Fait divers n°1 : Panique à la banque

« Panique à la banque »

« La chance j'en ai pas depuis mon enfance, donc j'ai l'habitude ! » Malone était résigné. Cela faisait 27 années que cela durait et si au début, il avait essayé d'aller à l'encontre, aujourd'hui, il savait que cela ne servait à rien. De toute façon quoi qu'il fasse ce n'était jamais le bon choix. Pendant un certain temps, il avait même essayé de jouer tous ses choix à pile ou face. Cela n'avait rien changé du tout. Alors à force, il avait abandonner et c'était fait à l'idée que cela ne changerait pas. Il avait l'impression que toutes les blessures les plus débiles lui étaient déjà arrivé et à force, personne le croyait quand il racontait les choses. Mais il ne s'en formalisait pas. Mais cela entraînait le fait qu'il n'était pas forcément courageux. Hors de question de défier la mort parce qu'il savait qu'il finirait par perdre. Pourtant, aujourd'hui, alors qu'un danger était possible, il ne suivait que son instinct de protection. « Fatigué ou pas, on prend pas de risque. » Il ne savait pas si cela était vrai mais dans le doute, il ne comptait pas attendre ici qu'ils se servent de leur arme. Summer semblait alors scandalisé qu'il propose qu'elles partent pendant que lui il resterait ici. C'est vrai que lorsqu'on savait que Malone n'était pas comme Paris, ce n'était pas un justicier qui dévie le feu. C'est même plutôt quelqu'un qui évite ce genre de choses mais là, il ne pensait qu'à une chose : protéger les deux femmes. « Oui, c'est exactement ce que vous allez faire. » Et son ton ne semblait pas discutable. La raison de ce soudain élan de courage, elle était simple. « Paris me tuerait s'il savait que je n'avais pas protégé deux des femmes de sa vie » Parce que oui Danika mais aussi Summer étaient des femmes de leur vie. Et s'il y a bien un truc qui pourrait faire que Malone se montre courageux, c'est pour protéger sa famille mais aussi pour rendre Paris fier. « Bon alors, vous sortez ? »

« Panique à la banque »

Les deux ne semblaient pas vouloir l'écouter. L'une prétendait être trop fatigué et qu'elle avait du mal voir ce que l'homme avait à sa hanche. Et la seconde, elle prétendait vouloir rester ici pour ne pas laisser Malone seul. Bordel, elles auraient pas juste pu prendre leur jambes à leur cou ? Sans se retourner, sans chercher d'excuse ? Pour une fois, il aurait juste voulu qu'elles lui obéissent sans poser de questions mais il faut croire qu'il n'avait pas l'autorité de son frère. En fait, il n'avait pas grand chose de son frère : pas son courage, pas son charme, pas son charisme, pas sa stabilité.

Mais ni Danika, ni Summer n'étaient sortit de la banque et quelques secondes plus tard, la crainte de Malone se confirma. Un coup de feu, l'annonce du braquage et la fermeture des portes. D'instant, il s'était jeté sur les deux demoiselles comme pour les protéger. Il s'en voulait tellement de ne pas avoir réussi à les convaincre. Maintenant, ils étaient tous les trois dans une sale position alors que Malone aurait dû être le seul à rester dans la banque. Mais il n'avait pas dit son dernier mot et si en temps normal, il aurait dit, il aurait obéit sans chercher à jouer le justicier, là, c'était différent. Il devait protéger ces deux femmes. Il remarqua alors le comportement du gardien. Il ne semblait pas vouloir se rendre aussi facilement. En temps normal, Malone lui aurait fait signe de ne rien faire, d'obéir mais là, c'était comme s'il se sentait poussé des ailes. L'effet de l'adrénaline surement. Il se tourna vers les deux filles. « Surtout vous ne bougez pas ni l'une ni l'autre. Promettez le moi. » Son regard croisa celui de Brody. C'était le moment. Il se redressa alors prêt à se lever. « S'il vous plait, je pourrais avoir un verre d'eau, je me sens pas très bien du tout. » Et il se redressa en faisant mine de tourner de l'oeil. Bon, d'accord, au niveau comportement de héros, tu repasseras mais c'était tout ce donc Malone était capable : attirer l'attention des braqueurs sur lui pour permettre à Brody d'agir.

