RSS
RSS



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment :
Funko POP! Jumbo One Piece Kaido Dragon Form : ...
Voir le deal

Partagez
 

 
Love is there when you open the door

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
Aller à la page : Précédent  1, 2, 3  Suivant
ADMIN - MEMBRE DES MARPLEPersonne ne doit être abandonné, oublié
Paris Maconahey


Paris Maconahey
ADMIN - MEMBRE DES MARPLE
Personne ne doit être abandonné, oublié


Depuis mon arrivée le : 29/01/2018 j'ai posté : 881 messages qui m'ont rapporté : 405 $ sous les traits de : Derek *sexy* Theler Vous pouvez me retrouver aussi sous : Tomas W. (C. Hemsworth), Bonaventure W. (J. Williams) & Leonidas Vasilis (Jason Momoa) D'ailleurs je dois mes images à : Townies (vava) tumblr (gif) En ce moment, je suis : présent(e) et pour finir, en RP, je préfère : m'adapter à mon partenaire.


Love is there when you open the door - Page 2 Empty
Message(#) Sujet: Re: Love is there when you open the door  Love is there when you open the door - Page 2 EmptyMar 1 Mai - 16:44


   Summer & Paris

   Love is there when you open the door

   

   [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Summer ne pouvait pas lui faire une plus belle déclaration que celle-ci. Le simple fait de savoir qu’elle ne chercherait jamais à donner à son petit-ami actuel, une autre place que celle qu’il occupait actuellement le rassurait et le touchait. « Merci ba…Summer ! C’est important pour moi. Je n’ai pas envie de les perdre ni même de savoir qu’un jour ou l’autre, ils finiront par ne plus avoir envie de me voir » avouait-il sa plus grande crainte. Pour le moment, Caleb le voyait comme un héros, son papa était pompier, c’était le top. Bien sûr, ce dernier avait tendance à lui demander pourquoi il ne voulait pas que maman reste auprès de lui et pourquoi ils devaient habiter ailleurs qu’en famille. Du haut de ses quatre ans, Caleb avait tendance à ne pas tout comprendre et Paris avait le cœur brisé à chaque question. Il s’en voulait d’avoir brisé leur famille, d’être à l’origine de la séparation. Aujourd’hui, Summer était heureuse du moins c’est qu’elle lui avait fait comprendre bien que son « je suppose » le laissait perplexe. Ce n’était pas vraiment la réponse à laquelle, il s’attendait. Ashlynn arriva et il rigola en écoutant les propos de sa fille. Elle avait le don pour toujours obtenir ce qu’elle voulait de lui. Le père et la fille avaient toujours eu une relation privilégiée tout comme Caleb avec sa mère. Cela ne les empêchait pas d’être autant unis les uns avec les autres. Leur famille. Qu’est-ce qu’il en restait à présent ? Deux enfants ballotés d’un appartement à un autre, entre leur père et leur mère. Summer leur offrait au moins un semblant de stabilité grâce au couple qu’elle formait avec Paul. Lui, il était le papa célibataire, celui qui faisait le ménage en vitesse quand il avait les petits. Génial n’est-ce pas ? songea-t-il avec ironie.

Quoiqu’il en soit, Summer accepta son invitation à déjeuner et Paris se leva du fauteuil pour attraper ses clés. Le McDo n’était pas très loin, il n’aurait pas long à aller chercher leur commande. Néanmoins, il ne put résister à la tentation d’écouter sa conversation. Il n’entendait pas les propos de ce crétin de Paul mais uniquement ceux de son ex-femme. Il fut étonné de l’entendre mentir car oui, c’était un mensonge seulement, ce n’était pas le pire. Son « moi aussi » résonna étrangement dans ses oreilles. Elle l’aimait. C’était clair et net dans l’esprit de Paris. Elle était amoureuse et lui, son cœur se déchirait. Son poing se serra plus fortement sur ses clés et ce n’est que la douleur du métal s’enfonçant dans sa peau qui le fit se détendre. A quoi s’était-il attendu ? Elle habitait avec cet homme, elle couchait avec lui, elle l’aimait. Cela en était fini pour lui. « Et pourquoi pas ? Ce n’est pas un crime de déjeuner avec moi… A ce que je sache, on va rien faire de mal. C’est de lui dont tu es amoureuse maintenant bref » lâcha-t-il en détournant le regard. « Tu prends toujours la même chose à McDo ? Je vais aller rapidement nous chercher à manger, je n’en ai pas pour longtemps. En attendant, fais comme chez toi » lui dit-il avec un léger sourire pour mieux quitter l’appartement.

Paris revint genre cinq minutes les bras chargés de sacs en papier craft provenant de McDo. « Les enfants, le repas vient d’arriver !! » s’écria-t-il en posant les sacs sur la table à manger. « J’espère que je n’ai pas été trop long » demanda-t-il à Summer en se tournant vers elle mais manque de pot, il n’avait pas fait gaffe au fait qu’elle s’était rapprochée de la table à son tour. Il lui rentra dedans, l’attirant à lui par réflexe pour ne pas qu’elle tombe. « Excuse moi » murmura-t-il sans pour autant s’éloigner d’elle comme si inconsciemment, il souhaitait la garder contre lui.


AVENGEDINCHAINS
   
Revenir en haut Aller en bas
MODO - MEMBRE DES MARPLEPersonne ne doit être abandonné, oublié
Summer Maconahey


Summer Maconahey
MODO - MEMBRE DES MARPLE
Personne ne doit être abandonné, oublié


Depuis mon arrivée le : 11/03/2018 j'ai posté : 627 messages qui m'ont rapporté : 560 $ sous les traits de : Brittany Snow. Vous pouvez me retrouver aussi sous : Joan Grieve (Anna Kendrick), et Sofia Garrison (Stana Katic) D'ailleurs je dois mes images à : Towntrotter & S7K. En ce moment, je suis : en présence réduite du : 26/07 au 20/08
et pour finir, en RP, je préfère : m'adapter à mon partenaire.


