Réunion d'anciens élèves

Summer & Paris

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[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Paris n’avait pas eu conscience d’allonger le pas, il n’avait de cesse de fixer le petit point sur l’écran de téléphone de Summer. Il voulait atteindre sa destination car au-delà de l’aspect sexuel, c’était surtout l’intimité qu’il espérait retrouver. Pouvoir à nouveau la contempler endormie, pouvoir veiller sur son sommeil, la toucher, effleurer sa peau en craignant à chaque instant de la réveiller. Il avait envie de se glisser à nouveau dans la peau de ce rôle tant aimé : celui de son mari. Si seulement elle pouvait prendre conscience de combien il était malheureux sans elle, de combien il regrettait de s’être entêté dans cette procédure de divorce. Il avait été fou de colère, de chagrin. Summer avait essayé à l’époque de revenir vers lui mais il l’avait repoussé non pas parce qu’il ne l’aimait plus mais simplement parce qu’il voulait qu’elle comprenne qu’il souffrait. Il souffrait de l’imaginer avec cet homme. Et si cet homme avait été plus dangereux que pervers ? Et s’il avait intenté à sa vie ? Il aurait pu la violer, la frapper et il n’en aurait rien su. Paris aurait été comme ces hommes dans les faits divers, apprenant que sa femme avait une deuxième vie et qu’il n’en avait rien su. Il avait échoué à la protéger mais il avait été aussi vexé. Elle ne lui avait pas fait confiance. Au-delà de cette histoire de tromperie, dans son cœur, il savait qu’elle n’aurait jamais franchi le pas ; c’était avant tout ce manque de confiance qui l’avait blessé. Avec le recul, il arrivait à admettre que dans une situation semblable, sûrement aurait-il pris la même décision qu’elle : tout cacher et essayer d’arranger les choses. Seulement, cette prise de conscience était intervenue tardivement, de trois ans trop tard.

Ce soir, il avait l’impression d’être sous le coup d’un sortilège : il avait le droit au bonheur pour quelques heures. Ses rêves, ses attentes les plus folles allaient être comblés et il en trépignait d’avance. Paris se refusait à voir plus loin, à donner de l’importance à cette douleur insupportable qui peu à peu s’installait dans son cœur. La douleur était comme anesthésiée par la main de Summer dans la sienne. Sûrement le paierait-il le lendemain quand il se réveillerait seul dans sa chambre d’hôtel et qu’elle l’éviterait comme la peste… mais pour le moment, elle était à ses côtés : souriante, nerveuse, excitée, impatiente comme maintenant. Le dos de Paris rencontre la paroi de l’ascenseur alors qu’elle venait de le repousser pour mieux l’embrasser. Il pouvait sentir ses mains sur son torse. Des mains à la recherche de plus de contact. Elle pouvait bien déchirer sa chemise, il s’en foutait temps qu’elle ne le quittait pas d’un millimètre. Ses mains elles, s’étaient plaquées sur son adorable fessier, relevant sa jupe pour mieux venir prendre en main ses fesses, fermement, la plaquant contre son bassin. Nul doute qu’il était excité. « Moi non plus.. je te veux tellement » grogna-t-il entre deux baisers sauvages.