  Danika , Summer et Malone

  Panique à la banque

  [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Si Malone pensait vraiment que j'allais sortir sans lui il me connaissait vraiment mal, il était hors de question que je laisse mon frère ici alors que j'avais de sérieux doutes sur un des hommes qui venaient de rentrer. Je sais qu'il s'en voudrait s'il m'arrivait quoi ce soit, mais ça serait pareil pour moi. Si j'étais revenu ici c'était pour retrouver ma famille et non les perdre. Donc têtu comme je suis j'allais rester dans cette banque même si je savais que je prenais de gros risques. Mon regard allait entre Summer et Malone, je ne voulais pas le laissé ici et pourtant il me faisait clairement savoir que je n'avais pas le choix. " Malone... Bon d'accord. " Je détestais savoir que j'allais surement le laissé ici. Mais pendant notre discussion on ne sé'tait même pas rendu compte que les esprits s'étaient échauffés devant nous. Je me posais beaucoup trop de questions, laissé mon frère ici je sais que je n'y arriverais pas, mais je n'avais pas le choix. Au moment où j'allais prendre le chemin de la sortis avec Summer un coup de feu se fait entendre. Je n'avais pas le temps de réagir que Malone se jetait sur toutes les deux, on se retrouvait au sol. Par instinct je regardais autour de moi si personne n'était blessé, je faisais tout pour garder mon calme mais ce n'était pas facile du tout. Les pleure se faisait entendre chez certains des clients, d'autres restaient silencieux alors que moi je tremblais en restant près de mon frère en essayant de comprendre ce qui était en train de se passer. Et d'un coup Malone nous demandait de ne pas bouger, une voix qui me faisait comprendre qu'il allait faire une grosse bêtise. J'attrapais le bras de Malone en le regardant droit dans les yeux." Je te préviens Malone je ne suis pas revenu ici pour perdre un de mes frères..." Mais trop tard il se redressait en faisant croire qu'il n'allait pas bien. Non mais à quoi il jouait, mon regard balayait la salle pour essayer de comprendre, et il finissait par se poser sur le gardien. Oh non mon frère n'allait pas jouer au super héros, mais je ne pouvais pas bouger, surement à cause de la peur alors que mon souffle se faisait de plus en plus faible, je devais me calmer, ne pas paniquer et pourtant c'était ce que je devais faire. Mon regard ne se détachait pas des braqueurs qui regardait mon frère. Je réalisais qu'à tout moment ils pouvaient nous tirer dessus, sur mon frère et Summer, mon ex belle soeur certes, mais à qui je tenais même si je lui en voulais. Je finissais par tourner le regard vers elle cherchant comme du réconfort.

  Danika , Summer et Malone

  Panique à la banque

  [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Tout s’est passé très vite. Trop vite…Malone avait réussi à convaincre Danika de partir et j’allais presque emboitée le pas de la demoiselle bien que mon cerveau continuât de se demander si c’était juste de laisser les autres personnes dans la banque ignorante d’un possible danger. Mais ce qui n’était au départ qu’une simple hypothèse s’est transformée en réalité. Un vrai cauchemar ! Les coups de feu me firent sursauter et mon sang n’avait qu’un tour alors que tout le monde était sommé de se rendre en groupe dans un coin, le long du comptoir. J’étais tétanisée mais trouvait encore le courage de regardé autour de moi, les autres clients : Certains pleuraient déjà par la peur, d’autre était assis et suivaient du regard les braqueurs, avec des yeux qui manquait cruellement d’espoir. Même leurs manières d’être assis adossés au comptoir, leur donnait un air de fatalité…à croire qu’ils attendaient que la mort ne vienne les faucher. Les yeux ronds comme des billes à cause de l’angoisse qui me submergeait je détaillais aussi les autres clients ; ceux qui cachait leur visage dans leur main, les jambes repliées et le corps recroquevillé…je n’aimais pas ce que je voyais. Cette peur… cette peur qui faisait grandir la mienne au point que je ne trouvais pas d’autre idée que de fixer ces braqueurs du regard cette fois ! Si je devais mourir aujourd’hui, je préfère savoir PAR qui ?? Et soudain, je réalisais une chose…mes enfants. Qu’adviendrait-il des enfants ? Ils auraient leur père avec eux, ils ne seraient pas seuls heureusement. Et Paris…bon sang, Paris. Il y a tant de chose que j’avais à lui dire, et je me rendais compte que je n’allais peut-être jamais pouvoir le faire…