Love is there when you open the door - Page 2 Empty
Message(#) Sujet: Re: Love is there when you open the door  Love is there when you open the door - Page 2 EmptyMar 1 Mai - 17:20


   Summer & Paris

   Love is there when you open the door

   

   [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Expliquer à Paris les raisons pour lesquelles Paul aurait du mal à concevoir que je puisse voir mon ex-mari à nouveau, aurait été dures à dire…et à avouer aussi. Parce que cela sous-entendrait de révélé à Paris comment Paul m’avait trouvé, à maintes reprise, dans un bar à pleurer ou être simplement éméchée par l’alcool parce que j’étais en train de perdre le seul homme que j’aimais. Cela aurait valu de dire à Paris que Paul l’estimait responsable de l’état dans lequel j’avais fini après notre divorce, et combien cela avait été dur de faire confiance à quelqu’un, et surtout d’accepter de ne plus me sentir coupable de l’échec de mon mariage…enfin…du moins en apparence ! En fait, je continuais de me sentir coupable, mais assurais aux autres le contraire. Pou Paul donc, revoir Paris ce serait me livrer à nouveau à un sentiment de culpabilité et de misère.
Laissé croire que si je ne pouvais pas dire les choses à Paul, c’était parce qu’il en serait contrarié, était-ce une meilleure chose ? Sincèrement, je ne pense pas, mais je préférais cela plutôt que de mettre Paris en colère pour avoir pu mettre à mal ma santé après notre divorce. « Je préfère au pire lui annoncer les choses de vive-voix plutôt que de le faire par téléphone c’est tout… » ce fut ma simple excuse avant de laisser Paris s’en aller pour aller chercher de quoi, lui assurant au passage, qu’effectivement je prenais toujours la même chose qu’avant.

Faire comme chez moi ? ici ? Mais je n’étais pas chez moi…il n’y avait rien qui pouvait me laisser croire que c’était chez moi ! Plus aucun de nos souvenirs ne trainait ici, ci n’est quelques photos de nos enfants mais qui étaient bien plus récentes que notre divorce. Il avait fait le tri, dans sa tête et dans ses souvenirs apparemment…et je ne pouvais pas lui en tenir rigueur dans le fond. En y repensant c’était peut-être lui qui avait raison ? Personnellement, je n’avais pas de photos ou cadre, ou quelque autres souvenir à la maison. Parce qu’on vivait tout simplement chez Paul…Le seul endroit où j’avais un droit d’entreposer des photos ? c’était dans la chambre des enfants ! Et autant dire que de ce côté-là, je m’étais lâché ! Et pour ma part, il ne s’agissait QUE de photos anciennes. Avec Ashlynn petite, et Caleb bébé…Et Paris, avec moi, et les enfants dans nos bras. Tous souriant ! Ces souvenirs étaient pour mes enfants le moyen de se rappeler que leur père et moi, on ne se détestaient pas… et pour moi c’était le symbole d’un bonheur que j’avais perdu, mais que j’avais tout de même eu l’occasion de vivre et de chérir.

Par curiosité, je me décidais à laisser mon sac et mon imper sur l’accoudoir du canapé et d’aller jeter un œil la chambre des enfants. Je passais devant celle de Paris, porte entrouverte, et je m’arrêtais net un instant. L’hésitation mêlé au danger que ça représentait de voir à quoi ça ressemblait à l’intérieur, me fit frissonner. Non, je n’avais pas le droit…et puis qui c’est ce que je pourrais y trouver, en plus du linge masculin de Paris qui devait sans doute traîner sur le sol de sa chambre. Je secouais alors la tête pour m’y résoudre et rejoignit mes enfants pour qu’il me fasse visiter leur petit nid.

J’entendis Paris hurler aux enfants que le repas étaient arrivés, et je me levais du sol de la chambre ou j’étais assise en tailleur pour aller voir dans le salon. Il s’affairait à sortir la nourriture des sacs quand je m’approchais, allant instinctivement regarder par-dessus son épaule pour voir ce qu’il avait pris. J’allais même l’aider, mais il se tourna vivement, me percutant et manquant presque de me faire tomber…je restais encore sur mes jambes pour la simple et bonne raison que Paris me maintenant fermement en place. Dans ses bras. Contre son torse. ** ALERTE, Alerte: Contact, COOONNNTTAACCTT !!!! ** A tous les coups, je suis morte, et déjà au paradis. Ça ne peut en être autrement.  Mais la voix de Paris me ramenait à la réalité en s’excusant, sans pour autant me relâcher. Je baissais la tête pour remarquer que ma main était posée contre son torse, et qu’elle n’avait pas l’intention de s’y déloger. « C…C’est pas grave… » répondais-je, mais je ne reculais pas. Je restais là dans ses bras, mon regard vacillant entre son visage sérieux et concerné, et sa main sur son torse que je sentais se relever sous ma paume à chacune de ses respirations…Qu’on me vienne en aide !! Sérieusement, je ne vais pas tenir…


AVENGEDINCHAINS
   
Revenir en haut Aller en bas
ADMIN - MEMBRE DES MARPLEPersonne ne doit être abandonné, oublié
Paris Maconahey


Paris Maconahey
ADMIN - MEMBRE DES MARPLE
Personne ne doit être abandonné, oublié


Depuis mon arrivée le : 29/01/2018 j'ai posté : 881 messages qui m'ont rapporté : 405 $ sous les traits de : Derek *sexy* Theler Vous pouvez me retrouver aussi sous : Tomas W. (C. Hemsworth), Bonaventure W. (J. Williams) & Leonidas Vasilis (Jason Momoa) D'ailleurs je dois mes images à : Townies (vava) tumblr (gif) En ce moment, je suis : présent(e) et pour finir, en RP, je préfère : m'adapter à mon partenaire.


Love is there when you open the door - Page 2 Empty
Message(#) Sujet: Re: Love is there when you open the door  Love is there when you open the door - Page 2 EmptyMar 1 Mai - 17:45


   Summer & Paris

   Love is there when you open the door

   

   [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Paris n’avait rien ajouté à cette histoire d’excuse. Elle avait le droit de gérer sa relation avec Paul, comme bon lui semblait. Cela ne le regardait pas. Du moins, il aimait s’en convaincre car dans le fond, il était malheureux qu’un autre ait réussi à la rendre heureuse, qui puisse avoir le bonheur de s’endormir et se réveiller à ses côtés chaque jour. Lui, il ne lui restait que cette solitude, cette impression de ne plus être en vie depuis des années. Il se rappelait encore du jour de l’accouchement de Summer, quand elle s’était inquiétée de ne pas ressentir de douleur. Ce jour-là, Paris avait imaginé ce que serait sa vie sans elle. Il n’avait pas pu l’imaginer car une vie sans elle, n’était tout simplement pas une vie. Actuellement, il se donnait l’impression d’être un mort vivant, poussé par sa volonté d’assurer à ses enfants, la présence d’un père. Malheureusement plus le temps passé et plus il se demandait en quoi cela consistait ? Summer avait refait sa vie, elle leur offrait une figure masculine au jour le jour grâce à la présence de Paul. Lui, il ne les voyait que les week-ends à cause de son travail. Est-ce que cela valait le coup de continuer à se battre ? Il avait perdu sa raison de vivre, la femme de sa vie. Un autre que lui avait la chance de la chérir et il en crevait de jalousie et de tristesse.

