Lui ! Je voulais que lui s’arrête de bouger et ne vienne surtout pas lire ce nom sur son écran de téléphone. Mais malheureusement, il la fait ! Et ce qui est le plus dur ? c’est de voir que ce simple nom affiché sur l’écran a l’air de l’animé tout d’un coup. Et du coup je réalise, alors qu’il part à la va-vite : Si je le trouais un peu morose tout à l’heure, si sombre et fatigué…c’est parce qu’il avait rendez-vous avec elle, et que le simple fait qu’elle annule au dernier moment l’avait contrarié. Ça semble évident !! Il n’y a qu’à voir comme il s’en va, sans attendre que je lui réponde. Je n’existe pas, ou du moins ma présence ici est moins importante que ce coup de téléphone. Il a envie d’entendre sa voix, n’est-ce pas…à défaut de pouvoir la voir.

Je serre les dents, j’ai envie de me mordre les joues pour oser avoir si mal au cœur en cet instant. Ma poitrine se serre et j’ai envie de me barrer d’ici. Tout ça, ça ne devait pas se produire de toute façon. Jamais je n’aurais dû venir ici, jamais j’aurais dû accepter l’invitation à entrer… Parce que revoir Paris est finalement tout aussi douloureux que plaisant. C’est bon de le revoir…mais c’est dur.

J’inspire profondément et boit une nouvelle gorgée tout en me disant que je devrais filer… je dois me presser de finir mon verre, aller dire au revoir aux enfants dans leur chambre et…et partir tout aussi vite que je suis venue. C’est facile à faire, nan ??

Merde il est revenu. Et oh bon sang, c’est cruel : il sourit. Il a l’air tellement content tout d’un coup. Elle vient de le ramener à la vie et ça me donner envie de mourir…ironie. Et il semble soudain tellement léger qu’il se met à converser avec moi, comme si de rien n’était. Ce qui est tout autant hallucinant, c’est qu’il ne choisit pas n’importe quel sujet de conversation !! Monsieur vient d’avoir sa petite-amie au téléphone alors, tout d’un coup, il me parler de ma vie amoureuse ? pourquoi ?? pour comparer qui est le plus heureux des deux ?? Je t’en foutrais moi du bonheur, en plein face !! C’est dégueulasse Paris, dégueulasse ce que tu es en train de me faire, ça déchire le cœur. Surtout qu’à voir comment tu me poses cette question, on comprend clairement que tu t’en fiche un peu de le savoir. Tu me la pose parce qu’il faut me la poser…ou, comme tu le sous-entends maintenant, pour savoir pour « Ashlynn » ne l’aime pas des masses. Je reste un instant silencieux à fixer Paris du regard, et je ne m’en cache même pas de le faire. C’est une manière pour moi de prendre le contrôle de la situation. Je dois arrêter de subir, et m’affirmer. Mes yeux ne le lâche pas alors que je lui réponds « Paul…il s’appelle Paul, et tout se passe bien. Très bien… » puis je décide de relâche son regard pour boire mon verre et me dit que si vraiment c’est le père qui s’inquiète par rapport à sa fille et à la relation qu’elle entretient avec mon petit-ami, je me dois tout de même de respecter Paris et de le rassurer : « Disons que…leur relation est neutre. Et je tiens à ce qu’elle reste neutre, si ça peut te rassurer. Ashlynn doit avoir peur que Paul ne prenne ta place de père. Mais il ne le fera pas, rassure-toi… »


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Message(#) Sujet: Re: Love is there when you open the door  Love is there when you open the door EmptyMar 1 Mai - 15:23


   Summer & Paris

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   [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Paris était totalement inconscient des pensées de son ex-femme. S’il avait su à quel point elle était triste, à quel point le simple fait de l’imaginer avec une autre femme la rendait malade, il l’aurait rassuré. A la place, il avait appelé cette fameuse Jessica car il la connaissait suffisamment pour savoir qu’elle finirait soit par appeler sa mère, soit son supérieur pour organiser un nouvel entretien.  Elle avait été jusqu’à organiser leur rendez-vous chez lui à des heures indues simplement parce qu’il ne pourrait pas lui sortir l’excuse des horaires de travail. Alors, apprendre qu’elle prenait des vacances et le libérait pour deux semaines complètes, c’était juste le bonheur le plus total. Il allait enfin pouvoir ruminer en paix et puis, valait mieux que du temps se passe entre ses « retrouvailles » avec Summer et son prochain rendez-vous. Oui, c’était mieux ainsi sinon, elle allait encore lui dire qu’il vivait dans le passé, qu’il était temps de passer à autre chose. Il n’avait pas envie de passer à autre chose, Summer était et resterait la femme de sa vie.