Il la voulait fiévreusement. Paris n’était pas certain de pouvoir jouer la carte de la tendresse, il avait tellement envie de se perdre en elle. Peut-être plus tard dans la nuit, ils feraient l’amour avec moins de bestialité, avec plus de tendresse. Leurs corps se désespéraient de se retrouver, leurs cœurs aussi. L’ascenseur se stabilise à nouveau et Paris jette un coup d’œil au numéro de l’étage. « N..Notre » dit-il en se refusant à lâcher ses lèvres ainsi que ses fesses. Pourtant, il faut sortir de là et il la fait reculer avant de se rappeler d’un détail. « Merde ! » jure-t-il en se détachant d’elle juste à temps pour mettre sa main entre les deux portes qui se ferment : la clé ! L’américain prend tout de même le temps de ramasser à la va vite les affaires de sa belle pour mieux la reprendre par la main. La chambre d’hôtel vite ! Sa démarche est moins aisée, la faute à sa virilité qui devient encombrante et douloureuse. « Babe.. faut que je te demande pardon par avance… » lâche-t-il soudainement en se tournant vers elle, marchant à reculons. « ça fait un moment que je t’ai pas fait l’amour et je risque d’être un peu rouillé ! » ajoute-t-il avec un sourire narquois. « On va voir si c’est comme le vélo ! » rigole-t-il en l’attirant à lui pour mieux la plaquer contre la porte de leur chambre, ses lèvres cherchant les siennes. Paris n’avait pas parlé d’autres femmes, tout simplement parce qu’il y en avait pas eu. Summer était la dernière femme qu’il eut touché depuis leur divorce.

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[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Ouf, il s’agissait de notre étage !! De toute façon je n’aurais pas pu aller plus loin je crois : mon corps me lâchait déjà, mes jambes tremblaient tout autant que le reste, si bien que la prise de Paris sur mon fessier était plus que la bienvenue ; parce que ça m’excitait d’une part, et me retenais de chuter d’autre part !! Les portes s’ouvraient et Paris me fit reculer pour mieux nous faire sortir de l’ascenseur. Je me mis à grogner légèrement en le sentant s’écarter de moi en jurant, mais quand je le vis rouvrir les portes à temps pour récupérés les clés et mes affaires, je me mis à rire : « Ah oui effectivement, super important ! A ça près et on aurait été obligé de faire ça dehors ! » plaisantais-je alors qu’il me reprenait par la main pour nous conduire à la chambre. Sa démarche n’était plus si assurée que tout à l’heure et la mienne non plus pour tout dire. Quand il se tourna pour s’excuser par avance pour un éventuel fiasco sexuel, j’arquais un sourcil avant de lui dire pour le rassurer – à moins que je ne me rassure moi – « au vu de mon activité sexuelle du moment, je t’assurer que rouillé ou pas, ce sera parfait pour moi ! » Moi-même j’avais peur de ne plus être à la hauteur, mais le fait que Paris n’avait pas plus d’assurance que moi sur le sujet avait le don de m’apaiser un peu. Au moins, on serait bien deux à redécouvrir le plaisir de s’unir à l’autre… « Le Vélo ? » demandais-je alors qu’on faisait face à la porte de la chambre « Avec toi, je ne compare pas ça à un vélo mais à une Moto 5 cylindres ! » déclarais-je avant d’échapper un hoquet de surprise quand mon dos claqua contre la porte encore fermée. Un gémissement étouffé contre la bouche de Paris, j’enroulais un bras autour de son cou, tandis que mon autre main, cherchait celle de Paris pour lui piquer les clés et tenter de l’insérer dans le verrou, à l’aveugle, derrière moi « Un peu plus à gauche… » marmonnais-je entre deux baisers, m’indiquant à moi-même comment placer la clé dans la porte, quand enfin un clic se fit entendre « Bingo ! » m’exclamais-je, mon talon frappant contre la porte pour la faire s’ouvrir. Je ne suivais cependant pas le mouvement, préférant me dégager légèrement de Paris, mon bras libérant son cou, pour mieux l’attraper des deux mains par la veste. Les yeux rivés dans les siens, je lui adressais un sourire plus que coquin avant de marcher à reculons dans la chambre, emmenant Paris avec moi. Nul doute que maintenant, je me sentais libre de faire ce que je veux !! Et je ne perdis pas de temps : je nous fis pivoter une fois entrer dans la chambre, afin d’échanger nos places et de pouvoir fermer la porte derrière nous, d’un même coup de talon. Sans lâcher la veste de Paris, je reprenais possession de ses lèvres et profitais qu’il tourne le dos à un mur dépourvue de console ou de commode pour le plaquer contre la surface dure derrière lui. Je lâchais ensuite sa bouche pour m’intéresser à son cou, mes mains elles s’affairant déjà à prendre la chemise de Paris entre mes doigts pour la déboutonner « Paris…Tu peux encore changer d’avis… » proposais-je, lui laissant vraiment la possibilité de fuir, même si mes gestes avaient l’air de lui imposer le contraire. Oui, j’avais envie de lui, et avais de ce fait du mal à me retenir de le toucher, de l’embrasser…mais s’il n’était finalement pas près…dans ce cas…je le laisserais partir.