Il était fatigué de combattre ses démons. Une guerre dans laquelle, il avait concédé quelques batailles notamment vis-à-vis des combats clandestins. Paris était retourné dans ses travers parce qu’il avait besoin d’avoir la sensation d’être encore vivant. Son supérieur s’inquiétait même de sa farouche volonté d’être de toutes les missions. Un jour, il lui avait demandé ce qu’il fuyait. Il n’avait pas osé lui répondre qu’il fuyait sa propre existence. Son cœur rata alors un battement quand par un malheureux réflexe, il attira Summer dans ses bras pour l’empêcher de subir une chute. Sa main se posa sur son torse et le brûla presque tant la sensation était aussi agréable qu’insoutenable. Paris se devait de la relâcher mais il n’y arrivait pas. C’était au-dessus de ses forces tant il avait l’impression de revivre simplement en la sentant contre lui, en sentant la chaleur de sa main à travers le tissu de son T-shirt. Son regard plongea dans le sien, le temps semblait être suspendu, les plongeant dans un cocon qui n’appartenait qu’à eux. « Summer, je.. » commença-t-il à dire dans un murmure mais la bulle éclata à l’arrivée bruyante des enfants. « A tableeeeeeeeee » s’écrièrent-ils et Paris se racla la gorge, libérant son ex-femme pour mieux sourire à leurs enfants et dispatcher les différentes boites. Le repas fut silencieux ou plutôt les enfants occupèrent tout l’espace de discussion sous le regard attendri de Paris qui ne pouvait s’empêcher de jeter des coups d’œil à Summer. Cela faisait longtemps qu’ils n’avaient pas partagé un repas en famille et mine de rien, un peu de légèreté s’installa dans son cœur.

« Dis maman, tu restes encore un peu ?? On pourrait regarder ratatouille en famille ? »demanda Caleb avec des petits yeux tout humides. Il savait y faire pour amadouer sa mère. « Ouiii comme ça, vous vous mettez tous les deux sur le canapé et nous, chacun de votre côté. Moi je veux être à côté de papa » s’écria Ashlynn tandis que son frère lui, criait plus fort qu’il voulait être à côté de sa maman. Cela faisait longtemps qu’il n’avait pas vu ses enfants aussi heureux mais il ne voulait rien imposer à Summer. « Votre maman n’a pas que ça à faire, elle a peut-être envie de rentrer chez elle » tentait-il de lui laisser une porte de sortie non sans bailler. Paris la regarda sans se douter que ses yeux se faisaient aussi suppliant que ceux de ses enfants.


AVENGEDINCHAINS
   
Revenir en haut Aller en bas
MODO - MEMBRE DES MARPLEPersonne ne doit être abandonné, oublié
Summer Maconahey


Summer Maconahey
MODO - MEMBRE DES MARPLE
Personne ne doit être abandonné, oublié


Depuis mon arrivée le : 11/03/2018 j'ai posté : 627 messages qui m'ont rapporté : 560 $ sous les traits de : Brittany Snow. Vous pouvez me retrouver aussi sous : Joan Grieve (Anna Kendrick), et Sofia Garrison (Stana Katic) D'ailleurs je dois mes images à : Towntrotter & S7K. En ce moment, je suis : en présence réduite du : 26/07 au 20/08
et pour finir, en RP, je préfère : m'adapter à mon partenaire.


Love is there when you open the door - Page 2 Empty
Message(#) Sujet: Re: Love is there when you open the door  Love is there when you open the door - Page 2 EmptySam 5 Mai - 22:39


   Summer & Paris

   Love is there when you open the door

   

   [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Nerveuse…est-ce que c’est vraiment le mot qui qualifie mon état actuel ? non, en fait c’est le plus simple que j’ai pu trouver. Etre dans les bras de Paris, c’est quelque chose qui n’est pas arrivée depuis plus d’un an et demi, et c’est marrant parce qu’aujourd’hui, je ne saurais dire si je ressens les choses comme si elles survenaient pour la première ou si au contraire, elles me rappelaient à une certaine nostalgie. J’avais l’impression d’être à ma place…et en même temps je me disais que je volais clairement ce moment. Ce moment qui ne devait pas arriver, en tout cas pas avec moi…Je scrutais ma main sur son torse et hésitais à l’enlever. Je relevais la tête pour observer Paris et chercher dans son regard le moindre indice qui pourrait m’indiquer ce qu’il fallait que je fasse. Et sincèrement, je crois que je n’aurais jamais planter mes yeux dans les siens…ils me rendaient encore plus ignorante sur la marche à suivre. Était-ce de l’envie ? de l’inconfort que je lisais en lui ? pour la première fois de ma vie, j’avais l’impression de ne pas comprendre Paris. Et ça me blessait profondément…

Paris ouvrit la bouche le premier et m’interpellais quand nos deux enfants débarquèrent en trombe dans la pièce en hurlant qu’il était l’heure de manger. Sauvée par le gong, comme on dit ? oui, peut-être…enfin techniquement je ne sais ce qu’il voulait me dire. Nous nous étions écartez l’un de l’autre à la hâte, et instinctivement, je me passais les mains dans les cheveux, nerveusement, comme si le fait de me recoiffer allait m’aider à reprendre le contrôle de mes émotions… idiote que je suis.

Pendant tout le dîner qui s’était passé à merveille, guidée par deux enfants bien bavards, je n’avais pas réussi à penser à autre chose qu’à ce léger accident. Je ressentais encore le bras de Paris qui m’entourait et ça me déstabilisait au point que je n’avais pas su prendre la parole pendant le repas. Je souriais cependant à voir ainsi Ashlynn et Caleb, parler et s’amuser autour de nous, comme si…comme si tout ceci avait toujours existé ! Et puis vint le moment fatidique où, encore une fois, les enfants m’invitaient à rester. Ils avaient déjà choisi leur position dans le canapé…et la mienne – à côté de Paris – par-dessus le marché. Intérieurement, j’étais en train de hurler sur mes enfants pour qu’ils cessent dans une position qui me faisait agonir (le simple fait de pouvoir être si proche de Paris sans pouvoir le toucher comme j’en avais envie, était à la limite d’un supplice), mais je ne pouvais que comprendre ce qui motivaient ces deux petites têtes blondes…Cependant, la question qui me trottait dans la tête était : est-ce qu’en agissant ainsi – à céder à leur volonté de jouer à la petite famille parfaite – on ne serait pas en train de leur donner de faux espoir ?? ** et TE donner de faux espoir par la même occasion **

Je réfléchissais à tout cela en voyant Paris bailler…il était fatigué, éreinté par sa journée et sans doute la semaine qu’il avait passé. Et à cause du rendez-vous précipité de Grace, il n’avait sans doute pas eu le temps de se reposer. Accepter de rester avec les enfants pour un film, ce serait comme lui rendre service, nan ?? ** c’est ça, trouve-toi des excuses…** Lui, il peut s’endormir sans se sentir coupable à l’idée de ne pas avoir bien surveiller les enfants, et moi… bah moi je garde un œil sur tout le monde ?? ** et surtout sur LUI **« Je….je peux restée si tu veux…enfin…c’est quoi : juste une heure et demi de plus ? » répondais-je en haussant les épaules. Je n’ajoutais pas dans mon argument qu’il pourrait dormir pendant que moi je veillais, parce que je ne voulais qu’il pense que je jugeais son état actuel pour gérer ses enfants. Ce n’était clairement pas mon but.