Alors, un peu guilleret, il s’installa sur le fauteuil en face du canapé, désireux de prolonger un peu plus la conversation avec Summer. Hélas, il ne s’était pas attendu à cette vive douleur en apprenant que tout se passait bien avec Paul. « Tu es heureuse alors… c’est bien » dit-il après un court silence. Dans un sens, il disait la vérité. Summer se devait d’être heureuse, elle le méritait pleinement. « Paul a l’air d’être un type bien » marmonna-t-il en détournant le regard, buvant une gorgée de bière mais qui ne lui apporta rien qu’une désagréable impression de boire du sable. Il souffrait, il avait envie de hurler, de frapper le mur jusqu’à s’en faire saigner le poing. Il ignorait la marche à suivre. Comment était-il censé parler avec elle, d’aborder un tel sujet avec légèreté comme si de rien n’était ? Il détestait tout simplement cette conversation car elle ne faisait que confirmer une chose : il l’avait perdu. Définitivement. La seule consolation, c’est qu’elle lui affirmait que jamais, cet homme ne prendrait sa place. « Merci.. ils sont tout ce qu’il me reste » avouait-il sans une once de rancœur. Ses enfants, c’était la seule chose de pure qu’il n’avait pas réussi à gâcher. En parlant d’enfant,  Ashlynn arriva pour lui sauter sur les genoux avec un grand sourire. « Câlin papa… » s’écria-t-elle avec fougue. Il lui sourit et l’attira contre son torse pour l’embrasser sur le front. Il était vraiment heureux quand il avait ses enfants près de lui et la présence de Summer ne rendait la chose que plus complète.   « Maman elle a pas encore mangé, elle pourrait manger avec toi ! On pourrait commander comme avant ? Même qu’on pourrait manger McDo ?? » enchaina-t-elle avant de descendre de ses genoux. « Je vais aller dire à Caleb qu’on mange McDo » s’écria-t-elle en courant vers sa chambre, laissant ses deux parents complétement à l’ouest. « Je crois qu’on a pas le choix… J’ai l’impression que ça leur manque de passer du temps tous les quatre. Est-ce que… Est-ce que tu veux rester déjeuner ? » proposa-t-il maladroitement en se passant une main dans les cheveux. « Sauf si tu dois rejoindre ton petit-ami »


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Message(#) Sujet: Re: Love is there when you open the door  Love is there when you open the door EmptyMar 1 Mai - 16:00


   Summer & Paris

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   [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Si je suis heureuse ?? Ahah, la blague !! Je suis aussi heureuse qu’une femme divorcée qui doit reconstruire sa vie alors qu’elle n’en a pas du tout envie !! Voilà comment je suis heureuse !... Mais hors de question que de dire les choses comme ça, n’est-ce pas ? alors j’hausse les épaules, parce que c’est tout ce que j’arrive à faire et je réponds « Je suppose… » Bon sang que c’est ridicule. JE suis ridicule, et j’ai envie de me hurler dessus, de me foutre un coup de pied au cul pour me motiver à passer à autre chose et surtout à ne pas être atteinte par tout ça. Est-ce que lui, il est heureux, d’ailleurs ?? je pense que oui…mais je n’ai clairement pas envie de lui demander, parce que je n’ai surtout pas envie qu’il me dise que OUI, il est heureux avec JESSICA ! Je préfère encore aborder le sujet de sa paternité et de la place qu’il continuera de garder auprès des enfants.