Je m’enfermais dans mes songes sinistres, dans mes regrets et dans ma peur de ne pas avoir assez dit à mes enfants que je les aimais, quand soudain la voix de Malone me ramena à la dure réalité. Je lâchais donc mon observation des braqueurs, pour porter mon attention sur mon ex beau-frère, un air complètement paniqué sur mon visage. Mon dieu mais à quoi il joue, là ? pourquoi il nous somme à nous de ne pas bouger, si c’est pour le faire, lui ??! D’un geste du bras, j’avais amorcé mon attention de le faire se rasseoir, mais trop tard ! Je n’avais plus qu’à prier pour que ces voleurs de banque ne soit pas nerveux au point de s’en prendre bêtement à un otage demandant de l’eau…J’allais baisser la tête pour prier je ne sais quel dieu, quand je déviais mon geste pour observer Danika à côté de moi…Dans son regard, je pouvais voir la même angoisse qui naissait en moi, et sans qu’elle ne prononce aucun mot, je compris qu’elle cherchait un réconfort, une assurance que tout se passerait bien. Impuissante, la seule chose que je réussissais à faire, c’est de tendre le bras vers mon ex belle-sœur, et de le passer derrière son épaule pour l’attirer vers moi. A cet instant, les paroles froides de l’un des braqueurs, le moins nerveux des trois, résonnèrent dans la pièce. Pointant son arme vers Malone, le braqueur déclara sur un ton qui n’avait rien d’un conseil : « Tu vas commencer par te rasseoir !! VITE ! »

« Panique à la banque »

Malone avait négocié mais il avait réussit à convaincre les deux femmes de partir et de le laisser ici. Trois personnes qui quitteraient la banque en même temps, cela pouvait paraître suspect et l'important pour le jeune homme était que Danika et Summer soient en sécurité. Et il savait aussi qu'il avait toujours la poisse alors peut-être que si elles partaient sans lui, elles seraient saines et sauves. Raté. Maintenant, elles faisaient partie des otages comme lui et cela ne laissait rien présager de bon. Il devait faire quelque chose, il ne pouvait pas rester là sans rien faire. Pas question de jouer les héros, il savait qu'il n'en avait pas la carrure, ni le talent. Alors peut-être qu'il réussirait au moins à faire diversion et surtout que l'attention des braqueurs soit sur lui et non sur les deux filles qui l'accompagnaient. « Tu vas pas me perdre Danika. » Est ce que c'était elle ou lui-même qu'il tentait de rassurer. Alors, il avait tenter de faire diversion mais il semblerait que cela n'est pas fonctionné. Lorsque le braqueur s'approcha de lui, Malone sentait son coeur battre à tout rompre. Bordel, qu'est ce qu'il flippait. Ce dernier lui demanda simplement de se rasseoir. Il aurait pu insister pour avoir de l'eau, faire durer la diversion mais il n'en était pas capable, il n'avait pas les épaules pour lui tenir tête. Il baissa les yeux avant de se rasseoir. Il lança un regard désolé au gardien.