AVENGEDINCHAINS
   
Revenir en haut Aller en bas
ADMIN - MEMBRE DES MARPLEPersonne ne doit être abandonné, oublié
Paris Maconahey


Paris Maconahey
ADMIN - MEMBRE DES MARPLE
Personne ne doit être abandonné, oublié


Depuis mon arrivée le : 29/01/2018 j'ai posté : 881 messages qui m'ont rapporté : 405 $ sous les traits de : Derek *sexy* Theler Vous pouvez me retrouver aussi sous : Tomas W. (C. Hemsworth), Bonaventure W. (J. Williams) & Leonidas Vasilis (Jason Momoa) D'ailleurs je dois mes images à : Townies (vava) tumblr (gif) En ce moment, je suis : présent(e) et pour finir, en RP, je préfère : m'adapter à mon partenaire.


Love is there when you open the door - Page 2 Empty
Message(#) Sujet: Re: Love is there when you open the door  Love is there when you open the door - Page 2 EmptySam 5 Mai - 23:02


   Summer & Paris

   Love is there when you open the door

   

   [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Les enfants pouvaient être une bénédiction comme une malédiction. Aujourd’hui, Paris ignorait dans quelle catégorie mettre ses petits monstres car il avait fortement envie de les étrangler et de les embrasser en même temps. Il ne voulait rien imposer à Summer et encore moins l’entendre dire que Paul l’attendait déjà. Il se rappelait que trop bien de leurs activités à eux, quand ils mettaient les enfants chez sa mère ou chez son frère Malone. En gros, cela se composait uniquement de glandouille et de sexe. Or, l’idée de l’imaginer en train de faire l’amour avec cet homme lui donnait envie de vomir. Il haissait cette vision, il ne voulait même pas en entendre parler. Pourtant, lui souffla une petite voix, ton ex-femme a toujours eu un appétit particulièrement impatient au lit –Ta gueule conscience répliqua-t-il en fronçant les sourcils, une demi-seconde sous l’énervement. Il ne voulait clairement pas connaître les activités de Summer, c’était bien trop douloureux. Alors, quand elle accepta, il la regarda à la fois avec surprise et joie contenue. L’idée de la garder près de lui, encore quelques instants, était plus qu’il n’aurait pu oser le souhaiter. Paris ne se voilait pas la face, cet après-midi était quelque chose d’unique, ils reprendraient leurs distances une fois qu’elle aurait passé le pas de sa porte d’entrée. En attendant, il pouvait bien en profiter un peu n’est-ce pas ? Juste un petit peu.

« Tu as raison, ce n’est pas grand-chose » dit-il avec un léger sourire alors qu’il jetait tous les emballages et autres petites boites dans un des sacs en papier kraft. Il irait au vide ordure plus tard ! « Allez les moustiques, tous sur le canapé » dit-il. « Et après, ça sera la sieste pour toi Caleb sinon tu vas être chouinous ce soir » ajoutait-il tandis que son fils ouvrait grand la bouche, prêt à protester. « Oh non, va pas me faire croire le contraire petit bonhomme, ça marchera pas » rigola-t-il avant de le soulever dans ses bras pour déposer un gros baiser sur sa joue puis… de le lancer sur le canapé où il tomba en rigolant dessus. Paris installa le DVD puis, après un moment de flottement, vint s’asseoir à côté de Summer. Il n’osait presque pas bouger et se retenait bien souvent de bailler. Ashlynn, elle, était avachie sur lui, comme à son habitude, une peluche « Dory » dans les bras. Au bout d’un quart d’heure de film, il sombrait dans les bras de Morphée, sa tête venant tout simplement se poser sur l’épaule de Summer. Le pire était sans nul doute, sa main qui avait cherché la sienne pour y nouer leurs doigts ensemble comme si, dans le sommeil, il recherchait sa présence si douce et aimante.

Paris se réveilla deux heures plus tard, en grognant. Bon sang, c’était la première fois qu’il avait l’impression d’avoir réellement dormi. L’appartement était silencieux, la télévision éteinte. Il cligna des yeux et s’apprêtait à se relever en vitesse quand il la vit. Assise dans le fauteuil, en train de lire un magasine Marie-Claire. « J’ai dormi longtemps ? » demanda-t-il d’une voix pâteuse en s’étirant pour mieux se frotter le visage avec les mains. « ça faisait longtemps que je n’avais pas dormi comme ça » soupira-t-il en hésitant entre la joie et la consternation. Pourquoi ? Tout simplement parce qu’il prenait conscience que rien n’avait changé dans sa vie : Summer restait la seule barrière contre ses démons.

AVENGEDINCHAINS
   
Revenir en haut Aller en bas
MODO - MEMBRE DES MARPLEPersonne ne doit être abandonné, oublié
Summer Maconahey


Summer Maconahey
MODO - MEMBRE DES MARPLE
Personne ne doit être abandonné, oublié


Depuis mon arrivée le : 11/03/2018 j'ai posté : 627 messages qui m'ont rapporté : 560 $ sous les traits de : Brittany Snow. Vous pouvez me retrouver aussi sous : Joan Grieve (Anna Kendrick), et Sofia Garrison (Stana Katic) D'ailleurs je dois mes images à : Towntrotter & S7K. En ce moment, je suis : en présence réduite du : 26/07 au 20/08
et pour finir, en RP, je préfère : m'adapter à mon partenaire.