Je suçais la peau parfumée de son cou, mes lèvres plaqués contre sa veine apparente que je pouvais sentir pulsée contre ma langue, une de mes mains venant lui envelopper la partie découverte de son cou que ma bouche n’occupait pas, caressant sa peau, la grattant légèrement de mes ongles pour y laisser des traces. Puis je me fis violence et me décalais enfin pour lui laisser le choix : s’arrêter là, ou continuer… « J’vais pas te cacher que j’ai vraiment envie de toi. Mais je veux être sûre que tu ne le regrettera pas par la suite… »

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[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] « Pas certain que l’hôtel nous aurait laissé faire ! » rigola-t-il en s’imaginant simplement à la place du chargé de la sécurité, qui les aurait vu copuler comme deux bêtes en rut, dans l’un des couloirs de l’hôtel. Pour sûrs que cela aurait rappelé des souvenirs à certains -notamment à ce pauvre malheureux propriétaire d’une boutique de location de costumes de Vegas. Néanmoins, Paris était rassuré sur deux plans : Summer ne s’attendait pas à récupérer un étalon de compétition dans son lit et de deux, visiblement, elle ne passait pas très souvent à la casserole avec Paul. Autant vous dire que la seconde révélation était celle qu’il retenait car si sa jalousie était tout de même piquée à vif à l’idée de la savoir offerte à Paul… Il était tout de même rassuré qu’elle n’y prenait visiblement pas un plaisir grandiose. « Alors si madame n’est pas trop exigeante, je pense que l’on va pouvoir s’entendre »dit-il avant de lui sourire de manière charmeuse. « Une moto ? Babe, tu as toujours su me parler » répliqua-t-il avant de la plaquer contre la porte de leur chambre pour mieux l’embrasser. Le baiser était sauvage, exigeant, comme s’il voulait se fondre en elle. Summer était si active contre lui que c’était un véritable bonheur. D’ailleurs, il ne se fit guère prier pour lui donner la clé, ses lèvres goûtant à la peau douce de son cou. « Putain tu sens toujours aussi bon » gémit-il en retrouvant cette flagrance qu’il aimait tant. Ses dents mordillèrent légèrement sa peau avant que ses lèvres n’y viennent se faire plus pressantes, tellement désireuse d’y laisser une marque… sauf qu’il n’en fit rien. La dernière chose qu’il voulait, c’était qu’elle lui rappelle de ne pas la marquer comme sienne pour ne pas éveiller les soupçons de Paul. Tant pis, il la marquerait autrement se promit-il alors qu’elle l’attirait dans la chambre.

« Bingo » répétait-il avec un sourire séducteur, se laissant faire. Il aimait ce côté de sa personnalité. Summer pouvait être à la fois la pucelle effarouchée qu’il rêvait de déflorer et cette femme à la beauté incendiaire avec qui, il pouvait commettre les pires affronts. A nouveau son dos percuta un mur et il grogna de désir puis d’agacement. « Sérieusement ?! Tu me poses la question ? Maintenant ? » s’exclama-t-il en fronçant les sourcils. « Puis comment veux-tu.. bordel.. comment veux-tu que je me concentre » lâcha-t-il alors qu’elle l’embrassait dans le cou, qu’il pouvait sentir ses ongles sur sa peau. « J’ai pas envie de changer d’avis, je changerai pas d’avis… je compte bien te faire l’amour toute la nuit parce que je crève d’envie pour toi… Babe ! je te ferais l’amour tous les jours de ma chienne de vie si tu m’y autorisais alors maintenant sans vouloir te commander… la ferme et embrasse-moi » reprit-il en glissant sa main sur sa nuque pour mieux l’attirer à ses lèvres.