  Danika , Summer et Malone

  Panique à la banque

  [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Les choses allaient tellement vite, en quelques secondes on avait voulu s'enfuir de la banque à la demande de mon frère qui avait tout fait pour nous convaincre, mais d'un coup tout basculait. Un coup de feu, tout le monde qui était rassemblé dans un coin de la banque. En quelques secondes une vie pouvait basculait et j'en savais quelque chose. On se croit en sécurité et heureuse, comme moi quand j'étais avec mon ex petit ami, puis un soir une gifle et là pareil la vie avait basculé. Et maintenant j'étais là assise alors que tout le monde avait peur, moi aussi j'avais tellement peur, peur que mon frère se fasse tirer dessus, Summer aussi, je me posais beaucoup de questions. Comment est-ce que cela allait se passer, en tout cas on devait garder notre calme car s'il y avait trop de stress, les braqueurs pouvaient perdre tout contrôle. Je serais bien resté dans mon coin en me demander quand cet enfer allait se terminer, mais non Malone voulait faire le héros. Non mais il était dingue, à quoi il jouait là. " Alors ne joue pas au héros ... S'il te plaît. " Mais non il se levait en prétextant qu'il n'allait pas bien. Et d'un coup je voyais un des braqueurs pointer son arme sur Malone. Instinctivement je fermais les yeux, je ne voulais pas me souvenir de cette scène et pourtant c'était trop tard. Mon frère avec une arme pointait sur lui, des images que je n'oublierais malheureusement jamais. Summer faisait tout pour me rassurer en me gardant près d'elle, je tremblais de partout et Malone finissait par se rasseoir à mon plus grand soulagement. Je tournais le visage vers Malone en attrapant sa main, rassurer de le savoir près de moi. " Ne recommence jamais ça... On trouvera une autre solution. " Je parlais tout bas alors que je cherchais comment nous sortir de là. Il n'y avait aucun blessé et pourtant j'avais peur que ça ne dure pas, les esprits allaient s'échauffer et tout allait basculer. Je voyais déjà dans le regard du gardien qu'il voulait réagir et d'autres personnes allaient vouloir jouer au héros aussi.

  Danika , Summer et Malone

  Panique à la banque

  [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]L’arme pointée sur Malone me glaça le sang ! J’avais observé le braqueur qui ne semblait même pas oscillé !! Bon sang, lui, ça doit être le cerveau du groupe, ce n’est pas possible autrement. Il fallait voir sa détermination. Là où l’on pouvait voir quelques gouttes de sueurs perlés sur le front de deux acolytes, cet homme-là, lui, avait un self-control impressionnant. Je comprenais que Malone ne cherche pas plus loin : il s’était rassis et avait jeté un œil au gardien Brody, qui hochait très faiblement la tête pour ne pas que l’on repère leur échange. Quant à moi, je resserrais mon étreinte sur Danika tout en regardant Malone reprendre sa place et l’interroger du regard, cherchant à savoir s’il avait vraiment décidé de rester calme à sa place ou s’il avait autre chose en tête. « Bon ! les gars on traîne pas…chacun sait ce qu’il a à faire » déclara le braqueur au sang-froid avant de s’éloigner. A sa place, le blond le remplaça et bizarrement, il avait décidé de s’intéresser à nous. Et là, alors que je jetais un œil à l’homme, qui ne tenait pas vraiment en place, je réalisais que c’était à cause de nous qu’il était comme ça : il nous fixait comme on l’avait fixé quelques minutes plus tôt ! On avait précipité les choses en les dévisageant, on avait bousillé leur plan…et peut-être qu’ils avaient décidé de lancer les hostilités à l’instant même où on avait voulu partir !!
L’homme nerveux, détailla le petit groupe autour de nous, plissant les yeux comme s’il cherchait à transpercer un mystère. Puis il se mit enfin à parler : « Donc toi, t’es le super-héro » son arme désignait Malone puis déviait ensuite sur Danika « Et toi, tu es la voix de la raison » il devait sans doute avoir entendu la petite sœur de Malone lui demander de ne plus chercher à faire n’importe quoi…Et enfin son arme me désigna : « Alors toi ? C’est quoi ton rôle ? » Je ne répondis rien, mais n’arrivais pas à me focaliser sur autre chose que lui. Il en profita ensuite pour nous dire à tous les trois « On vous a jamais dit qu’il ne fallait pas dévisager les gens ? Que c’était mal poli ?! » il se mit à ricaner avant de faire deux trois pas en tournant légèrement sur lui-même, nerveux ! Là c’est sûr, c’était bien parce qu’on les avait grillés que les choses s’étaient précipitées. Puis finalement, le braqueur pointa son arme sur Brody…quoique de mieux que de tenir en joue le gardien ??