Love is there when you open the door - Page 2 Empty
Message(#) Sujet: Re: Love is there when you open the door  Love is there when you open the door - Page 2 EmptySam 5 Mai - 23:39


   Summer & Paris

   Love is there when you open the door

   

   [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]J’aurais du me douter que ce n’était pas une bonne idée… Là où je m’étais clairement attendue à être tendue sur le canapé pendant que Caleb jouerait les Koala sur moi, à devoir résister à l’effet Paris à mes côtés, ce à quoi je ne m’attendais pas, c’était à ce qu’il avait inconsciemment fait a bout d’une vingtaine de minutes. Il était fatigué et je le savais. Donc le fait qu’il s’endorme pendant le film était inévitable…mais que sa tête tomber sur mon épaule ?? non…pas prévu. Oh et ce qui m’a clairement achevé ?? c’est lorsque sa main à chercher la mienne et que nos doigts se sont entrelacés. Bon sang, j’aurais du les retirer…à la minutes où j’ai senti sa paume contre la mienne, j’aurais du retirer ma main !! Mais je ne sais pas, c’est comme si tout s’était arrêter autour de moi, et qu’il n’y avait plus que cette main qui avait de l’importance…Je suis restée un instant figée, encore plus tendue que je ne l’avais été au début…mais peu à peu, les battements de mon cœur – que j’avais ignoré être si rapide jusqu’ici – s’étaient apaisé…et j’avais inconsciemment relâcher mes épaules pour mieux accepter le poids de la tête de Paris, et surtout pour mieux me familiariser à nouveau avec cette main qui s’était glissé dans la mienne. Une longue inspiration me donnait l’impression que j’avais oublié de respirer depuis le moment où Paris s’était avachi sur moi, et toute la nervosité que j’avais enmagasiner depuis le repas, c’était soudain envolé. Et je souriais soudain, le plus discrètement du monde tout en fixant cette télévision…et je n’avais jamais lâché cette main. Après tout, elles étaient bien cachées non ? seule moi pouvait savoir ce que j’étais en train de faire ? Je prenais sans doute quelque chose de Paris que je n’avais pas le droit de prendre, mais hey : qui irait me balancer ?? personne….je suis la seule consciente de ce qu’il se passe. Enfin ça…c’est ce que je crois. Parce que je n’ai pas pu voir à ce moment là, c’est Caleb, et sa façon de fouiner dans ce qui ne le regarde pas. Lui, il a vu nos mains jointes. Et il a sans doute vu mon sourire…Ce qui se trame dans sa tête maintenant, j’en suis la responsable, et je pense que j’en paierai le prix plus tard. Mais en attendant ? je profite de ce moment et j’attend que l’on vienne me le retirer d’un moment à un autre….quand Paris se réveillera en somme.

Il ne s’est pas réveillé durant tout le film. Si bien que lorsque le générique s’est mis à défiler sur l’écran, ce fut à moi de prendre la décision de lâcher la main de Paris, pour ne pas attirer l’attention des enfants. « Papa il s’est endormi… » déclara Ashlynn tout en cherchant à le secouer. Je l’arrêtais aussitôt dans son geste « non, non, non ma puce, laisse-le….Papa est fatigué et il a besoin de faire cette sieste... » je prenais toute la délicatesse du monde pour câler sa tête sur l’appui tête du canapé plutôt que sur mon épaule, puis me penchais vers la table basse pour prendre la télécommande et éteindre le lecteur DVD et la télé « D’ailleurs…vous aussi, vous allez devoir faire une sieste » Je me levais alors du canapé en faisant attention à ne pas réveiller Paris, et tendait les mains pour demander à mes enfants de me suivre « Et je sais qu’ici c’est Papa qui commande, mais…il dort, et nous avons convenu d’un deal tout à l’heure. DVD puis sieste. Alors on est partie !! » Ashlynn et Caleb me prirent les mains, mais s’arrêtèrent « Attends maman… » dis Caleb, alors que je sentis Ashlynn ma lâcher la main pour devancer son frère : ils se penchèrent sur leur père pour lui faire un bisous sur la joue. Et je leur souriais, attendrie par leur geste.

Quelques minutes plus tard, les enfants avaient été sages et obéissants, et n’avait bizarrement pas réchigner plus que cela pour la sieste. A croire qu’ils avaient vécu tellement de choses en si peu de temps que toute cette après-midi les avaient crevé. Il me restait maintenant une décision à prendre : Partir ? ou rester ? Partir comme une voleuse…en laissant au pire un mot ? non ce n’était pas sérieux, et surtout pas très respectueux pour Paris qui m’avait quand même accueilli chez lui… Je pris donc la décision de m’asseoir sur le fauteuil à côté du canapé et cherchait une occupation quand je vis sous la table basse, un exemplaire de Marie-Claire. Je me mis à glousser en voyant cela, avant de prendre la magasine et de m’adonner à de la lecture, encore amusé de voir ce genre de magasine ici…enfin… « encore » ici.

Paris se réveilla enfin et je dû me faire violence pour ne pas le détailler du regard – déjà pendant qu’il dormait – alors qu’il revenait à la réalité. J’ai toujours trouvé son air à peine réveillé, trop craquant et sexy… Je me pinçais les lèvres cachant comme je pouvais ma réaction derrière mon magasine quand Paris me demanda depuis combien de temps il dormait. Un coup d’œil à la fine montre sur mon poignet, et je lui répondais « Un tout petit peu plus de deux heures, je dirais… » Je ne quittais pas le magasine des yeux et attendit qu’il prenne le temps de se rasseoir sur le canapé plus confortablement en se frottant le visage, avant de lui dire « Les enfants sont couchés…ils ont été dociles. Une chance ! » Puis je fermais les pages de mon magasine mais gardait celui-ci dans mes mains, observant la couverture, avant de la diriger vers Paris, un air amusé sur mon visage « J’arrive pas à croire que tu sois toujours abonné à ça !! » J’aurais pu me moquer – et d’ailleurs n’était-ce pas ce que j’étais en train de faire ? – mais sincèrement, j’étais surtout surprise de voir que Paris pouvait encore gardé cette habitude, qu’il avait pourtant pris à l’époque où l’on était ensemble.



AVENGEDINCHAINS
   
Revenir en haut Aller en bas
ADMIN - MEMBRE DES MARPLEPersonne ne doit être abandonné, oublié
Paris Maconahey


Paris Maconahey
ADMIN - MEMBRE DES MARPLE
Personne ne doit être abandonné, oublié


Depuis mon arrivée le : 29/01/2018 j'ai posté : 881 messages qui m'ont rapporté : 405 $ sous les traits de : Derek *sexy* Theler Vous pouvez me retrouver aussi sous : Tomas W. (C. Hemsworth), Bonaventure W. (J. Williams) & Leonidas Vasilis (Jason Momoa) D'ailleurs je dois mes images à : Townies (vava) tumblr (gif) En ce moment, je suis : présent(e) et pour finir, en RP, je préfère : m'adapter à mon partenaire.