D’ailleurs, sa réaction me touche, et me pousse enfin à sourire, même faiblement mais tout de même attendrie par ses mots « Paris… » l’interpellais-je d’une voix faible, presque à la limite de la confidence « On a toujours été d’accord là-dessus…notre séparation n’a pas à changé quoique ce soit sur le rôle que l’on doit avoir avec les enfants. TU ES et tu resteras toujours leur père…et moi…leur mère… » Ashlynn arriva à ce moment-là, ce qui me fit doucement sourire parce qu’elle a toujours le chic pour débarquer dès qu’on parle d’elle, à croire qu’elle attend juste derrière une porte qu’on l’appelle. Et du coup, avant que la petite tête blonde n’atterrisse sur les genoux de son père, je me permets de faire une dernière remarque « Et t’inquiète qu’il y en a UNE qui a très bien compris que son papa, c’est SON PAPA ! » je regardais notre fille faire un câlin à Paris, mon cœur se réchauffant du privilège qu’il met donner de leur voir ainsi ensemble. Je sais, je connais cette relation indescriptible que Paris a avec Ashlynn pour en avoir été témoin pendant quelques années… mais il y a bien longtemps que j’avais perdu le droit de le voir, physiquement, interagir ensemble. J’étais d’ailleurs perdu dans mes pensées que je n’avais pas vraiment réalisé ce que la miss avait décider pour nous. C’est quand je l’ai entendu dire qu’elle allait prévenir Caleb qu’on allait manger MacDo, que je réalisais enfin. Encore sous le choc, je regardais alors Paris qui ne sembla même pas contredire Ashlynn. C’est quoi ? une invitation ?? de qui ? de ma fille ?? de Paris ?? en tout cas c’est bien lui, là, qui me demandait si je voulais rester déjeuner. ** dit non, dit non, dit non, DIT NON ** « Euh oui, je veux bien… » ** Oh bon sang… ** et c’est bizarre tout de même de voir que c’est seulement quand Paris me parle de mon petit-ami que je réalise qu’il existe. C’est vrai que j’avais un peu oublié ce détails…

Je cherchais alors mon portable dans mon sac, qui était toujours accroché à mon épaule, par-dessus mon imperméable que j’avais aussi gardé sur moi – le côté précaire de l’invitation, sans doute – et une fois mon téléphone en main je composais un numéro. Je n’osais pas quitter la pièce pour aller me balader ailleurs dans l’appartement qui n’était pas le mien. J’estimais que c’était mal polie, alors je restais là, sans vraiment dire à Paris je jetais en train d’appeler Paul, qui décrocha « Hey... » (voix au téléphone) « oui et toi ? » (Réponse) « non non tout va bien, je t’appelle juste en fait pour te prévenir, que je ne rentre pas tout de suite à la maison… » (voix étonnée dans le téléphone) …qu’est-ce que je fais ? Paul est en train de me demander pour quoi je ne rentre pas, s’il y a un problème, et je cherche une réponse. Je ne peux pas lui dire la vérité ??! Ça va être le drame…enfin je ne sais pas en même temps… « Je…GRACE. Grace avait un rendez-vous et je dois attendre après elle pour qu’elle dépose les enfants chez Paris, je me suis dit que j’allais passer un peu de temps avec Ashlynn et Caleb en allant manger un MacDo. » quoi ? c’est un demi-mensonge et ça ne compte pas. Mais Paris lui, qui entend, sait ce que je suis en train de faire « Euuuh, non bah euh…ils iront chez leur père après… » (Paul répond) « Voilà c’est ça…Bon faut que je te laisse, on va prendre la route là donc…je te dis à ce soir ?? » (J’entends sa réponse et hésite à lui rendre les mots qu’il me prononce…comme à chaque fois qu’il le fait depuis 6 mois. « Moi aussi… Bye » ce moi aussi…combien de fois il l’a entendu à la place d’un vrai « je t’aime » ? je crois bien d’ailleurs en y réfléchissant qu’il n’a jamais vraiment entendu ces mots

Je raccroche, range mon téléphone et relève la tête pour réaliser enfin que je viens juste de mentir devant témoin. Témoin qui me regard bizarrement en arquant un sourcil « Quoi ? » lançais-je l’air de rien, avant de chercher une piètre excuse « J’allais quand même pas lui dire que j’allais manger chez toi ?? »

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