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[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Sauvage, fiévreux, complètement désordonnés ! Ce sont clairement les qualificatifs que je donnerais à nos baisers et à nos caresses, en plus du mot : Exquis ! Tout était exquis. Le goût de ses lèvres n’avait pas changé et je me plaisais à me dire que le reste devait être tout aussi bon et familier. Le gout de sa peau, dans son cou, que je tenais entre mes lèvres ne me laissaient aucun doute là-dessus, et plus je m’aventurais sur son corps avec mes mains et plus j’avais envie d’aller goûter encore plus de chose, de reprendre possession de tout ce que j’avais perdu.

Oui…mais pas sans être sûre à 100% que tout ceci était consenti de la part de Paris également. Je remarquais avec une légère honte que je me montrais plus qu’entreprenante tellement j’avais envie de lui, au moment même ou Paris grogna qu’il n’arrivait pas à se concentrer si je continuais ainsi à le couvrir de baiser, où à mordiller sa peau. Un « pardon » faussement honnête sortie de ma bouche alors que je gloussais comme une gamine, avant de reprendre un peu de sérieux pour lui avouer que je ne voulais pas qu’il regrette ce que nous allions faire. Et ce qu’il me répondit me cloua sur place, me laissant sous le choc. Il était prêt à quoi ?? ** A être ton amant, je crois ** Pourquoi ?? pourquoi une telle proposition alors qu’il y a 3 ans, il n’avait plus voulu avoir à faire à moi ?! Je comprenais qu’on ait ce besoin mutuel de faire l’amour vu comment on s’était un peu chauffé durant la soirée, et vu qu’apparemment on était complètement frustrée sexuellement tous les deux mais… mais me dire qu’il serait prêt à me faire l’amour chaque jour de sa chienne de vie, si je le désirais ?? Qu’est-ce que ça sous-entendait ??

Si je m’écoutais, je serais déjà là, à lui répondre que oui, je veux qu’il me fasse l’amour, chaque jour, chaque nuit, tous les jours jusqu’à la fin de ma vie ! Mais c’était surtout parce que je voulais le retrouver LUI, en tant que mari, en tant qu’homme de ma vie. Mais lui ? il ne me laissa pas vraiment le temps d’y réfléchir plus que de raison : sa main sur ma nuque m’attira à lui et mes lèvres s’écrasèrent sur les siennes avec ferveur, avant de s’entrouvrir pour lui donner un accès à ma languie qui n’avait qu’un seul bit, goûter la sienne. A quoi bon réfléchir de toute façon ?? l’important là, c’était qu’on en ait envie tous les deux, de cette nuit d’amour ? Peu importe ce qui se passerait demain et après-demain ?? Alors je lâchais prise, mon cerveau se mit en OFF une bonne fois pour toute. Je n’avais besoin que d’une chose : Lui. Uniquement lui, ici, avec moi, ce soir. Le reste n’existait plus…