Love is there when you open the door - Page 2 Empty
Message(#) Sujet: Re: Love is there when you open the door  Love is there when you open the door - Page 2 EmptyLun 7 Mai - 23:41


   Summer & Paris

   Love is there when you open the door

   

   [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]En se réveillant de sa sieste, Paris su qu’il n’avait pas dormi comme d’habitude, tout simplement parce qu’il se sentait beaucoup plus reposé que ces derniers mois. Cela faisait longtemps qu’il n’avait pas eu cette sensation de paix mais il n’eut pas long à chercher pour comprendre que cela venait d’une seule et unique personne : Summer. Toujours elle. Son ex-femme était la seule à réussir à chasser ses démons et visiblement, même leur séparation n’avait pas changé ce pouvoir qu’elle avait sur lui –autant vous dire combien il en était désespéré. La seule femme qui lui permettait d’être heureux, de trouver un semblant de paix, appartenait à un autre homme. Ce Paul, mesurait-il la chance qu’il avait d’être aimé d’elle ? Il s’en foutait. Lui, il crevait un peu plus chaque jour où elle n’était pas à ses côtés, où ses lèvres ne rencontraient pas les siennes, où son corps ne fusionnait pas avec le sien, où tout simplement, elle ne l’aimait pas. En la rejetant comme il l’avait fait, Paris n’avait pas perdu uniquement une femme ou une maîtresse, il avait perdu la moitié de son âme, sa complice, son équipe. C’était de sa faute, uniquement de sa faute.

« Désolé, je pensais pas écraser autant » marmonna-t-il, conscient qu’elle était restée uniquement pour lui permettre de dormir. Ils n’avaient jamais cherché à maudire l’autre durant leur divorce alors pourquoi est-ce que cela changerait à présent ? Summer était restée fidèle à elle-même et il ne l’aimait que plus à cause de cela. « Oula, je crains le pire… tant de docilité ? je sens que je vais douiller sévère durant le week-end » plaisante-t-il avant de grimacer face à sa remarque. Cela l’amusait de la voir se moquer de la sorte, cela lui avait manqué. « Hey, critique pas, je te signale que ça m’a sorti pas de pas mal d’emmerdes ce magasine, notamment question saint valentin… » rigole-t-il même s’il était nostalgique de cette époque. « Je crois que je me suis trop habitué à le recevoir pour annuler l’abonnement. Puis, j’aime bien la rubrique courrier du cœur, y a de ces histoires » reprit-il en se levant pour mieux s’étirer. « Raah bordel, j’ai le dos en vrac ! Je suis bon pour une séance de kiné sinon à moi le congé forcé » grommela-t-il en roulant des bras pour tenter de débloquer son dos. Ce n’était pas quelque chose de récent, Summer savait combien il avait le dos fragile mais Paris n’avait jamais voulu changer de boulot. Etre pompier, c’était toute sa vie. « En tout cas, je suis désolé d’avoir pioncé autant, je t’ai retardé du coup » dit-il sans réellement le penser. S’il ne tenait qu’à lui, elle resterait à jamais dans cet appartement mais il savait qu’elle devait s’en aller, qu’elle devait retourner auprès de l’homme qu’elle aimait. « Paul… » commença-t-il en baissant la tête quelques instants avant de la relever et de braquer son regard dans le sien. « Il te traite bien ? Je sais que tu vas me dire que ça me concerne pas, que je devrais m’occuper de mon cul mais j’ai pas pu m’empêcher de remarquer que ça pétille plus… enfin je veux dire, ton regard…il… enfin… tu n’as pas l’air heureuse alors je voulais m’assurer qu’il te traitait bien. Si c’est pas le cas, un mot de toi et je vais lui casser la gueule »


AVENGEDINCHAINS
   
Revenir en haut Aller en bas
MODO - MEMBRE DES MARPLEPersonne ne doit être abandonné, oublié
Summer Maconahey


Summer Maconahey
MODO - MEMBRE DES MARPLE
Personne ne doit être abandonné, oublié


Depuis mon arrivée le : 11/03/2018 j'ai posté : 627 messages qui m'ont rapporté : 560 $ sous les traits de : Brittany Snow. Vous pouvez me retrouver aussi sous : Joan Grieve (Anna Kendrick), et Sofia Garrison (Stana Katic) D'ailleurs je dois mes images à : Towntrotter & S7K. En ce moment, je suis : en présence réduite du : 26/07 au 20/08
et pour finir, en RP, je préfère : m'adapter à mon partenaire.


Love is there when you open the door - Page 2 Empty
Message(#) Sujet: Re: Love is there when you open the door  Love is there when you open the door - Page 2 EmptyMar 8 Mai - 0:18


   Summer & Paris

   Love is there when you open the door

   

   [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Paris s’excusait d’avoir dormi plus que de raison et moi j’haussais simplement les épaules en faisant mine de lire mon magasine…comme si j’en avais pas profiter pour leur regarder dormir « Oh t’excuse pas, c’est que tu devais en avoir besoin. » répondais-je le plus innocemment du monde avant de lui dire que les enfants n’avaient pas trop faire de chichi pour aller à la sieste. A sa remarque, je lâchais le magasine pour le fermer et m’essayait à un ton plus propice à la complicité entre Paris et moi, chose qui n’était pas arrivée depuis si longtemps que j’en craignais sa réaction : « Et c’est là que je me dis que c’est cool parce que…Ce sont TES jours de gardes, pas les miens ! » j’en riais gentiment avant de lui montrer son propre magasin pour me moquer un peu. Ce qui me rassura, c’est que Paris semblait accepter la tournure que prenait notre conversation vu qu’il en allait même jusqu’à rire lui-même en me rappelant que ce magasin lui avait beaucoup servi pour nos St-Valentin « Ah je reconnais bien là, le don de Marie-Claire ! Je lui serais à jamais reconnaissante pour la séance massage et spa, après la grossesse !... Oh et la nuit étoilée dans la maison bulle ?? une perfection ! » J’en souriais, rien qu’à l’évocation du souvenir, mais lorsque les images de ce dernier me vinrent en tête, j’avoue que je ne savais plus trop si j’avais vraiment le droit – ou du moins si c’était une bonne idée – de reparler de tout ça ! Alors histoire de ne pas trop m’étaler sur cette époque que j’avais perdue, je fis mine de m’intéresser plutôt à ce que Paris me vantait, à savoir le courrier du cœur, en rouvrant le magasin pour chercher la page en question. Mais je m’arrêtais en plein milieu de feuilletage, car Paris semblait se plaindre de son dos. « Ça ne s’arrange toujours pas ? … » Je me levais de mon fauteuil pour me planter en face de Paris, comme si le fait qu’il se lève, soit le signe pour moi de partir. Sauf que je me levais surtout parce que ça me démangeait sérieusement de lui proposer un massage. C’était quelque chose que je faisais à l’époque, et…enfin, je ne suis pas masseuse pro, mais je savais gérer fut un temps. « Est-ce… » on pouvait très bien remarquer mon air hésitant. Avais-je le droit de lui proposer ? est-ce qu’il m’enverrait bouler ?? C’est vrai quoi, il a déjà été cool de me laisser passer la soirée avec eux, faudrait pas que j’abuse en outrepassant les frontières de sa tolérance ?? … ouais… mais… je suis Moi. Summer. La fille qui a un sérieux problème avec les espaces personnels des gens, avec les barrières de sécurité invisible que les gens forment autour d’eux. « Est-ce qu’un massage t’aiderait ?? je…enfin…je n’étais pas si nulle que ça à l’époque pour les faire alors…si ça peut t’aider » Dit comme ça, c’est mieux non ? ça lui laisse le choix d’accepter ou non. En gros, c’est comme un service que je lui rends à lui, et pas un kiff que je me fais, moi ?!