  Danika , Summer et Malone

  Panique à la banque

  [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]A partir de l’instant où le premier braqueur eut emmené le directeur de la banque vers la salle des coffres, les choses se sont accélérés. Le blond continuait de passer dans les rangs en pointant son arme sur ses « têtes fétiches », s’amusant à faire pleurer un peu plus les personnes au bord de la crise de nerfs… Puis soudain, le deuxième homme ordonna à ce que chacun de nous cède tout ce qu’il avait : bijoux, sac, téléphone, la totale ! Je ne sais pas vraiment ce qu’il m’est passé par la tête ! il faut dire que mes pensées se bouscule et qu’entre la peur et mon envie de trouver une solution, je crois bien qu’une idée stupide à finir par surgir…

J’étais en train de retirer mes bagues et boucles d’oreilles, et de mettre le tout directement dans mon sac à main pour le tendre au malfaiteur qui passait devant nous, otage après otage pour récupérer les affaires de chacun, pendant que le blond nerveux lui, se trouvait à l’opposé… « Téléphone … » déclara abruptement le mec devant moi, sans même me regarder tellement il était occupé à vérifier ce que j’avais bien pu mettre dans mon sac « Je l’ai pas… il est dans ma voiture » Là, il releva la tête pour me scruter du regard et moi, je cherchais dans mon fort intérieur tout le courage que je pouvais pour oser mentir à un mec armé « Je m’en suis rendue compte en arrivant devant la banque. J’avais rendez-vous, j’ai vu l’heure…J’me suis dit que ça servait à rien que je fasse demi-tour pour retourner le chercher. » et histoire de parfaire mon excuse, je jouais sur ce constat innocent « Je pensais pas en avoir pour longtemps, ici… ». Mon téléphone ? il n’était pas dans la voiture mais bel et bien dans le pot de fleur qui se trouvait non loin, le long du comptoir, là où je m’étais prostrée dans la précipitation quand on nous a demandé de se réunir en groupe le long du grand guichet. Je n’avais eu qu’à tendre le bras le plus loin possible – et le plus discrètement – et de faire glisser mon téléphone de quelques centimètres jusqu’à ce qu’il arrête sa course entre le pot et le comptoir.

Le braqueur eut l’air de se contenter de mes excuses, sans doute parce qu’il était pressé par le temps et que son bras libre déjà chargée des sacs et autre effets personnels, et passa ensuite à Danika et Malone, avant de faire quelques pas supplémentaires en s’éloignant vers les autres otages. Malheureusement pour moi, quand le braqueur partit en direction d’une caisse dans laquelle il venait déchargée les premiers effets personnels récolté des otages, un téléphone se mit à vibrer et émettre un son de notification de message…Je reconnaissais ce son pour savoir qu’il s’agissait du mien. « Ça vient d’où ?! » demanda le blond nerveux à l’autre bout qui n’avait rien suivi. Le gars devant sa caisse lui, commençait à regarder nos têtes une par une… une chose qu'il avait compris, c'est que ça venait de MA direction... "No stress, ca venait de là-bas, j'ai pas récupérer tout le monde pour le moment.."...il passa devant nous, et alors que je pensais qu'il allait se souvenir de moi, il passa sa route et repris sa collecte...