Mes mains s’agitaient à nouveau sur son corps, l’aidant à se défaire de sa veste qui descendit sur les bras de Paris avant de chuter sur le sol. Continuant de l’embrasser, alternant entre ses lèvres et son cou, mes mains ouvraient complètement la chemise de Paris pour laisser entrevoir un torse puissant, musclé, encore plus imposant que dans mes souvenirs. Je m’arrêtais de l’embrasser, pour contempler sa musculature avant de marmonner « Ça devrait être interdit ce genre de chose ! tant de perfection, ça peut tuer une âme sensible, tu le sais ? » plaisantais-je en osant à demi-mot admettre que pour le coup c’était moi l’âme sensible du jour, et que mon cœur – s’il ne s’était pas déjà montré bien solide jusqu’ici- aurait très bien pu lâcher à la seconde même où son torse avait été dévoilé ! Je m’abaissais alors un peu pour venir poser mes mains sur chaque pectoral, tandis que mes lèvres, elles, se posèrent juste en plein milieu, pour un baiser. Puis un autre. Et encore un autre. Mes mains s’écartèrent pour laisser place à mes lèvres qui venait parsemer le torse de Paris de baiser, et en écho à ses propres paroles, je murmurais un « Tu sens toujours aussi bon… ». Il n’avait pas changé de parfum, ni même de gel douche, et cette odeur familière m’apaisa…j’avais l’impression d’être ici chez moi ! Il était mon chez moi, mon élément vital…ma réelle sensation de sécurité.

Ma bouche descendait dangereusement, mon corps se pliant pour pouvoir mieux s’agenouiller plus tard ; mes mains préparaient déjà le terrain de mon futur plan de conquête : elles tiraient sur la chemise pour la libérer de l’entrave de son pantalon et de sa ceinture, puis justement, venaient s’attaquer à ce morceau de cuir qui me coupait la voie à quelque chose de délicieux, que je m’impatientais de retrouver… « Aide-moi » commandais-je à Paris d’un murmure, mes mains laissant la place aux siennes pour qu’il se charge de retirer sa ceinture et sa braguette, pendant que je m’amusais à lui caresser les fesses à pleines mains, ma bouche elle, bien occupé à embrasser son abdomen, son bas ventre, à lécher subtilement un bout de hanche par-ci, mordillant un autre bout par-là. Je marquais sa peau sans m’en rendre compte, sans doute parce que j’étais frustrée que LUI, ne puisse pas le faire sur moi…. « Vite…enlève tout ça » insistais-je n’y tenant presque plus…j’avais l’envie presque irrépressible de le prendre en bouche simplement pour jouir de la satisfaction de pouvoir être encore capable de réveiller la virilité de Paris et de la sentir pulsée sous ma langue.

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[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Il avait osé prononcer les mots qu’il retenait tant de lui dire : il voulait être à elle, à chaque instant de sa misérable existence. Summer lui manquait, affreusement. Paris n’était pas complet sans sa main dans la sienne, sans son rire quand il sortait des blagues idiotes destinées qu’à la faire sourire. Il avait certes parlé de lui faire l’amour à chaque instant mais encore une fois, cela allait tellement plus loin que la simple connexion sexuelle. Il la voulait tout le temps à ses côtés, pas seulement pour parler des enfants. Il avait besoin de la retrouver, de pouvoir à nouveau s’endormir avec sa chaleur contre la sienne pour mieux se réveiller avec sa touffe blonde complétement désordonnée. Même lorsqu’elle dormait avec un léger filet de bave au coin de la bouche, il la trouvait sublime. Summer était sa vie et sans elle, il périssait. Oh bien sûr, il donnait le change pour ne pas inquiéter ses proches, pour ne pas blesser leurs enfants… seulement, depuis six mois, sa vie était un enfer. Ce soir, il respirait enfin, il sentait à nouveau cette sensation merveilleuse qu’était de sentir battre son cœur dans sa cage thoracique. Il était en train de prendre un rail de bonheur et il adorait cela. Ses mains se mirent à trembler d’excitation alors qu’elle déposait ses lèvres sur son torse. « Si tu tombes dans les vapes, je te promets que je te réanimerai » dit-il avec un sourire amusé. Ses mains plongèrent dans ses cheveux, la rapprochant un peu plus de lui. « Bon sang… tu m’avais tellement manqué babe » osa-t-il souffler alors qu’elle poursuivait ses baisers sur son torse, descendant progressivement vers sa prochaine destination.

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