Jusqu’ici, cette ambiance détendue me permettait de reprendre peu à peu des habitudes avec Paris, et j’avoue que ça me donnait des espoirs quant à la possibilité qu’on puisse peut-être à nouveau se reparler réellement lui et moi…Mais lorsqu’il évoqua Paul, j’ai bien eu peur que tous ces espoirs soient vains. Je fronçais le regard, écoutant d’un air inquiet et concerné les paroles de Paris, et baissais faiblement la tête dès lors qu’il se mit à qualifier mon regard, et ce manque d’étincelle qu’il avait l’habitude d’avoir. Sa dernière proposition ne manqua pas de me faire doucement rire, mais bien vite je repris un air sérieux. Il faut qu’on ait une discussion, parce que j’ai bien l’impression que Paris me prête des idées que je n’ai pas : « Paris… Jamais je n’aurais été te dire de t’occuper de ton cul. Je…je suis surprise que tu t’en intéresse, oui, je ne te le cache pas, mais…je suis sincèrement touchée que tu t’inquiètes. » Je ne sais pas si le terme « inquiéter » est le bon à employer mais toujours est-il que je ne cherchais pas plus loin a détaillé ce qu’il se passait ici et maintenant entre Paris et moi, et préférait simplement en venir au fait : « Il…Paul me traite bien. Il est gentil et…patient. Ce qui est en soit une bonne chose vue que je n’ai clairement pas été facile à gérer, au début. » je ne détaillais pas non plus cette partie-là, parce que je ne voulais pas inquiéter Paris. Il valait mieux l’empêcher de trop réfléchir là-dessus. « Je ne sais pas si…enfin…est-ce que je peux vraiment te dire pourquoi… » je tournais autour du pot parce que je pesais encore le pour ou contre le fait de dire à Paris ce qui me bouffait depuis presque qu’un an et demi maintenant. « C’est juste que je ne voudrais pas gâcher ces dernières heures passées ici avec toi et les enfants… » Si jamais je venais à lui dire que même si j'avais du me faire à l'idée d'avoir perdu mon mari, je n'arrivais à me faire à l'idée d'avoir perdu mon ami, mon partenaire, la deuxième partie de moi...


AVENGEDINCHAINS
   
Revenir en haut Aller en bas
ADMIN - MEMBRE DES MARPLEPersonne ne doit être abandonné, oublié
Paris Maconahey


Paris Maconahey
ADMIN - MEMBRE DES MARPLE
Personne ne doit être abandonné, oublié


Depuis mon arrivée le : 29/01/2018 j'ai posté : 881 messages qui m'ont rapporté : 405 $ sous les traits de : Derek *sexy* Theler Vous pouvez me retrouver aussi sous : Tomas W. (C. Hemsworth), Bonaventure W. (J. Williams) & Leonidas Vasilis (Jason Momoa) D'ailleurs je dois mes images à : Townies (vava) tumblr (gif) En ce moment, je suis : présent(e) et pour finir, en RP, je préfère : m'adapter à mon partenaire.


Love is there when you open the door - Page 2 Empty
Message(#) Sujet: Re: Love is there when you open the door  Love is there when you open the door - Page 2 EmptyMar 8 Mai - 0:39


   Summer & Paris

   Love is there when you open the door

   

   [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Paris rigola à la boutade de Summer. « Vas-y continue et je fais en sorte de tellement les exciter durant le week-end, qu’ils seront ingérables la semaine » rétorqua-t-il avec le même élan de complicité. Cela lui avait tellement manqué de pouvoir lui parler de vive voix, de voir l’expression de son visage, son sourire.  Peu à peu, il prenait conscience de combien il avait souffert de son absence et de combien cette décision était absurde. Tenir Summer éloignée de lui, c’était pas la protéger, c’était le punir lui. Le punir de ne pas avoir vu que sa femme n’allait pas bien, de ne pas avoir assez montré qu’il était là pour elle, qu’elle pouvait lui parler de tout sans craindre son courroux. Il avait manqué à son devoir d’époux et cela avait entrainé la catastrophe qui les avait séparé. Certes, Summer lui avait menti, elle avait été à deux doigts de le tromper pour « protéger la famille » mais elle ne l’avait pas fait. Elle était venue simplement le trouver trop tard et lui, il n’avait pas su réflechir, pas su taire son caractère sanguin. Il n’avait entendu que ce qu’il avait souhaité à savoir qu’elle avait été tenté de le tromper, qu’elle lui avait menti. Paris ne niait pas que cela l’avait brisé de l’imaginer se donner à un homme par la contrainte et surtout de se dire qu’elle l’aurait fait parce qu’elle n’avait pas suffisament confiance en lui. Alors, il l’avait repoussé pour la protéger, lui montrer qu’il souffrait. Aujourd’hui, sa rancœur s’était envolée, il ne restait plus que la souffrance dûe à son absence et à l’amour qui continuait à le consummer. Il se racla la gorge quand elle évoqua leur nuit passée dans cette maison bulle. « Oui… c’était le bon temps » marmonna-t-il avant de tousser pour retenir les émotions qui menaçaient de le submerger. A la place, se plaindre de son dos était peut-être moins dangereux –du moins avant qu’elle ne vienne lui proposer un massage. Paris resta immobile et silencieux avant de lâcher un léger sourire et d’hocher la tête. « Si cela te dérange pas… tu seras toujours plus douce que le kiné qu’on a à la caserne » dit-il en pensant que finalement, ce serait peut-être le moyen pour lui de sentir à nouveau ses mains sur son corps, même pour un massage. Toujours mieux que rien n’est-ce pas ?

Malheureusement pour lui, il fallait qu’il ramène sa fraise, qu’il se permette peut-être une liberté de parole dont il n’avait plus le droit d’user. « Je ne cesserai jamais de m’inquiéter pour toi Summer ni même de ne pas m’intéresser à ta vie… Je sais que la décision de ne plus se voir après le divorce venait de moi mais cela n’enlève pas le fait que je ne cesserai jamais de vouloir te protéger » osa-t-il enfin lui dire. Elle ne l’aimait plus, elle avait refait sa vie mais lui, il restait toujours là, tapi dans l’ombre, prêt à la secourir si elle en ressentait le besoin. Il savait que ce n’était plus à lui de le faire, que ce Paul était dorénavant l’homme vers qui, elle irait chercher la sécurité mais c’était plus fort que lui. « Si tu as quelque chose à me dire, dis le moi. Je crois qu’il serait peut-être temps qu’on le fasse ? » soupira-t-il. Il n’aimait pas forcément la tournure que cela prenait mais si elle avait besoin de lui parler alors cette fois-ci, il l’écouterait. Hors de question que de commettre deux fois la même erreur. « Je t’écoute »

AVENGEDINCHAINS
   
Revenir en haut Aller en bas
MODO - MEMBRE DES MARPLEPersonne ne doit être abandonné, oublié
Summer Maconahey


Summer Maconahey
MODO - MEMBRE DES MARPLE
Personne ne doit être abandonné, oublié


Depuis mon arrivée le : 11/03/2018 j'ai posté : 627 messages qui m'ont rapporté : 560 $ sous les traits de : Brittany Snow. Vous pouvez me retrouver aussi sous : Joan Grieve (Anna Kendrick), et Sofia Garrison (Stana Katic) D'ailleurs je dois mes images à : Towntrotter & S7K. En ce moment, je suis : en présence réduite du : 26/07 au 20/08
et pour finir, en RP, je préfère : m'adapter à mon partenaire.


Love is there when you open the door - Page 2 Empty
Message(#) Sujet: Re: Love is there when you open the door  Love is there when you open the door - Page 2 EmptyMar 8 Mai - 1:09


   Summer & Paris

   Love is there when you open the door

   

   [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Y’a-t-il moyen de revenir en arrière ? d’oublier cette conversation lourde de conséquence pour s’arrêter à celle plus légère et amusante concernant les enfants ? non ?? Bon…Au moins je gagnais quelque chose au change : Paris avait accepté mon massage. Si bien que je n’avais pas attendu très longtemps pour lui indiquer un tabouret de bar sur lequel il pourrait s’asseoir pendant que moi je resterais debout derrière lui pour lui masser le dos. « Installe-toi dans ce cas… » Il prit place et pendant quelques secondes qui avaient paru être une éternité pour moi, j’étais restée immobile les mains en lévitation au-dessus des épaules à Paris, hésitant encore à l’idée de passer cette barrière invisible qui m’avaient empêché jusqu’ici le moindre contact avec mon ex-mari. Je me mordais les lèvres, profitant que Paris ne me voyait pas avant de finalement me décider. Je posais les mains sur ses épaules fébrilement d’abord, mais très vite, je gagnais un rythme familier. C’est dingue en fait, j’ai l’impression d’être un de ces pianistes qui n’a pas touché à un piano depuis des années, mais qui dès qu’ils reposent ses doigts sur les touches noies et blanches, retrouvent toute la fluidité de ses mouvements pour créer le son le plus mélodieux du monde…. Mes mains n’ont jamais oublié Paris. Pas même que mon esprit, ou encore moins mon corps. Je n’ai pas oublié le sien d’ailleurs…et il me manque. Cette carrure, cette puissance, ses muscles, ce sentiment que j’ai lorsque je le touche, et ce qu’il arrive à faire naître en moi. Non, je n’ai clairement pas oublié Paris. Je ne l’ai tellement pas oublié que j’ai honte de moi lorsque je me plais à l’imaginer dans des moments de solitudes, quand je préfère largement me « soulager » seule, plutôt que de m’adonner à une partie de jambes en l’air, fade et ennuyeuse…Et j’ai d’autant plus honte de réfléchir à cela, alors que je suis en train de masser Paris.

Ce sont les questionnements de mon ex-mari au sujet de Paul qui me ramenait à la réalité et qui ont fait que j’ai soudain envie de rembobiner les quelques minutes qui viennent de s’écouler. Non pas que ce massage est gênant – je préfère avoir la possibilité de toucher Paris ‘innocemment’ plutôt que de ne pas le toucher du tout – mais cette conversation qui n’annoncent rien de bon. Parce que j’ai tout simplement que si je laisse sortir ce que je ressens, je grille définitivement mes chances de pouvoir renouer amicalement – au mieux – avec Paris. Ses premières paroles me rassurèrent un peu, parce qu’il me prouvait qu’il restait cet homme prévenant et protecteur, cet homme avec qui je m’étais toujours senti en sécurité. Mais, ce n’est pas pour autant que ça m’autorisait à lui dire que je voulais retrouver notre complicité ?? si ? J’hésitais, mes pensées déraillant en même temps que mes paroles, alors que mes mains, elles, ne s’arrêtaient pas ; hors de question pour elles de se priver su contact retrouver, faut pas déconner !! Mais à force de trop hésiter, Paris insista et je compris que je ne pouvais plus reculer : « Je ne supporte pas ton absence… » réussissais-je enfin à lâcher comme une bombe, avant qu’un silence ne s’installe. J’inspirais alors profondément, et m’appliquait à continuer mon massage, afin d’être sûre de garder un Paris apaisée et attentif. Puis, je m’expliquais plus correctement : « Je veux dire…Cette complicité qu’on avait…Ce duo qu’on formait. Avant même d’être mari et femme Paris, on était surtout amis ! Complices ! Partenaires…tu vois ce que je veux dire ou pas ? Et du jour au lendemain, plus rien. Alors okay, je savais que le jour où ce divorce à été prononcé, il y avait des choses qui n’existeraient plus entre nous, mais…ce à quoi je ne m’étais pas attendue, c’était à tirer un trait sur toi, dans tous les autres aspects de ma vie… Et je vais être honnête. Je vis mal le fait de ne plus te voir… » Voilà, c’était dit. J’avais envie de me baffer pour oser faire de cette soirée la seule, unique, et dernière soirée en compagnie de mon ex-mari. C’est dommage…c’était trop beau pour être vraie en même temps…


AVENGEDINCHAINS
   
Revenir en haut Aller en bas


Contenu sponsorisé



Love is there when you open the door - Page 2 Empty
Message(#) Sujet: Re: Love is there when you open the door  Love is there when you open the door - Page 2 Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
Love is there when you open the door
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 2 sur 3Aller à la page : Précédent  1, 2, 3  Suivant
 Sujets similaires
-
» (F)Nina Dobrev ◆ Love
» (M) AU CHOIX ◆ Futur love, version masculine
» i loved you once i loved you twice i love you more than beans and rice

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Streets of New Orleans :: Take a break :: Les souvenirs de Sono-